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gn. DE LA Dt$’1‘xI.LATION comrosiz. très-limple, 8: dont M. Hallenîratz m’a fourni Yidée. Le moindre ralentillèment dans le degré de feu du fourneau , 84 beaucoup d’autres cir- confîances 2lÃl]i·êP61'3lJlES de ce genre d’eccpérien- ees occaüouneut fouvent des réablorptions de az : l’eau de la cuve rentre rapidement dans lia bouteille L"' par le tube ac"' K M: la même ehofc arrive d’une bouteille à Pautre , 8: fou- vent la liqueur remonte julqnes dans le ballon C. On prévient ces acciclens en employant des bouteilles à trois tubuluresë & en adaptant à 1’rme-d’elles un tube capillaire S z , .;'r’, .s"¢", .«"‘r'", dont le bout doit plonger dans la liqueur des bouteilles. S’il y a abf`orptio.u Toit dans la cor- uuc, foie dans quelquesunes des bouteilles, il rentre par ces tubes de Pair extérieur qui rem- place le vuide qui s’efl formé, & on en ell: quitte pour avoir un petit mélange d’air com- mun dans les produits; mais au moins Ycxpé- rience n’eU; pas entièrement manquée. Ces tue hcs peuvent bien admettre de Pair extérieur, 1 mais ils ue peuvent en laifier échapper, parce qtfîls font toujours bouchés dans leur parue inférieure z z" z"' t"" par le fluide des bouteilles. On conçoit que pendant le cours Cle Pexpé- rieuce, la liqueur des bouteilles doit remonter dans chacun de ces tubes à une hauteur re- lative à la prellion qu’épr0uve Pair ou le