Page:Lavergne - Fleurs de France, 1924.djvu/168

Cette page n’a pas encore été corrigée

rentrèrent en possession du château d’Algueville, acheté par un de leurs fermiers, ils y ramenèrent quelques Minou-Minette nées dans l’exil, et dont les arrière-petits-chats jouissent encore des privilèges et de la rente dont la reconnaissance des châtelaines d’Algueville a gratifié toute la descendance de Minou-Minette Ire du nom.