mine par des combinaisons symphoniques des motifs
précédents, parmi lesquels dominent 'L’Amour,
Le Printemps, La Fuite, et finalement, dans les deux derniers
accords, La Servitude.
Prélude. — Ce Prélude est constitué par le plus curieux amalgame de thèmes saccadés ou rendus saccadés pour la circonstance, ce qui, dès le début, fait pressentir la Chevauchée, qui pourtant n’apparaîtra qu’en dernier.
Dans la mesure du début, il faut reconnaître L’Epée, dénaturée comme rythme et comme mode ; viennent ensuite : La Fuite, qui ressemble, ainsi, à L’Appel des Walkyries, La Volupté, et enfin, pour l’explosion finale, La Chevauchée.
[partition à transcrire]
Scène i. — Le strident Cri d’appel des Walkyries, avec lequel Brünnhilde fait ici sa première entrée, présente celle