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L’auteur regrette vivement de n’avoir pu insérer dans ce Recueil quelques pièces de vers d’un genre sérieux qu’il a ébauchées dernièrement. La maladie, qui le tient dans ses serres, et particulièrement le mauvais état de sa vue, ne lui ont pas permis de donner la dernière main à ces poésies. Il les livrera plus tard à l’impression, si sa santé et sa vue s’améliorent, et surtout si ce Recueil obtient quelques succès ; dans le cas contraire, il se fera un devoir de les condamner à l’oubli qu’elles méritent.