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hors que par les ongles attachés au bout de l’espèce de sabot ainsi formé. La-tête de ces animaux est pourvue de puissantes défenses ; ce sont les incisives de la mâchoire supérieure, qui prennent un accroissement extrême, et se recourbent en bas et en avant ; les canines manquent, et à la mâchoire inférieure il n’y a que des molaires. Les parois du crâne contiennent de grands vides qui allégissent la tête. On ne connaît dans la nature vivante qu’un seul genre de proboscidiens, celui des éléphants (v. ce mot) ; mais on trouve enfouis dans la terre les débris de quelques autres animaux qui depuis longtemps ont disparu de la surface du globe et qui, avec les différences dans la structure des dents mâchelières, présentaient le même mode général de structure et d’organisation, et qui par conséquent doivent être cités dans la famille des pachydermes : ce sont les mastodontes. (V. ce mot.)

2") La famille des pachydermes ordinaires se distingue par le nombre des doigts, qui est de quatre, de trois ou de deux ; ils se rapprochent k plusieurs égards des ruminants. Ceux chez lesquels le nombre des doigts est pair ont le pied en quelque sorte fourchu. Leur estomac présente une certaine complication qu’on n’observe pas chez les autres pachydermes, et leur squelette offre des particularités qui ne se rencontrent pas dans l’ordre des ruminants. Les principaux genres dont ce groupe se compose sont les hippopotames, les cochons, les rhinocéros, les damans et les tapirs (v. ces mois). Les deux premiers se distinguent des derniers par leurs doigts en nombre pair et leur pied en quelque sorte fourchu, tandis que, chez les Thinocéros, les damans et les tapirs, les sabots des doigts médians ne se touchent pas par une surface aplatie, et ne ressemblent pas à ceux des animaux a pieds fourchus. On doit ranger aussi dans la famille des pachydermes ordinaires plusieurs quadrupèdes perdus, dont les ossements se retrouvent a l’état fossile dans les carrières à plâtre des environs de Paris et dans diverses autres localités. De ce nombre sont les paléothériums qui, à en juger par la structure de leur tête osseuse, devaient avoir une courte trompe charnue comme les tapirs, mais qui s’en distinguent par les dents et les doigts, qui sont au nombre de trois. On en connaît une douzaine d’espèces dont une, presque de la taille du rhinocéros, a été découverte près d’Orléans. Cuvier a aussi donné le nom d’anoplothérium à un genre fossile de pachydermes ordinaires, qui se rattache, à quelques égards, à l’ordre des ruminants.

3° La troisième famille de l’ordre des pachydermes est celle des solipèdes, et est caractérisée par un seul doigt apparent et un seul sabot à chaque pied ; elle ne se compose que du genre cheval. (V. ce mot.)

— Paléont. Lors de la première apparition des mammifères en Europe, ce sont les pachydermes qui ont dominé. Quelques pachydermes fossiles forment une transition ’.aux édentés, d’autres aux ruminants, et les limites de ce groupe semblent avoir été rendues moins strictes parla découverte des anoplothériuins, qui présentent une réunion de caractères appartenant actuellement les uns aux pachydermes, les autres aux ruminants. En s’arrétant aux espèces actuelles, si les ruminants forment un ordre naturel et dont les genres sont intimement liés les uns aux autres, il n’en est pas de même des pachydermes. Cependant si l’on étudie les fossiles, on trouve de nouveaux liens et des passages nombreux, qui font de l’ordre des pachydermes un ensemble presque aussi naturel que celui des ruminants. Un autre résultat des études fossiles montre que les différences do taille, chez les pachydermes, ont été, aux époques anciennes, encore plus remarquables qu’aujourd’hui. On divise les pachydermes en deux familles : la première comprend tous ceux qui ont des doigts en nombre impair ou périssodactyles ; la seconde, les artiodactyles. La première de ces séries commence uux rhinocéros et se termine auxano, plothériums, qui forment eux-mêmes transition aux ruminants. La plupart des restes des grands pachydermes connus ont été rapportés d’Amérique en Europe par A. de Humoldt et mentionnés par Cuvier dans la seconde édition de ses Recherches sur les ossements fossiles.

