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lequel Prélude il remplit dans son entier, toujours croissant, grandissant et envahissant, sans jamais quitter le seul et unique accord de mi ♭ majeur.

C’est une merveille d’audace et de génie.

Scène i. — Aussitôt qu’apparaît un nouvel accord, la vie elle-même se manifeste par la présence et le chant plein de séduisante innocence des charmantes Filles du Rhin, nageant gracieusement autour de leur Or.

LES FILLES DU RHIN
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