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DE LA PULVÉKISATION· unes des autres les molécules conflitutives 8: in· tégrautes qui le compoîent. Toutes les fois qu'il ell quellion de cliviler des corps fragiles cà: callàns, on le fer: pour cette opération de mortiers 8: de pilous ,fg:z- res 1, 2, 3 , 4 6* 5 , plarzchc L Ces mortiers font ou de fume de cuivre 8: de fer comme J celui rep1·él`e11tê,_;€r`g*c:i'c I; ou de marbre 8: de granit , comme celui reprélerxte , figure 2; ou de bois de gayac , comme celui repréleuté 5 figure 3 ; ou de verre, comme celui reprélemé, jîgurcqg ou d’agathe, comme celui repréfenté, jîêgurc 5: enfin ou eu fait aufli de porcelztiüe, comme celui 1‘@prêlieI1tê, jïgurc 6’. Les pilons dom; on le lert pour rriturer les corps Ibm; aulli de difléreures matières. Ils fout de fer ou de cuivre forgé, comme `clzms la figure première, de bois, comme dans les figures 2 sa 3; enliu de verre, de porcelaine ou cïagathe, üxivant la nature des objets qu’on veur triturer. Il ell né- cellaire d°avoir dans un laboratoire , uu allor- timeut de ces iuïlrumerxs de différente grandeur. Les mortîers de porcelaine, 8: l`ur—tout ceux de verre, ne peuveufpas être employés à la triturzuion proprement dite, 8: ils l—€1'0l€Ulll)lBl'1' tot eu pièces li on frappoit: dedans, (aus pré- czmrîou, à coups redoublés. C’e£l eu tournant le pilon dans le mortier , en l`r0îfl`zm: avec adrefle