Les périssodactyles sont les pachydermes à système digital impair, c’est-à-dire chez lesquels le médius prédomine toujours et forme le milieu du pied. Leur astragale est toujours caractéristique et s’appuie sur le ealoanéum par trois grandes facettes. C’est à cette division qu’appartient le datnan, non trouvé fossile, et qui se développe avec un placenta zonaire, tandis que tous les autres pachydermes ont un placenta diffus. Les périssodactyles comprennent : les rhinocéroïdes, qui n ont point de canines et sont en outre caractérisés par des formes lourdes, une peau épaisse, et le plus souvent une ou deux cornes sur le nez ; les tapiro’ules, qui ont des canines, et doutles’molaires, surtout les inférieures, sont en général formées de collines transverses ; les pieds antérieurs ont trois ou quatre doigts ; les paléothérioïdes, qui ont aussi des canines, mais dont les molaires inférieures sont formées de croissants successifs ; les pieds ont toujours trois doigts ; les solipèdes, qui ont

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des canines petites ou nulles, des molaires formées d’une lame d’émail plissée d’une manière compliquée, et des pieds composés d’un seul doigt développé et de doigts accessoires rudimentaires.

Les artiodactyles renferment tous les pachydermes dont les doigts sont en nombre pair, le médius et l’annulaire étant égaux ou a peu près, le pied comme fendu en deux parties égales, 1 astragale en double poulie, le calcanéum articulé sur le tibia et sur le péroné. Ils comprennent : les hippopotamiîles, qui ont quatre doigts presque égaux, les canines et les incisives prolongées en défenses ; les suilliens, qui ont deux doigts beaucoup plus grands que les autres, les canines tantôt simples, tantôt prolongées en défenses, et les incisives normales ; les anoplothérioïdes, à canines normales, prenant la forme de prémolaires, en sorte que les dents font une série continue, sans barres.

PACHYDERRIS s. m. (pa-ki-dèr-rîss — du préf. pachy, et du gr. derris, peau). Bot. Syn. de PTiîRONiii.

PACHYD1SSE s. m. (pa-ki-di-se — du préf. pachy, et du gr. dissos, double). Entom. Genre d’insectes coléoptères tétrumères, de la famille des longicornes, tribu des eérainbycins, dont l’espèce type habite la Nouvelle-Hollande.

PACHYGASTRE adj. (pa-ki-ga-stre — du préf. pachy, et du gr, gastêr, ventre). Zool. Qui a le ventre ou l’estomac épais.

— s. m. Entom. Syn. d’OTioRHYNQUE, genre de coléoptères, tl Genre d’insectes diptères bruchocères, de la famille des notacanthes, tribu des stratiamydes, comprenant deux espèces qui habitent la Erance.

PAGHYGLOSSE adj. (pa-ki-glo-se — du préf. pachy, et du gr. glossa, langue). Zool. Qui a la langue épaisse,

— s. m. pi. Erpét. Tribu de reptiles sauriens, caractérisée surtout par une langue épaisse, et comprenant, entre autres, les genres dragon, lyrocéphale, calote, cératophore, lophure, etc.

PACHYGNATHE s. m. (pa-ki-ghna-te — du préf. pachy, et du gr. gnathos, mâchoire). Arachn. Genre d’aranéides, intermédiaire entre les lyniphies et les pétragnathes. Il Autre genre d’arachnides, de l’ordre desacarides, dont l’espèce type habite le midï de la France : Le pachygnathe velu marche avec beaucoup de lenteur. (H, Lucas.)

PACHYLARTHRE s.’ m. (pa-ki-lar-tre — du gr. pachulos, épais ; arthron, articulation). Entom. Genre d’insectes hyménoptères, de la famille deschajcidiens.

PACHYLE s. m. (pa-ki-Ie — du gr. pachulos, épais). Entom. Genre d’insectes coléoptères pentamères, de la famille des lamellicornes, tribu des scarabées phyllophages, comprenant trois espèces qui vivent au Brésil.

— Arachn. Genre d’arachnides, de l’ordre des phalangides, dont l’espèce type habite le Chili.

PACHYLÈNE s. f. (paki-lè-ne — du préf. pachy, et du gr. laina, enveloppe). Bot, Genre de plantes, delà famille des composées, tribu des mutisiées, comprenant plusieurs espèces qui croissent au Chili.

PACHYLÉPIDE s. f. (pa-ki-lé-pi-de — du préf. pachy, et du gr. lepis, écaille). Bot. Genre de plantes, de la famille des composées, tribu des chicoraoées, originaire de l’Amérique boréale.

