Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/490

Cette page n’a pas encore été corrigée

4,36 Des Vsrssmtrx évmzonsroxnss. on le voit pla/20726 III, fg. I ,_ Sc qu’on recou— vre avec un dôme de terre cuite : mais Pope- ration eli toujours beaucoup plus lente ,quzmd on le lent du bain de-Table; elle n’e[l pas d’ail~ leurs exempte de dangers, parce que le Ezble s’échauli`ant inégalement, tandis que le verre ne peut pas le prêter à des degrés de dilatation locale, le vailleau ell Touvent expofé à caH`er. Il arrive même quelquefois que le (able chaud fait exaâement l’C»iHce des anneaux de fer reprélentés planche Ill, fg 5 6* 6’, Fur - tout lorfqtze le vafe contient un fluide qui diûillm Une goutte de fluide qui s’éclabouH`e 8: qui vient tomber [`ur les parois du vaîfieau âl’en- droit du contaôlz de l’anueau de fable, le fait caller circulairement en deux parties terminées par une ligne bien tranchée. Dansles cas ou Pévaporation exige une grande iutenfité de feu , on fe fert de creufets de terre; mais en général on entend le plus communé- ment par le mot e'v¢zp0rati0zz une Operation qui q ie fait au degré de Peau bouillante , ou très- peu au~deH`us. §. I V. De la (`rtf/Èalluàtiorzs La criüallifàtion eff une opération dans la- quelle les parties iutégrantes d’un corps fépa·