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Farnèse, en sardoine orientale. C’est un monument unique pour la grandeur de la pierre et la perfection du travail. C’est le seul camée connu qui présente une grande composition sur chaque face. Les bijoux et ornements de dames, qui abondent, prouvent que la coquetterie des Romaines ne le cédait en rien à celle de nos contemporaines, et que leurs joailliers avaient plus de goût que les nôtres. On s’initie à la vie, aux mœurs, aux usages des anciens, en parcourant la curieuse salle des petits bronzes, qui contient les ustensiles de tout genre dont ils se servaient. Tout se trouve là : fourneaux économiques, baignoires, lits de table, pèse-liqueurs, bouilloires à thé, instruments de chirurgie semblables aux nôtres, objets de toilette, billets de spectacle en ivoire, jusqu’à des cymbales, des trompettes et des clarinettes. À part quelques légères différences de forme, tous ces objets ressemblent à ceux dont nous nous servons ; la seule chose qui les distingue, c’est l’élégance et le fini de leur travail ; les plus vils instruments de cuisine offrent des ornements qu’on ne trouverait pas toujours dans nos objets de luxe. L’amour du beau se trahissait ainsi jusque dans les moindres détails. Une salle à part contient le musée pornographique, réunion de peintures et de bronzes obscènes. On a cent fois raison de s’élever contre des œuvres de ce genre, quelque parfaite qu’en soit la forme ; mais on n’a pas moins tort de condamner toute une civilisation sur les spécimens dus à quelques imaginations licencieuses et dépravées. Ceux qui rejettent la faute de ces libertés coupables sur le paganisme oublient trop facilement que le christianisme ne les a pas ignorées. Au temps du pieux moyen âge, les pâtisseries servies sur la table des seigneurs et des évêques n’avaient pas une forme moins indécente que celle des bronzes de Pompéi ; François Ier, dans sa cour, plutôt dépravée qu’élégante, se servait de vases à boire dont le modèle se trouve au musée pornographique.

Nous n’avons donné qu’une faible idée des richesses immenses accumulées dans le musée Bourbon, richesses qui le placent au premier rang, au point de vue artistique et historique. La galerie de tableaux modernes qu’il renferme ne pourrait lutter contre celles des autres villes d’Italie, malgré quelques toiles de grands maîtres ; la bibliothèque du musée contient environ 200,000 volumes et 3,000 manuscrits. Les plus curieux parmi ces derniers sont : la Bible, annotée de la main d’Alphonse Ier d’Aragon ; la seconde partie des Lettres de saint Jérôme, et un Office de la sainte Vierge, écrit de la main de Monterchi, avec miniatures par Giulio Clovio. Vasari prétend que Giulio mit neuf ans à illustrer ce manuscrit, et qu’il n’y a pas de somme capable de le payer. Pendant tout le règne des Bourbons, la librairie fut peu florissante à Naples, malgré les impôts énormes dont étaient frappés les livres étrangers, d’après ce singulier raisonnement que, s’ils étaient mauvais, il fallait les écarter, et que, s’ils étaient bons, on ne pouvait les payer trop cher. On a publié, il y a quelques années, chez Firmin Billot, le Musée Bourbon, traduit de l’italien, contenant la gravure au trait de toutes les œuvres qui composent cette magnifique galerie. C’est une œuvre splendide, mais peu répandue, en raison de son prix élevé, et peut-être aussi à cause de la reproduction des objets qui composent le musée pornographique, ce qui ne permet pas de laisser ce livre s’égarer dans toutes les mains.


BOURBON (hôtel et théâtre du Petit-), situé près de l’ancien Louvre et sur l’emplacement d’une partie du Louvre actuel. V. PhtitDoukbon. BOUilBON (KlysÉb-). V. ElTSÉb.

BOURBON (Palais). V. PALAIS.

