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Oui, toujours sa présence,
Par sa douce influence,
Apaisait ma souffrance
Et calmait mes chagrins.
Hélas ! loin de la ville,
Elle fuit et s’exile,
Pour revoir Mandeville,
Où le devoir l’attend.
Loin d’elle je soupire,
Et n’ai plus que ma lyre ;
Mais le son que j’en tire,
Personne ne l’entend.
D’un mourant qui s’envole,
Et que l’espoir console,
C’est la douce parole
Et les derniers adieux ;
C’est la vive étincelle,
La sublime parcelle