PACHYLÉPIS s. m. (pa-ki-lé-piss — du préf. pachy, et du gr. lepis, écaille). Bot. Syn. de widdringtonie, genre de conifères.

PACHYLIS s. m. (pa-ki-liss — du gr. pachulos, épais), Entom. Genre d’insectes hémiptères, de la tribu des coréides, comprenant plusieurs espèces, toutes exotiques, et dont la plupart habitent l’Amérique du Sud : Les paCHïi.is sont des insectes de grande taille, gui se font remarquer par leur tête courte. (Blanchard.) || On dit aussi pachlys ou pachlydb.

PACHYLOCÈLE s. m. (pa-ki-lo-sè-le — du, gr. pacludos, épais ; kùlè, pince). Entom. Genre d’aranéides pulmonaires, ayant pour type une espèce du Brésil.

PACBYLOCÈRE s. m. (pa-ki-lo-sè-redu gr. pachulos, épais ; keras, corne). Entom. Genre d’insectes coléoptèreshétéromères, de la famille des mélasomes, tribu des ténébrions, dont l’espèce type habite les côtes de Guinée et de Sierra-Leone. Il Autre genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des longicornes, tribu des eérainbycins, comprenant trois ou quatre espèces, qui habitent l’Inde et le Sénégal.

PACHYLOME s. m. (pa-ki-lo-me). Bot.

Syn. d’HÉTÉRONOME.

PACHYLOPE s. m. (pa-ki-lo-pe — du gr. pachulos, épais ; pous, pied). Entom. Genre d’insectes coléoptères pentamères, de ta famille des clavicornes, ’ tribu des histéroïdes, dont l’espèce type vit au Cap de Bonne-Espérance.

PACHYLOPHIS s. m. (pa-ki-lo-fiss — du

fr. pachulos, épais ; ophis, serpent). Bot. Syn. ONAGRE OU ONAGHAIRE.

PACHYLOSCÈLE s. m. (pa-ki-lo-sè-le-du

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gr. pachulos, épais ; skelos, jambe). Arachn. Syn. d’ACTiNOPB, genre d’arachnides.

— Encycl. Ces arachnides, appelées aussi actinopes, ont pour caractères : des mâchoires divergentes, allongées, fusiformesou cylindriques ; des palpes très-longues, pédiformesjliuit yeux, formant un groupe dilaté transversalement sur le devant du céphalothorax, qui est cordiforme et relevé en avant ; l’abdomen gros, ovoïde, attaché au céphalothorax par un court pédicule ; les ouvertures stigmatiques, au nombre de quatre, ovales et en forme de boutonnières ; deux paires de filières, à l’extrémité de l’abdomen ; les pattes robustes, courtes et renflées. Les pachyloscèles Aient une toile en forme de bourse, à la racine des grands arbres, dans les lieux marécageux ; elle est enfoncée à om,15 en terre, et attachée au tronc de l’arbre ; l’animal se tient au fond et n’en sort probablement que la nuit. En novembre, les petits, très-nombreux, recouvrent l’abdomen de la femelle, qui est alors très-rapetissé. Ces arachnides, qui ont des affinités avec les lycoses, habitent surtout le Brésil.

PACHYMA s. m. (pa-ki-ma— dugr. pachus, épais)." Bot. Genre de champignons hypogés, formé aux dépens des truffes.

PACHYMÉNINGITE s. f. (pa-ki-mé-nainji-te — du préf. pachy, et de méningite). Pathol. Inflammation de la dure-mère.

PACHYMÈRE adj. (pa-ki-mè-re —du préf. pachy, et du gr. mêros, cuisse). Entom. Qui a les cuisses épaisses.

— s. m. Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des charançons, tribu des bruchides, comprenant environ vingt espèces, toutes originaires de l’Amérique équinoxiale. Il Genre d’insectes hémiptères, de la famille des lygéens, formé aux dépens des lygées, et dont l’espèce type habite l’Allemagne, n Syn. de glaphyrb, autre genre d’inseétes.

