Page:Latocnaye - Promenade d un Francais dans la Grande Bretagne - 2e edition, Fauche, 1801.djvu/286

Cette page a été validée par deux contributeurs.

on le doit souhaiter ou le craindre. Lorsque la société est dans un état aussi parfait, que les hommes peuvent la faire, on doit redouter le moindre changement, dans la crainte de voir l’édifice s’écrouler peu-à-peu.


FIN.



__________


Pag. 19, lig. 7, près d’eux ils nous accablèrent d’injures et nous jetèrent ; lisez, près d’elle, on nous accabla d’injures et on nous jeta.

__________


Les plaisanteries de la pag. 114, sur les syllabes mis et wo, doivent être considérées comme une légère critique de nombre d’habiles étymologistes anglais. Ces messieurs ont assez souvent fait venir de fort belles choses, de mots étrangers, qui n’avaient comme dans ce passage, pas le moindre rapport à ce dont ils parlaient.

__________


On a mis par mégarde, pag. 123, lig. 14, le nom de Jacques V après celui de lord Darnley, l’époux de la reine Marie Stwart d’Écosse. Jacques V était père et prédécesseur de Marie ; le nom sous lequel lord Darnley est connu, est Henri.

__________


Pag. 170, lig. 2, le cardinal Béton. — J’ai aussi vu ce nom écrit Beatown ; je crois même que cette version est préférable.

__________


Pag. 179, lig. 7, ministre de la paroisse ; — ajoutez de Dunotar.