IlOURBON (Nicolas), dit l’Ancien, poute latin moderne, né à Vandœuvre, près de Barsur-Aube, en 1503, mort en 1550. Il était fils d’un forgeron, et acquit une telle réputation comme littérateur et lielléniste, que Marguerite de Navarre lui confia l’éducation de sa fille Jeanne d’Aibret. On a de lui un recueil d’épigrammes sous le titre de Nugœ (1535), et d’autres poésies latines dont Philippe Dubois a donné une édition ad usum Delphini (1685). On a aussi de lui Pœdologia, sive de puerorum moribus libellus (1536), et Tabellœ elementariœ pueris ingenuis pernecessariœ (1539), etc.

BOURBON (Nicolas), dit le Jeune, érudit, poète latin, neveu du précédent, né à Vandœuvre en 1574, mort à Paris en 1644. Il professa la rhétorique dans plusieurs collèges de Paris, puis la langue grecque au Collège royal, et entra à l’Académie française par la protection de Richelieu. En 1620, il se retira à l’Oratoire. Ses poésies latines ont été réunies sous le titre de Poematia, en 1630. On regarde comme ses chefs-d’œuvre l’ode sur les Grandeurs de Jésus-Christ, et surtout la belle imprécation sur la mort de Henri IV : Dirœ in parricidam.

BOURBON-LANCY (Borbonium An&ilmium), ville de France (Saône-et-Loire), cli.-l. de cant., arrond. et à 53 kilom. N.-O. de Charolles ; pop. aggl. 941 hab.—pop. tôt. 3, S53 hab. Commerce de bestiaux, bois et charbon ; tanneries, fours à chaux. Eaux thermales, chlorurées sodiques et ferrugineuses, connues dès l’époque romaine, fréquentées dans les temps modernes, surtout depuis la fin du xvie siècle. Elles émergent d’un terrain granitique par

BOUR

six sources principales. Leur température varie de 49» à 56°. Ces eaux, qui augmentent la sécrétion du tube digestif et ont sur le système lymphatique une action résolutive, sont employées en boisson, bains et douches. La plus remarquable des sources de Bourbon-Lancy est celle du Lymbe, dont le bassin a la forme d’un cône renversé. On rencontre à Bourbon-Lancy de nombreux vestiges de constructions gallo-romaines, telles que corniches, basreliefs, urnes, mosaïques, médailles qui accusent lexistence d’une ville antique et d’un palais des thermes considérable. Sur le sommet d’un rocher granitique, on voit les ruines d’un château fort, construit sur l’emplacement d’un fort romain. Dans l’intérieur de la ville, on admire : l’église Saint-Nazaire, dont le sanctuaire du xe siècle présente un grand intérêt archéologique ; le transsept et l’abside sont du style byzantin, et la nef appartient, jusqu’à la dernière travée, au style latin ; l’établissement thermal, avec sa vaste piscine, autour de laquelle règne une belle galerie soutenue par dix-sept colonnes, reliées entre elles par des arceaux en plein cintre ; enfin les bams de César, un des thermes romains, qui sert actuellement aux bains réfrigérants.

BOCRBON-L’ARCHÀMBAtfLT, ville de France (Allier), ch.-l. de cant., arrond. et à 86 kilom. O. de Moulins ; pop. aggl. 1,739 hab. — pop. tôt. 3,292 hab. Eaux thermales ou froides, chlorurées sodiques, iodo-bromurées ou ferrugineuses, connues dès l’époque romaine. Elles émergent, par deux sources, d’un terrain granitique. Elles sont plus légères que l’eau ordinaire distillée, lorsqu’elles sont chaudes ; mais, froides, leur densité est de 1,3. Leur température varie de 12° 8 à 60°. L’établissement thermal a peu d’apparence ; il renferme seize piscines et les pièces destinées aux douches ; l’hospice thermal, destiné aux indigents, construit en 1774, contient quatre-vingts lits et deux piscines. On remarque, en outre, à Bourbon-1’Archambault une belle église, monument historique du xne siècle ; la tqur de Quiquengrogne, bâtie par Louis Ier, et les ruines d’un vieux château féodal, détruit par Pépin le Bref en 789, reconstruit par Archambault 1er, et berceau de la maison souveraine de Bourbon. De ce château, qui date du xme siècle, il ne reste plus que trois tours bien conservées. Pendant notre grande Révolution, cette ville prit le nom de Bourges-les-Bains.