PACH YMÈBTÎ (Georges), historien byzantin, néàNicéeen 1242, mort vers 1310. Lorsqu’en 1261 Constantinople fut reprise aux Latins par Michel Paléologue, Pachyinère se rendit dans cette ville où il compléta son instruction, entra dans les ordres, étudia le droit, devint procureur général de l’Église de Constantinople, président de la cour dejustice impériale, gagna la faveur de l’empereur et fut chargé par lui de plusieurs missions importantes. Pachymère se montra un adversaire déclaré de la réunion des Églises grecque et latine. U se livra à l’enseignement et compta Manuel Phile au nombre de ses élèves. Son ouvrage le plus remarquable est son Histoire d’Orient, en treize livres, qui va de 1258 à 1308 et qui joint à une remarquable impartialité un style pur pour l’époque. Elle a été publiée, pour la première fois, avec une traduction latine et un bon commentaire, à Rome (1666-1669, 2 vol. in-fol.). Le président Cousin l’a traduite en français. On doit en outre à Pachymère divers ouvrages, entre autres un Abrégé de la philosophie d’Arislote (Augsbomg, 1600, in-fol.) ; Sur les lignes insécables (Paris, 1629) ; Paraphrase des œuvres de saint Denis l’Aréopagite (Paris, 1561), etc.

PACHYMÉRINE s. f. (pa-ki-mé-ri-nerad. pachymère). Entom. Genre d’insectes diptères brachocères, de la famille des tanystomes, tribu des empides, formé aux dépens des empis, et comprenant quatre espèces, qui vivent sur les fleurs de nos prairies.

PACHYMORPHE s. m. (pa-ki-mor-fe — du préf. pachy, et du gr. morphé, forme). Entom. Genre d’insectes coléoptères pentamères, de la famille des carabiques, tribu des féroniens, dont l’espèce type habite Le.Chili.

— s. f. Genre d’insectes orthoptères, de la famille des phasmiens, voisin des bacilles, et dont l’espèce type habite la Tasmanie.

PACHYMYE s. f. (pa-ki-mî — du préf. pachy, et du gr. mutin, muscle), Moll. Genre de mollusques à coquille bivalve, dont l’espèce type.a été. trouvée à l’état fossile dans le lias, en Angleterre.

PACHYNE s. f. (pa-ki-ne —du gr. pachus, épais). Bot. Syn. de phajtjs, genre d’orchidées.

PACHYNÈME s. m. (pa-ki-nè-me — du préf. pachy, et du gr. néma, filament). Bot. Genre d’arbustes, de la famille des dilléniacées, comprenant plusieurs espèces qui croissent dans l’Astralie tropicale.

PACHYNÉVRON s. m. (pa-ki-né-vrondu préf.pachy, et du gr. neuron, nerf). Entom. Genre d insectes hyménoptères, de la famille des chalcidiens.

PACHYNOTE s. f. (pa-ki-no-te — du préf. pachy, et du gr. notas, dos). Bot. Syn. de mathiolb, genre de crucifères.

PACHYNOTÈLE s. m. (pa-ki-no-tè-le — du

fr. pachunâ, j’épaissis ; telos, extrémité). Intom. Genre d’insectes coléoptères hétéromères, de la famille des mélasomes, originaire du Cap de Bonne-Espérance.

PACHYNUM, ville de la Sicile ancienne. V. Pachino.

PACHYODON s. m. (pa-ki-o-don — du préf. pachy, et tiu gr. odous, odontos, dent). Mamm. Genre de mammifères cétacés.

PACHYONYQUE s. m, (pa-ki-o-ni-ke —du préf. pachy, et du gr. onux, onuchos, ongle).

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Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des cycliques, tribu des alticides, dont l’espèce type vit aux ÉtatsUnis.

PACHYONYX s. m. (pa-ki-o-niks-du préf, pachy, et du gr. onux, ongle). Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des charançons, dont l’espèce type vit au Cap de Bonne-Espérance.

PACHYOTE adj. (pa-chi-o-te — du préf. pachy, et du gr. ous, ôtos, oreille). Mamm. Qui a les oreilles épaisses : Chauve-souris

PACHYOTE.

— s. m. Mamm. Genre de mammifères chéiroptères.

PACHYPALPE s. m. (pa-ki-pal-pe — du préf. pachy, et de palpe). Entom. Genre d’insectes diptères némocères, de la famille des tipules, tribu des fongicoles, formé aux dépens des mycétophiles, et dont l’espèce type habite le nord de la France.

PACHYPE s. ra. (pa-ki-pe-du préf. pachy, et du gr. pous, pied). Mamm. Genre de mammifères édentés. Syn. de glyptodon.

