Das Mon·rxnns. 40; 6: dextérité les molécules entre le pilon 8: les parois du mortier qu’on parvient à opérer la diviiion. La forme des mortiers n’eli point incli[l`é·- rente; le fond en doit être arrondi, & l’incli- naifon des parois latérales doit être telle que les matières en poudre rerombent d’elles-mêmes quand on relève le pilon: un mortier trop plat feroit donc défeâueux , la matière ne retombe- roit 8: ne fe retourneroit pas. Des parois trop inclînées préfenteroient un autre inconvénient, elles rameneroient une trop grande quantité de la matière à pulvéx·il`er fous le pilon , elle ne feroit plus alors froillée 8: ferrée entre deux corps durs, 8: la trop grande épailleur inter- pofée nuiroit à la pulvérilation. Par une fuite du même principe, il ne faut
pas mettre dans le mortier une trop grande
quantité de matière ; il faut I`ur·tout,. autant qu’on le peut, fe débarraller de tems en tems des molécules qui font déjà pulvérifées, 8: defi: ce qu’on opère par le tamifage , autre opération: dont il va. être bientôt qnelliou. Sans cette précaution on employeroit une force inutile , Sé on perdroit du tems à dîvifer davantage ce qui l’étoit iuliifannnent, tandis. qu’on xfaoheveroit pas de pulvérileri ce. qui ne l’e[l pas alliez. En · . eiiet, la portion de matière diiziléeituit à, l ` C c iij
