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roglyphique est symbolique, puisqu’elle fait connaître les idées par des images empruntées à la nature ; mais un défaut se trahit dans les représentations de laforrae humaine. Biles représentent bien symboliquement une force mystérieuse ; mais elles manquent de vie, de personnalité. On peut voir au musée du Louvre les statues des divinités égyptiennes : elles sont toutes symboliques, mais elles n’ont as d’individualité. Ces corps gigantesques, izarres, aux proportions surhumaines, aux bras collés le long du corps, aux jambes soudées et roides, n’expriment pas la vie ; ce sont comme autant de momies ficelées à tout jamais dans leur gaine. Toutefois, remarquons-le, la forme humaine n’est plus une simple personnification abstraite. L’art fait effort pour se spiritualiser ; s’il n’atteint pas le but, il l’entrevoit et y tend ; mais la personnalité n’arrive pas encore & la conscience d’elle-même. De là la complication des symboles, véritables énigmes pour les savants de tous les temps. Ces emblèmes, qui cachent une multitude de sens profonds, restent là comme un témoignage des efforts vainement tentés par l’esprit pour se comprendre lui-même, symbolisme mystérieux, énigme immense que représente le sphinx égyptien, symbole lui-même de toutes ces énigmes.

SYMBOLOLOGIE s. f. (sain-bo-lo-lo-jîdu gr. sumbâton, symbole ; logos, discours). Ane. méd. Partie de la médecine qui traitait des signes ou des symptômes des maladies,

SYMBOLOLOGIQUE adj. (sain-bo-io-lo-jike — rad. symbolotoyie). Ane. méd. Qui a rapport à la symbolologie : Système symbo-

LOL.OGIQUK.

SYMBRENTHIB s. f. (sain-bran-U). Entom. Genre d’insectes lépidoptères diurnes, de la tribu des papilionides, comprenant plusieurs espèces, toutes étrangères à l’Europe.

SYME (Jacques), chirurgien écossais, né dans le Fifeshire en 1799. Il fit ses études 6. l’université d’Édimbourg et montra fort jeune un goût marqué pour la chimie ; il découvrit, dit-on, le premier les moyens d’assouplir le caoutchouc de façon à 1 utiliser dans l’industrie. Devenu, eu 1817, l’élève, puis le prosecteur du célèbre chirurgien Liston, son parent, il fut, en 1821, reçu chirurgien au Surgeon Collège de Londres et vint reprendre sa place auprès de Liston, qu’il asîista encore durant sept années et auprès duquel il allait se poser en heureux émule. De 1825 à 1838, M. Syme ouvrit des cours particuliers pour l’enseignement de l’anatomie et de la chirurgie, et ils obtinrent une vogue égale à ceux de son illustre maître. Cependant, par un sentiment plein de délicatesse et pour ne point porter ombrage à Liston, il refusa d’entrercomme chirurgien à l’hospice royal ; mais il parvint, tant avec ses ressources que par des souscriptions, à fonder lui-même un hôpital, où, pendant quatre ans, il lit un cours de clinique. À cette époque, il avait déjà publié deux ouvrages de premier ordre, le Traité de l’excision des articulations malades (1831) et des Principes de chirurgie (1832, in-8<>), qui Le plaçaient à la tête des plus savants chirurgiens de l’Angleterre, Sur la recommandation de Jeffrey, le fondateur de la Bévue d’Édimbourg, il fut, en 1833, nommé professeur de clinique chirurgicale à l’université d’Édimbourg. Cette nomination fut la cause d’une brouille de plusieurs années entre le professeur Liston et son élève. Liston quitta Édimbourg pour aller occuper à Londres la chaire de clinique chirurgicale de l’université. Lorsqu’il mourut en 1847, M, Syme, avec lequel il s’était reconcilié, lui succéda à Londres. Il commença ses leçons en 1848 et fut assez mal accueilli par ses confrères. Ou le traita d’intrus, et le président du collège des chirurgiens donna même sa démission. Obligé de faire plusieurs cours accessoires qui le fatiguaient et l’empêchaient de cultiver la science a sa guise, M. Syme retourna au bout de six semaines reprendre su. place encore vacante à Édimbourg. Il fut nommé peu après membre de la Société royale. Considéré comme l’un des opérateurs les plus habiles de l’Europe, il a introduit en Angleterre la méthode Chopart pour l’incision partielle du pied, l’excision de l’os maxillaire supérieur, le traitement par un régime doux de la gangrène sénile, un mode perfectionné d’amputation du cou-de-pied, et, dans un grand nombre de cas, il a substitué l’excision k l’amputation.

