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CONCLUSION

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J’ai parlé sérieusement et d’une manière positive, et il faudrait que je fusse un homme de plus mauvais goût que je ne suis réellement, si je voulais recommencer à examiner les innombrables absurdités de la suite de votre écrit.

Et d’ailleurs pourquoi ?

Nous avons appris à connaître ce que vous êtes et ce que vous savez. Vous êtes, — pardonnez-moi cette noble comparaison, mais je ne veux pas me servir de celle qui vous convient réellement, — vous êtes éventré comme un cerf, et mon dogue à mes côtés tient dans sa bouche vos entrailles encore fumantes.

Fouiller plus profondément votre personne ne pourrait qu’exciter la satiété et le dégoût.

Ce n’est plus de vos torts que je veux parler, mais vous faire mes excuses de l’injustice que j’ai commise envers vous !

Cette injustice provenait, comme je l’ai dit dans ma préface, de ce que je ne vous connaissais nullement en réalité et que ce n’est qu’à Tarasp que