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voulaient faire main basse sur les minisires accusés de félonie. La conspiration fut connue, la porte ne s’ouvrit point au signal convenu, ou plutôt, quand elle s’ouvrit, ce fut pour livrer passage à une garde bien armée, qui se saisit des premiers conjurés et les jeta en prison. Les deux principaux fauteurs de ce coup de


Façade de l’église de Ouen-San.