Comme écrivain, M. Syme a publié, outre les ouvrages déjà cités : un Traité sur les maladies du rectum (1838-1846) ; Études de pathologie et de pratique chirurgicale (1847) ; Traité sur le rétrécissement de l’urètre et sur a fistule au périnée (1849) ; des Mémoires ur les blessures par incision, publiés dans la .-ancette en 1851 et dans VAtkensum anglais en 1848.

SYMÉ s. m. (si-rnè). Ornith. Genre de passertaux, de la famille des alcyonées, formé aux dépens des martins-pêcheurs, et dont « l’espèce type habite la Nouvelle-Guinée : Le stms torotoro ruse les grèoes en volant pour saisir les petits poissons. (Z. Gerbe.)

— Encycl. Les symés ou symas sont caractérisés surtout par leur bec, dont les deux mandibules ont les bords garnis, dans les deux tiers de leur longueur, de dents fortes, nombreuses, disposées en scie et dirigées

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d’avant en arrière. Ce genre a beaucoup d’affinité avec les martins - pêcheurs. Le syme torotoro a le plumage d’un noir velouté en dessus, d’un jaune roussâtre pâle en dessous, avec la tête et le bec d’un jaune roux vif, un cercle noir autour des yeux, deux taches de cette couleur de chaque côté du cou, la queue bleu d’azur et les pieds jaune roussàtre. Cet oiseau habite la Nouvelle-Guinée ; il vit sur les bords de la mer, le long des massifs de palétuviers, rase les grèves dans son vol et saisit ainsi les petits poissons dont il se nourrit et qu’il retient aisément, grâce k la conformation de son bec,

SYMÉ ou SYM1A, lie de la Turquie d’Asie, près de lacôteS.-E. de l’Asie Mineure, entre Rhodes et la péninsule de Cnide, à l’entrée du golfe de son nom. Elle fait partie du pachulik des Iles et a une forme à peu près circufaire, avec un diamètre de 9 kilom. Autrefois fertile en blé et en vins, elle est aujourd’hui pauvre et misérable ; ses habitants vivent de la pèche des éponges, qui sont très-abondantes sur les rochers de ses côtes. Cette Ile, nommée primitivement Metapontis et Œgle, fut appelée Symé du nom d’une fille d’Ialysos. À l’époque de la guerre de Troie, elle avait pour roi Nirée, le plus be^u des Grecs après Achille. Elle fut ensuite occupée par les Cariens, qui l’abandonnèrent bientôt, puis peuplée par une colonie de Lacédémouiens. En 1309, elle fut conquise par les chevaliers de Rhodes et fit partie du domaine particulier du grand maître. Les Turcs s’en emparèrent en 1523 et l’ont conservée depuis.

SYMÈLE s. m. (si-mé-le — du préf. sym, et du gr. melos, membre). Tératol. Monstre chez lequel les deux membres d’une même paire sont fondus ensemble.

SYMÉLIE s. f. (si-mé-lt — rad. symèle). Tératol. Conformation des symèles.

STTMÉLIEN, IENNE adj. (si-mé-Ii-ain, iè-ne — rad. symète). Tératol. Se dit des monstres chez lesquels les membres d’une même paire sont confondus,

SYMÉLIQUE adj. (si-mê-li-ke — rad. sytnélie). Tératol. Qui a les caractères de la symélie : Monstre symélique.

