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ACTION DU CALOR- DANS IREVAPOR. ler , Pévaporzttion qui :1 lieu , mais la veporîliu tion; or cette dernière opération ne S,£lC(,(}lè1`C pas en railon des lurfuces évaporautes , mais en rztifou des quantités de calorique qui le combinent avec le liquide. Un trop grand courant d’z1ir froid nuit quelquefois dans ces occaiions à la rapidité de lïévaporatiou , par la. 1'Hllb|1Llll1ll enlève du calorique à lean, 8: qu’il ralentit par conféqucnt La converfion en va- peurs. Il n’y il donc nul inconvénient à couvrir julqtfà un certain point le vniè où l’on fait évaporer un liquide entretenu toujours bouil- lant, pourvu que le corps qui couvre loir de nature à dérober peu de calorique , qu’il foit, pour me fervir d’tme expreflion du doc- teur Fmncklin , mauvais conduéieur de chaleur; les vapeurs S1éClK22PP€l`lll alors par Pouverture qui leur ell lailiéc, St il s’eu évapore au moins autant 8: fouvent plus que quand on laille un accès libre à Fair extérieur. Comme dans Pévaporatiorx , le liquide que le calorique enlève ell ablolumeut perdu , comme on le Ezcrifie pour conlerver la fubl`- tance lixe avec laquelle il étoit combiné , on 21’év:tpo»re jamais que des matières peu précietu fes, telles par exemple que .l,€Hll. Lorl`qu’elles q ` ont plus de valeur, on a recours à la difüllation : ‘ autre opération dans laquelle on Conlerve à la . Ee