— Entom. Genre d’insectes coléoptères pentamères, de la famille des lamellicornes, tribu des scarabées phyllophages, comprenant six espèces qui habitent 1 Europe méridionale, u Syn. de callicnémide, autre genre d’insectes.

PACHYPÈZE s. f. (pa-ki-pè-ze — du prof. pachy, et du gr. peza, pied). Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des longicornes, .tribu des lamiaires, dont l’espèce type vit au Brésil.

PACHYPHRAGME s. m. (pa-ki-fra-gmedu préf. pachy, et du gr. phragma, cloison). Bot. Syn. de thlaspi, genre de crucifères.

PACHYPHYLLE adj. (pa-ki-fil-le —du préf. pachy, el, du gr. phutïon, feuille). Bot. Qui a des feuilles épaisses.

— s. m. Genre de plantes, de la famille des orchidées, tribu des vandées, comprenant des espèces qui croissent au Pérou.

PACHYPLEURE s. m. (pa-ki-pleu-re — du préf. pachy, et du gr. pleura, côté). Bot. Genre de plantes, de la famille des ombellifères, type de la tribu des pachypleurées, comprenant plusieurs espèces qui croissent dans la région méditerranéenne et au Cap de Bonne-Espérance, n Syn. de kéogaya, autre genre d’ombellifères.

PACHYPLEURE, ÉE adj. (pa-ki-pleu-rérad. pachypleure)., Bot. Qui ressemble ou qui se rapporte au genre pachypleure.

PAGHYPODE adj. (pa-ki-po-de — du préf. pachy, et du gr. pous, podos, pied). Hist. nat. Qui a le pied épais ou le stipo épais.

— s. m. Bot. Genre d’arbrisseaux, de la famille des apocynées, tribu des échitées, originaire du Cap de Bonne-Espérance. Il Syn. de tkélypodb et de tongué’e, autres genres de plantes.

PACHYPTÈRE s. m. (pa-ki-ptè-re — du préf. pachy, et du gr. pteron, aile). Entom. Genre d’insectes coléoptères hétéromères, de la famille des mélasomes, tribu des opatrides, comprenant trois espèces qui habitent le Sénégal, la Barbarie et la Corse.

PACHYPTÉRIS s. m. (pa-ki-pté-riss — du préf. pachy, et du gr. pteris, fougère). Bot. Genre de fougères fossiles, comprenant deux espèces qui se trouvent dans les terrains oolithiques.

PACHYPTILE s.- m. (pa-ki-pti-le —du préf. pachy. et du gr. ptilon, aile, plume). Ornith. Syn. de puion.

PACHYRAMPHE s. m. (pa-ki-ran-fe — du préf. pachy, et du gr. rhamphos, bec). Ornith. Syn. de pachyrhynque.

PACHYRE s. f. (pa-ki-re — du préf. pachy, et du gr. oura, queue). Entom. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des charançons, comprenant deux espèces qui habitent l’Australie.

PACHYRHAMPHE s. m. (pa-ki-ran-fe — du préf. pachy, et du gr. rhamphos, bec). Erpét. Genre de reptiles, formé aux dépens des ptérodactyles,

PACHYRHINE s. m, (pa-ki-ri-ne — du préf pachy, et du gr. rhin, nez). Entom. Syn. de

PHYTOBIE et de RH1NONQUE.

PACHYRHYNCHIDE adj. (pa-ki-rain-ki-de — rad. pachyrhynque). Entom. Qui ressemble ou qui se rapporte au genre pachyrhynque.

— s. m. pi. Tribu d’insectes coléoptères, de la famille des charançons, ayant pour typa le genre pachyrhynque.

PACHYRHYNQUE s. m. (pa-ki-rain-kedu préf. pachy, et du gr. rhugehos, bel ;). Ornith. Genre d’oiseaux formé aux dépens des béCA.-dps.

— Eutem. Genre d’insectes coléoptères tétramères, de la famille des charançons, typa de la tribu des pachyrhynchides, comprenant trente-cinq espèces, presque toutes original res des Iles Philippines, il Syn.deHHiNosQuiî, autre genre d’insectes.

— Bot. Genre d’arbustes, de la famille des composées, tribu des sénécionées, dont les espèces croissent au Cap de Bonne-Espérance.

PACHYRINE s. f. (pa-ki-ri-ne — du préf, pachy, et du gr. rin, nez). Entom. Genre d’in