SYMES (Michel), voyageur anglais, né vers 1760, mort en 1809. Ayant choisi la carrière militaire, il fut envoyé dans l’Inde et reçut, en 1795, la mission de se rendre dans l’empire birman, où. il conclut avec le souverain de ce pays un avantageux traité de commerce. Trois ans plus tard, il fit un nouveau voyage en Birmanie et obtint, en récompense de ses services diplomatiques, le titre de lieutenant-colonel. En 1808, Symes prit du service dans l’armée anglaise qui combattait en Espagne, s’embarqua pour revenir en Angleterre, après la bataille de la Corogne, et mourut en mer pendant la traversée. On lui doit : An account ofan embassy to the kingdam of Ava in 1795 (Londres, 1800, grand in-io), traduit en français (Paris, 1800, 3 vol. in-8° et atlas).

SYMÈTHE s. m. (si-mè-te). Crust. Genre de crustacés décapodes macroures.

— s. f. Entom. Genre d’insectes lépidoptères diurnes, de la tribu des papilionides.

SYMÈTHE, l’ancien Symsethus, fleuve de Sicile. U prend sa source sur le côté septentrional de l’Etna, dans le val de Demona. On l’appelle aujourd’hui Giavetta ; c’est la rivière la plus considérable de toute la Sicile. Elle était navigable au temps des Romains, et Servius (fil qu’il n’y en avait point d’autre dans l’île qui eût le même avantage. Elle était célèbre dans la Fable : la nymphe Thalie, après ses amours avec Jupiter, fut métamorphosée en cette rivière, et, pour se dérober, même dans cet état, à la colère de Junon, elle se glissa sous l’Etna et y continua sa marche souterraine jusqu’à lainer. Ses eaux ne coulent plus sous terre ; mais cette antique tradition semble fondée sur un fait naturel, à savoir sur les révolutions qu’ont subies, en divers temps, les cours d’eau de cette région si souvent bouleversée par l’action du terrible volcan.

Le cours du Symèthe forme presque un demi-cercle autour de l’Etna, et semble dessiner sa base du côté de l’occident ; puis il s’en écarte tout à coup pour aller se jeter dans la mer, à quelques lieues de Catane, presque sous la méridienne du cratère de l’Etna, et près des ruines de l’ancienne Murgentium.

À une très-petite distance de la source du Symèthe, dans une vallée parallèle à celle où il coule, prend sa source l’Onobala ou Tauromimus, aujourd’hui Fiume Alcantara, qui entoure l’Etna du côté du nord et va se jeter dans la mer au sud-ouest de Taormine, non loin de l’ancienne Naxos. Le Symèthe et lui, qui se touchent presque à leur source, et coulent l’un à l’occident, l’autre au nord, ont un cours tel qu’avec ta mer qui, à l’orient en baigne la base, ’ils forment de l’Etna une sorte d île presque circulaire. Le cours de ces fleuves et la base de la montagne ne furent pas ainsi déterminés dans tous les temps. Les tremblements de terre, les bouleversements de la montagne, l’écoulement des laves ont toujours étendu cette base et poussé plus loin le cours des fleuves. Un jour peut-être sera-t- il Intercepté tout à fait. De là le nom de val de Demona que

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porte le canton de la Sicile qui renferme l’Etna.

