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LES GAIETÉS DU CONSERVATOIRE
maman, mais qu’elle avait aussi bien soin de dire : « Quand il y a une octave, vous ferez une septième !!! »
Quant à elle personnellement, si elle n’était pas absolument élève du Conservatoire, c’était tout comme, car « elle avait conduit pendant plus de trois ans la nièce d’une de ses amies à un cours LeCouppey ! »
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/87/Lavignac_-_Les_Gaiet%C3%A9s_du_Conservatoire_-_p._082.png/500px-Lavignac_-_Les_Gaiet%C3%A9s_du_Conservatoire_-_p._082.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e3/Asterisme.svg/25px-Asterisme.svg.png)
Un nommé Ferdinand Turquin a passé dans ma classe de solfège quatre années consécutives à essuyer les bancs avec ses fonds de culottes, à graver son nom sur les tables, à dessiner sur les murs, à lécher les vitres par les temps de dégel, tout cela à titre d’auditeur, sans jamais parvenir à être reçu élève.