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ou CAL0nxMî:1·n.¤;. 399 , mer dans des vales comme les autres fluides, la quantité de glace fondue [croit li peu confi- dérable que le réfultat de Pexpérience feroit au moins très—iuce1·tain. Nous avons employé pour ce genre d’expériences deux elpèces de (erpen- tins ou tuyaux métalliques roulés en lpirales. Le premier contenu dans un Vale rempli d’eau bouillante fervoit a échauH`er l’air avant qu’il parvint au calorimètre; le Second étoit renfermé dans la capacité intérîeu1·effIff de cet infim- I ment. Un thermomètre adapté à une des extré- ' mités de ce dernier [`erpentin , indiquoit la char leur de l’air ou du gaz qui entroit dans la ma- chine; un thermomètre adapté à l’autre extré- mité du même ferpenrin indiquoir la chaleur du gaz ou de l’aîr à fa fortie. Nous avons été ainfi a portée de déterminer ce qu’une malle quelconque de difîérens airs ou gaz fondoit de glace en le refroidillant d’un certain nombre de degrés, 8: d’en déterminer le calorique (péd- fique. Le même procédé, avec quelques pré- cautions particulières peut étre employé pour conuoître la quantité de calorique qui fe dégage ‘ dans la condenlation des vapeurs de dilïérens liquides. Les différentes expériences que l’on peut faire avec le calorimètre , ne conduifent point à des réfultats ablblûs; elles ne donnent que `