pour nos grands-parents… maintenant, il faut qu’il les prenne pour nous.
Oui… oui… il a raison… (Elle court au fond à droite prendre la poupée.)
Mais ils sont à Saint-Germain !
Les autres !
Mais pas ceux-ci.
Mais pas ceux-ci.
Aidez-moi à les affubler avec les vêtements et coiffures que vous aviez tout à l’heure… puis à les placer ici et là, comme vous étiez…
Très-bien.
Chargez-vous de votre grand’tante, mademoiselle. (Lucile passe un fauteuil de la cheminée. À Gaston[1].) Et vous de votre parrain.
Ah !
Oh ! le malheureux ! il a occis son parrain !
Non, non, il n’a rien.
On dirait qu’il a une bosse. Pauvre cher homme !… (Elle va porter la tête au premier fauteuil.) A son âge… ce serait la première ! (Elle l’habille avec la douillette.)
Écoutez… on monte, je crois.
Hâtons-nous.
Ah ! mon Dieu !… Tout le guet vient de ce côté.
Eh bien, entrez là, et vous fuirez par le petit escalier pendant que j’occuperai le guet.
Comment ! toute l’escouade ?
Ça me regarde. Allez, allez… (Les deux jeunes gens sortent, Na-