BOUKBON- VENDÉE, ville de France. V. La Roche-sur-Yon.

BOUBBONDIR v. a. ou tr. (bour-bon-dir). Battre, frapper. Il Vieux mot.

BOURBONIEN OU BOURBONNIEN, IENNB adj. (bour-bo-ni-ain, i-è-ne — rad. Bourbon, n. pr.^ Quia rapport à la famille des Bourbons ; qui est partisan de la famille des Bourbons : Les cuivres ardents et les éclats bourboniens de la musique militaire étaient étouffés sous les hourras. (Balz.) Ce que l’on est convenu d’appeler te type bourbonien, qui n’est pas sans rapport avec celui de la race ovine, s’est perpétué dans la race des Capets. (E. Sue.) Ce qui me la faisait élire pour reine, c’est son indifférence bourbonienne pour le favori tombé, (Balz.)

Nez bourbonien, Nez arqué à la manière du nez de plusieurs membres de la famille de Bourbon, celui de. Charles X, par exemple. BOURBONNAIS (Borbonensis Ager), ancienne province de France, bornée au N. par le Berry et le Nivernais, à l’E. par la Bourgogne et le Forez, au S. par l’Auvergne, et à. l’O. par la Marche et le Berry. Capitale Moulins ; villes principales Gannat, Montluçon, Vichy et Bourbon - l’Archambault. Superficie 790,000 hectares. Bordé au levant par la Loire, au couchant par le Cher, qui s’y enclave dans quelques endroits, ce pays’est coupé par l’Allier en deux parties inégales appelées le haut et le bas Bourbonnais. Le sol, fertile en vins, grains, chanvre, fruits et pâturages, renferme plusieurs mines de fer, de cuivre, de charbon de terre, et quelques carrières de marbre. Les eaux minérales abondent dans le Bourbonnais ; la plupart jouissent d’une grande réputation, entre autres celles de Bourbon-l’Archambault, Néris et Vichy.

Lorsque César pénétra dans les Gaules, le territoire qui forma depuis le Bourbonnais était occupé par les Eduens, les Bituriges et les Arvernes. Sous Honorius, il fut compris dans la Première Aquitaine, à l’exception de la partie située entre l’Allier et la Loire, qui dépendait de la Première Lyonnaise. De la domination romaine, le Bourbonnais passa sous celle des Visigoths, puis sous celle des Francs, qui s’en emparèrent après la victoire de Clovis sur Alaric, en 507. Ce pays fit successivement partie desroyaumes’d Orléans, d’Austrasie, et du duché d’Aquitaine. Après la fin tragique du fameux duc Waïfre(768), le Bourbonnais devint une division politique spéciale et forma une baronnie qui, en 1272, entra dans une branche des capétiens par le mariage de Robert de Clermont, fils de saint Louis, avec Béatrix, dernière héritière de la maison de Bourbon. La baronnie ou sirerie de Bourbon devint alors un fief immédiat de la couronne et fut élevée en duchépairie, en 1327, par Charles le Bel. Ce duché fut séquestré en 1523, lors de la disgrâce du connétable de Bourbon, et réuni à la couronne par François Ier, en 1527. Enfin, en 1651, il fut donné par Louis XIV au prince de Condé, en échange du duché d’Albret, et depuis lors le titre de duc de Bourbon s’est continué dans cette branche jusqu’au dernier prince de Condé,

BOUE

mort en 1830.Le Bourbonnais forme aujourd’hui le département de l’Allier, et une partie de ceux du Puy-de-Dôme, de la Creuse et du Cher.

