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(("l’Si,("lui’ :ults’ud), T’ :iautem. (Jli¡Ïô toi). Tu es ilîe vîii (Tu

cethomme).

Tcîîit lionov^w., (Un autre en a eu l’}¡OllllCW Tu 2W« !»<’c»IIus ovU ! • (TusemaMarccllus !). (Toi aussi !). Tutti quanti. (Et combien dautre* ;. (Oùl’onestbien,laest la pa- Vbi Iipmo, ibi paii’in.trie). Ihinm rntlo.-, (Dernière raison). ’ttr-lI !nt !lUI et r !H ;¡h !f (hubecPt’tesO’t'jle.i t" ;!ciin et idem. (lit/e seule et même chute.. Urbi eto.J>ï (Alaville(Rome)età l’uniter

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Pensée d’Hul’a,’" où le poète fait ressortir cette vérité, que notre maison est en danger qur.ml cll de notre voisin brûle. Signifie dans l’application : cela vous tnudlP," cela vous regarde, il y va de votre intérèt. Ces deux mots, dont la traduction isolé.» n’offre aucun sens, s’emploient dans certains cas comme synonymes de difficulté, et -reçoivent à peu près la même application que hic C’est la le tu ucitcEu, c’est-a -dire le point essentiel, le difficile. Paroles du prophète Nathan à David, après luiavoirfaittoucherdudoigt,aumoyen d’uneparabole,le crime dontil sétait rendu coupable à l’égard d’Urie Quand nous rions au thfàtre des rnlicules qui SOlit bafoués sur la scenc, qnchpte JJlalin voisin pourrait nous dire :tuesUlcvit*. Cet hémistiche précède les quatre vers qui commencent par sic vosnon vobis, et se rapporte à la même l’jrtonstance. On en fait aussi la même application. Allusion, mais en lionne part, aux dernières paroles que Virgile met dans la bouche d’Anchise, rnolltrant à Knée, parmi les glorieux descendants de sa race, le jeune Marcelin

  • ,filsd Oeiavie,sœurd’Auguste.Virgile

ne t’ait prédire à Anchise que les belles es p érances que devait donner le jeune prince, qui mourut, comme on sait, à la fleur de l’âge. Tu seras Marcellus ! c’est-à -dire une promesse du ciel qui ne se réalisera pas, l’objet d’une attente suivie d’un éternel regret. Paroles de César, lorsqu’il aperçut au nombre de ses assassins Brutus, qui paait. pour être son fis. L’application en est fréquente et facile. Mots italiens que l’on emploie pour abréger une énumération, et qui correspondent presque à no*re cte. S’emploie le plus souvent par ironie Oui cannait aujuicrd’/ini les n’ac’-rs de Chapelain, Pradon, Cotin e tutti quanti ? Maxime susceptible de nombreuses applications, maisquiserapportele plussouv.-nt à Insouciant, à l’indifférent, et qui se pren d presquetoujoursenmauvaise part ; Le parasite est h z lui partant où il trouve une bonnetabl(etc’estdelui surfontqu’onale droit de dire : ubi h{.tlt-, ibi patria. Maxime remarquable du cardinal de Richelieu : Le canon est l’ahinu.& ratio des dire vigoureuseinehLet*>anslâcherprise.l Saeair mal 1111 ne rien s.aroir, c’cc ? u, :,’nm et id,.r :!. — Ktre pauvre ou être at’arr, f est llttïilll et ichlll. Parolesquifontpartiedelabénédiction du souv’-rain pontife. m>ur marquer qu ,lle s’¡ :klld sur 1univers eiiher. On dit de même,