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même vendre ces productions dans la salle par les auteurs. On y entend tous les soirs le poète glapir d’une voix de rogôme : « Cinquante centimes le maquereau amoureux. Achetez-le, mesdames ! c’est un joli cadeau à faire à un enfant pour sa première communion ! » (sic).

Je remarque seulement. Je n’apprécie pas. J’espère que d’autres apprécieront. C’est pour cela que je me suis résigné à reproduire ces poésies ordurières qui n’ont rien de commun avec l’art même le plus réaliste.