MORT DU PAUVRE PETIT CAUSEUR,
ÉCRITE POUR LE PUBLIC PAR ANDRÉ NIPORESAS, SON CORRESPONDANT.
Il dit ce qu’il avait à dire, et expira. (Page 177 de ce volume.)
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Qu’avaient-ils fait, le roi Jorge Manrique.
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Ô fragilité des choses humaines ! Est-ce vrai ? Le fort, le terrible a succombé ! Il n’existe plus le Pauvre petit Causeur ! Mais quoi, les empires tombent et passent ; les causeurs ne doivent-ils pas aussi tomber et passer ! Les Assyriens disparurent, les Babyloniens firent place aux Perses, les Perses furent vaincus par les Grecs, les Grecs devinrent des Romains. Rome courba son front altier devant les hordes du Nord ; ses aigles impériales devant les barbares… Tout passa… Le souvenir de sa grandeur n’existe que pour rendre sa chute plus humiliante. Que valut à la colonie de