Le Symèthe est grossi par un nombre considérable de petits ruisseaux qui sillonnent les flancs de l’Etna, dont le sommet est toujours couvert de neiges. Il est aujourd’hui renommé par une propriété qu’il ne parait pas avoir eue dans l’antiquité, puisque les auteurs anciens, si curieux de ces choses, n’en font pas mention. Il charrie dans la mer une substance qui ne se produit que vers son embouchure et que la mer rejette sur lu plage : c’est le suoein ou ambre jaune. Les paysans du voisinage le recueillent soigneusement et le portent à Catane, où on le travaille en forme de croix, de chapelets, de colliers, en figures de saints, etc. Ce sont les bijoux du pays, et on en expédie même dans l’Italie méridionale. Les bijoux fabriqués de cet ambre sont extrêmement électriques ; ils attirent les plumes, la paille et les autres corps légers avec beaucoup de force. Cet ambre est parfois rempli de mouches et d’autres petits insectes qui s y conservent d’une manière curieuse. Les morceaux d’ambre de cette espèce ne sont pas estimés ; mai 3 quelques ouvriers ont trouvé ingénieux d’en tirer parti. C’est ainsi qu’un d’eux, voulant fabriquer d’un grand morceau d’ambre une figure de saint, eut l’idée de laisser sur la tête du saint une grosse mouche aux ailes étendues, pétrifiée dans la matière, pour représenter, disait-il, le Saint-Esprit descendant sur lui. L’ambre du Symèthe est beaucoup plus électrique que celui qui vient de la Baltique.

SYMÉTRIE s. f. (si-mé-trî — gr. summetria ; de sun, avec, et metron, mesure). Disposition de parties semblables semblablement disposées dans un.ensemble quelconque ; disposition de deux figures dont tous les points sont deux à deux, à égalé distance d’un point, d’une ligne droite ou d’un plan : Ceux qui font des antithèses en forçant les mots, sont comme ceux gui font de fausses fenêtres pour la symétrie : leur règle n’est pas deparlerjusle, mais défaire des figures justes. (Paso,) La première condition de la beauté de la forme en architecture est la symétrie, parce qu’elle seule détermine un centre autour duquel toutes les parties s’ordonnent régulièrement, et produit le sentiment de l’unité. (Lamenn.) Partout où la symétrie est utile à l’âme et peut aider ses fondions, elle lui est agréable. (Montesq.) L’âme aime la symétrie, mais elle aime aussi les contrastes. (Montesq.) La symétrieptailà tous tesyeux. (J.-J. Rousseau.) Rien ne serre le cœur comme la symétrie : c’est que la symétrie, c’est l’ennui, et l’ennui est le fond même du deuil. (V. Hugo.) Un jour le globe entier sera déshonoré par la symétrie. (Feydeàu.)

— Harmonie résultant de certaines combinaisons régulières, de l’observation de certaines proportions : La symétrie d’un discours. La suppression de ce chapitre dérangerait la symétrie de son livre (Acad.) La symétrie a banni le sublime. (Bernis.)

— Atiat. Symétrie binaire, Disposition symétrique d’organes pairs, qu’on remarque chez les vertébrés et les articulés il Symétrie rayonnée, Disposition symétrique d’organes autour d’un axe central, comme chez les rayonnes.

— Bot. Disposition symétrique des parties d’une fleur, il Plan de symétrie, Plan qui partage une fleur eu deux parties symétriques : Les papilionacées n’ont qu’un plan db symétrie ; les radiés en ont une infinité. U Axe de symétrie, Droite commune à tous les plans de symétrie.

— Encycl. Géom. La symétrie peut être relative k un point, à une droite ou à un plan. Deux points sont dits symétriques par rapport à un point lorsqu’ils sont situés sur une même droite partant de ce point de part et d’autre par rapport à lui et à égale distance ; ils sont symétriquement placés par rapport à une droite lorsqu’ils appartiennent à une même perpendiculaire à cette droite et qu’ils sont situés de part et d’autre à la même distance de cette droite ; enfin, deux points sont symétriques par rapport à un plan lorsqu’ils sont situés, de part et d’autre de ce plan, à égale distance et sur une même perpendicufaire.

Deux lignes ou deux surfaces symétriques par rapport à un point, à une droite ou à un plan, sont deux lignes ou deux surfaces telles, qu’un point quelconque de l’une d’elles a son symétrique sur l’autre. Deux corps symétriques sont terminés par des surfaces symétriques.