Le Bourbonnais nourrit une race bovine et une race ovine dont nous dirons quelques mots en terminant. La première est de taille moyenne, à corps long, mince ; à cornes grandes, bien contournées ; à poil blanc, froment ou jaune clair. Propre au travail, rustique et de facile entretien, le bœuf bourbonnais s’engraisse facilement après un long travail et fournit une viande de première qualité. La race du Bourbonnais peut être améliorée par elle-même ; mais on préfère la transformer par le croisement avec la race charolaise. Les métis charolais-bourbonnais travaillent bien, sont d’une belle conformation ; mais les femelles sont mauvaises laitières.

Le mouton bourbonnais est bas sur jambes, à corps long, à tête fine un peu busquée, en général sans cornes ; sa laine, un peu hérissée, forme des mèches assez rudes. Il est loin de mériter la réputation qu’il avait autrefois pour son lainage. Il se mêle aux moutons berrichons et à ceux du département du Puy-de-Dôme. À Paris, il est connu sous le nom de mouton auvergnat. Ces moutons sont vendus dans le Berry, le Morvan et le Charolais ; ils sont même conduits jusqu’aux bords de l’Océan. Il serait à désirer qu’on pût élever la taille de ces moutons sans en changer les formes, on obtiendrait ainsi d’excellente viande en assez grande quantité. Pour rendre leur lainage meilleur, on pourrait les croiser avec quelques variétés du berrichon ou de petits métis mérinos élevés dans le Cher.

BOURBONNAIS, AISE S", et adj. (bour-bonè, è-ze— rad. Bourbonnais, nom d une province française). Géogr. Habitant du Bourbonnais ; qui appartient au Bourbonnais ou à. ses habitants : Les Bourbonnais. Lapopulatiori

BOURBONNAISE.

BOURBONNAISE s. f. (bour-bo-nè-zerad. Bourbonnais). Sorte de chanson, accompagnée d’une danse burlesque.

Et quand de rire un peu le public est bien aise, ■ Il faut lui faire aussi chanter la Bourbûnnahe. ***

— Bot. Plante du genre lychnide.

Bourbonnaise (la belle). C’est à tort que l’opinion généraléa cru cette chanson spécialement écrite contre Mme Dubarry. Il est bien vrai que celle-ci, dans les chansons et pamphlets du temps, est désignée sous le nom de la Bourbonnaise (non pas à cause du lieu de sa naissance, qui est Vaucouleurs, mais parce qu’elle était maîtresse d’un Bourbon) ; mais les couplets que nous reproduisons ici sont bien antérieurs à Mm« Dubarry. Ils avaient, dit-on, été inspirés par la chute d’une courtisane jadis en vogue et tombée dans une profonde misère.

Quoi qu’il en soit, la malignité publique fit à la maîtresse du Bien-aimé l’application de la Belle Bourbonnaise. En vain, l’ex-demoiselle Vaubernier mit-elle toutes ses créatures en campagne pour arrêter la vulgarisation de cette œuvre et en détruire les exemplaires imprimés. La police, aux ordres du duc de Choiseul, ennemi personnel de M016 Dubarry, laissait tranquillement le peuple pa ; "sien fredonner la chanson qui troublait les nuits de la royale courtisane. La chanson eut une vogue immense à la cour comme à la ville. On en fit des imitations, des caricatures, et les seigneurs riaient à gorge déployée lorsque le fameux grimacier, l’Italien Valonani, monté sur une chaise, riait et pleurait si bien aux refrains : Ha ! ha ! ha ! ha ! à® la chanson de la Bourbonnaise. En 1839, la chanson reparut tout à coup au théâtre des Folies-Dramatiques, où l’acteur Heuzey, en imitant le fameux grimacier, rendit un instant la vogue à ces couplets.

