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DE LA Ponïuuus ATroN. 407 clïèt d’un couteau de fer ,`cle corne ou d’iv0ire, dont la lame doit être très·miuce. _ Dans les travaux en grand on préfère, pour opérer le broyement , l’ul`age de grandes meules de pierres dures qui tournent l’une (ur l’au:re, ou bien d’une meule verticale qui roule lin: une meule horilbutale. Dans tousces cas, on ell fouvent obligé ('l,l1U\l`l€6ll€lÈ légèrement la ma— tière, dans la crainte qu’elle ne s’élève en poulïière. Ces trois manières de réduire les corps en V poudre , ne conviennent pas à toutes les ma- tières: il en ell qu’©n ne peut parvenir à divi- fer , ni au pilon , ni au porphire , ni à la meule ; telles Pour lesmatières tres-fibreules, comme le bois; telles font celles qui ont une forte de ténacité & anaxauacaré , comme la corne des animaux, la gomme. élaliique , &c. tels fon: enfin les métaux duâiles 8: malléables , qui s’applatill`ent fous le pilon au lieu de s’y réduire en poudre. . On le ler! pour les bois de grolies limes connues Tous le nom de rapes à bois , pl. I, fg. 8. On fe fert pour la come de limes un peu plus fines; enfin on emploie pour les mé- taux des limes encore plus lines , telles (om. ` celles reprélenzees jîgures 8 6* 10. _ Il eff quelques îubllances métalliques qui ue . C c iv