Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
M. Stuart Merril des « roses trop rouges de son désir » et d’une
… passante aux yeux pleins de passé ;
M. Francis Vielé-Griffin dit :
L’aube est pâle comme une qui n’ose.
M. G. Kahn :
La blondeur de la nuit défaille en flots d’étoiles.
M. E. Raynaud :
Regarde ! le soir y saigne avec abondance.
M. Fontainas :
Le soleil agonise en baisers de lumière.
M. de Retté écrit :
Et des rêves dorés aux murmures d’abeilles
Nimbent de blonds enfants que ton silence adore.
M. Elslander dit :
Le silence comme un voile immense détaché des cieux,
Tombe, fasiant et palpitant, par l’espace.