Dans Paris ia grand’ vil-le, Gar Pi^^^P^

çons, fem-mea et filles, Garçons, femme»et

^^^m^^m

ûl - les, Ont tous le cœur dé - bi - le Et { on pleure)

i^^^^P^

poussent des hé - las. Àb, ah, aht ah, ah, ah,

ai - se, Elle est sur un gra - "bat. (on rit l

ai * * se, Elle est sur un gra - btttl

BOUR 1113

DEUXIÈME COUPLET. N’est-ce pas grand dommage Qu’une fille aussi sage (bis) Au printemps de son âge Soit réduite au trépas

Ha !ha ! ha !ha ! La veille d’un dimanche, En tombant d’une branche Elle s’est démis la hanche, Et s’est cassé le bras. Ho ! ha ! ha ! ho ! ha ! ha ! ibis) Elle s’est démis la hanche Et s’est cassé le bras.

TROISIÈME COUPLET,

Pour guérir cette fille

On chercha dans la ville (bis)

Un médecin habile,

Et l’on n’en trouva pas.

Ha ! ha ! ha ! ha ! L’on mit tout en usage, Médecine et herbage, Bon bouillon et laitage, Eien ne la soulagea. Ho ! ha ! ha ! ho ! ha ! ha ! (61s) ■ Bon bouillon et laitage Rien ne la soulagea.

QUATRIÈME COUPLET.

Et la pauvre malade, D’argent n’avant pas garde (bis). On tomba sur ses bardes. Et rien ne lui resta. Ha ! ha ! ha ! ha ! En fermant la paupière EU’ finit sa carrière ; Et, sans drap et sans bière. En terre on l’emporta. Ho ! ha ! ha ! ho ! ha ! ha ! (bis) Et sans drap et sans bière En terre on l’emporta.

CINQUIÈME COUPLET.

Pour fair’ sonner les cloches On donna ses galoches (bis). Son jupon et fies’poches, Son mouchoir et ses bas !

Ha ! ha ! ha ! ha ! Et de sa sœur Javotte On lui donna la cotte, Son manteau plein de crotte, Avant qu’elle expirât Ho ! ha ! ha ! ho ! ha ! ha ! (bis) Son manteau plein de crotte Avant qu’elle expirât !

SIXIÈME COUPLET.

La pauvre Bourbonnaise Va dormir à son aise (bis). Sans fauteuil et sans chaise. Sans lit et sans sofa.

Ha ! ha ! ha ! ha ! Voilà qu’elle succombe ! Puisqu’elle est dans la tombe, Qu’elle est dans l’autre inonde, Chantons son libéra. Ho ! ha ! ha ! ho ! ha ! ha ! (bit) Puisqu’elle est dans la tomba Chantons son libéra !

Bourbonnaise (LA NOUVELLE). La Belle

Bourbonnaise appliquée à Mme Dubarry n’avait plus paru à ses ennemis suffisamment personnelle. On fit alors circuler la Nouvelle Bourbonnaise, qui obtint la vogue de son aînée. Le Bulletin des nouvelles de Paris, du 15 octobre 1768, s’exprime en ces termes au sujet de cette chanson : 1 Depuis quelque temps, il court une chanson intitulée la Nouvelle Bourbonnaise, qui se répand avec une rapidité peu commune, quoique les paroles en soient fort plates et l’air on ne peut plus niais. Les gens qui raffinent sur tout ont prétendu que c’était un vaudeville satirique sur une certaine fille de rien, parvenue à jouer un rôle et à faire figure à la cour. «

On peut s’imaginer les larmes de rage que versait la Dubarry, à chacun de ces coups de fouet. Mais comment arrêter la marée montante du mépris public ?

La Nouvelle Bourbonnaise n’a pas suivi à la postérité la Belle Bourbonnaise, et nous ne la consignons ici qu’à titre de document historique.

gagné des Lou • ia chez un mar ■ quia.

DEUXIÈME COUPLET.

Pour apanage Elle avait la beauté, Elle avait la beauté

Pour apanaât. Mais ce petit trésor

Lui vaut de l’or.

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