Lorsque deux figures sont symétriques par

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Fiy. i.

rapport à un point, ce point est un centre du système qu’elles forment. Si les deux figures

sont symétriques par rapport à une droite, cette droite est un axe de l’ensemble ; enfin, si la symétrie est relative à un plan, ce plan est un plan principal.

La distance de deux points est égale à celle de leurs symétriques. Le fait est évident lorsque la symétrie a lieu par rapport à un point. En effet, les deux triangles ayant pour sommets l’un les deux premiers points A et B (ti^. i) et le centre de symétrie, l’autre les symétriques A’ et B’ de A et B et le centre, sont égaux comme ayant un angle égal compris entre côtés égaux.

Considérons, en second lieu, deux points A et B (fig. 2) et leurs symétriques A’ et B’ par

Fig. S.

rapport à un axe XY ; si par AA’ nous menon3 un plan perpendiculaire à XY et que nous projetions B et B’ sur ce plan en B, et B’, A’ et B’, seront les symétriques de A et Bt par rapport au milieu O de AA’, les distances ABj et A’B’, seront donc égales ; d’un autre côté, BB, et B’B’, reproduiront l’une et l’autre la distance des milieux O et O’ de A A’ et de BB’, ces lignes seront donc égales ; enfin, les triangles BAB, et B’A’B', seront rectangles en Bt et B’, leurs hypoténuses AB et A’B’ seront donc égales.

Enfin, s’il s’agit de deux points A, B et de leurs symétriques A’, B’ (fig. 3) par rapport à un plan MN, les trapèzes Aa6B et A’aiB’ sels

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Fi ?. 3.

ront visiblement égaux et, par suite, les distances AB et A’B’ seront égales. Ainsi, la distance de deux points est toujours égale à celle de leurs symétriques.

Toutes les autres relations entre les figures symétriques se tirent de cette première et n’en sont que des conséquences presque immédiates. Ainsi, en premier lieu, les deux triangless ayant pour sommets respectifs trois points et leurs symétriques, sont égaux, puisqu’ils ont les cotés égaux ; par conséquent, si trois points sont en ligne droite, leurs symétriques sont aussi en ligne droite, ou bien une droite a pour symétrique une autre droite ; l’angle de deux droites est égal à celui de leurs symétriques, car ces angles se correspondent dans deux triangles égaux. Un angle trièdre est égal dans toutes ses parties à son symétrique, car ses deux angles trièdres ont les faces égales ; par conséquent, si trois droites sont dans un même plan, leurs symétriques sont dans un autre plan, car l’angle de deux des premières étant égal à la somme ou à la différence des angles de la troisième avec elles, l’angle des symétriques des deux premières doit aussi être égal à la somme ou a la différence des angles de ces deux symétriques avec la symétrique de la troisième ; il en résulte qu’un plan a pour symétrique un autre plan. L’angle de deux plans est égal à celui de leurs symétriques ; car les angles plans de ces dièdres, formés en des points symétriques des deux arêtes, ont pour côtés des droites symétriques ; par conséquent, si deux triangles joints par un côté commun sont dans un même plan, leurs symétriques sont aussi dans un même plan ; il en résulte que les faces polygonales d un polyèdre sont égales à celles du polyèdre symétrique. Deux polyèdres symétriques ont donc les arêtes et les faces égales, les angles dièdres égaux ; il en résulte que deux polyèdres symétriques d’un même troisième sont égaux entre eux.

Deux polyèdres symétriques ont même volume ; car ils sont composés de tétraèdres symétriques deux à deux et, par suite, équivalents comme ayant même base et même hauteur.

En passant des figures polygonales aux figures courbes par lu méthode infinitésimale, on conclura que deux arcs de courbes symétriques ont même longueur ; que leurs tangentes en des points symétriques, leurs pians psculateurs, leurs normales principales sonç

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