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ïv., .

partisse. Avec la qu’atralyi, to blanc-doiinô un ociavon. Tous ces.mélangeï se ’compliquent davantage quand «es - races si ’mêlées s’unissent encore entre elles. Ainsi ; un terceron. avec un mulâtre engendré ce*-qu’on appelle un saluitras.~ Uiî’mestice avec un quarteron donne le jour à’ùn •coyote.^Va griffetavec un aambi formei, un, giverpg. Un 'mulâtre avec un zambaigi.«produitun„ç$pibujô., Dans cette second ?(division’ de, la, trpisième lignée, lea^.prpduits tiennent âujmojns de sept à huit sangs différents ; et, ;â.mèsure

; que ces complications se multiplient, ^ôusjes

grands caractères des races pu tigés^primprdiales s’effacent, se, modifient les uhs, p.arjes

’.. autres, de telle (m’anière, que..ces pro, dui.ts, yné

retiennent aucun dèleurs’traitSid’unerfagon

un peu marquée..Les gercerons-, ety.l.esrquar- ;

"terons, mélanges du mulâtre avec, le, blaxicj

ont une peau, plus ou moins basanée.. Les

—’femmes’ont les lèvres’dé la bouchot celles du vagin violettes ; ’les hommes’quarterons conservent le ; scrotum noir du rîëgrfeUEn gé-j néral, cette teintexnoire se conserve ’davantage dnns.lesorganes^sexuelset.nu^rjtifsque " dans les autres parties’ ;, ,4° la raceyblahçho

unie à’u'.quarterpn-forme.un^Vitiero’ii^uyëc

un octavon caraïbe, elle produit iïa’puchuelos ; avec un coyote, êl.le^niie un3Aarni«>s. Lé mulâtre avec un cainbujp donne uni«iia-i rassados, et, avec un albarassados, le. Jjlanc

— -produit un barzïiïos.~'Li'"’ . r’. , . /v^, "1, ", ’['«- ’ Il existe encore, d’autres mélangés que les

, ! auteurs n’ont poiàUdécrits&tft[UaVnôû% né faisons qu’indiquer, caron’cbnçoit aisémijnt

■ que toutes ces ; espèçes peuvent sevçrqiser de différentes manières à l’infini. Cé, qû’iLjX al de remarquable, c’est que. tous ces mélanges, " après trois ou quatre gétfe ?àUpriS,1r’éyienTient’ toujours a leurtvpé originairé, nW.lg.r^les’ modifleatiohs’à^porièës^pà’i^ ritiiré et : les’ hulîitud’esy Les’ !muVdfr’eï, Wlrles

« races mélangées’ passent ’pour êtifé’^rfans les colonies, .la lie ; dei’eapèçe.humaine.lUK ’

■ ’ MULÂTRESSE s.1 f.’fmunâ-’tro-sVi-li-^fém. ! . de mulâtre)’. Femme !mulâtré : rA■Uîàge<des

pussions, ils oublient facilement quécwVbeUes mulâtresses, à ladémjxrçjie VidçlexUe^UiSou-, riréagaçv, nt, sonijeuj{ss<purs ;.(Èxp.illy.) Vfius aurez pour cuisinière une mulâtresse, ce. ; ça» .. donne un fier, ton à une.maisôn..(Baz.), ,^v,1-’.

« ■ MULAZZO/ville dirroyàume d’Italië, ’ ;’prpvince de Massa-Carrara, district de Po’ntrem.pji, chefflieut.de mandement ; ;4, -iWilîab.

MCLBACIl (Louise)]’ femme-i auteur ’allemande.. vViMuNpT<r * y"/ ït> :n»'>.>• y : itf

MULCÀST-fen (Richard),1 humanistéanglais, né ù Carlisle vers 1535, mort à’Stâmford (Essex) en.16H ;.Aprèsaypir orgaiiisjâj.et dirigé, do 15G1 à 1596, -l’école des marchands tailleurs.de-.Londres, il.devint principallde l’école, de Saint Paul, qu’il quitta dans.l’année 1608, pour séretirer à Stamford, oit iLvenait de recevoir^un-riche bénéfice.* On, , a de, lui : Plan pour la bonne éducation des<enfatits (Londres, 1581 ; jn-4°) ; Enseignement., é.lêmentaire, première partie trqitartt, principalement de l’art d’écrirécorreclement.la langue a)iglaise (Londres, 1582) ; , Caiechis’musPauliûus

;(i6ôi, in-go). ;- ;< ; ;^., ;„, : : ; v., JJV/.m ;

MUlCIÎDONIUM, nom latin de Mussidan ?

MULC1BER adj. m. (mul-si-ber — mot lat. qui signifr /orgerdn) ;’Myth6l/ïart^Euifhë’tede Vulcain. •■ r^.-y.û.i ^^" ^[

; MULCTÉ, ÉE (muj-kté), : part, passei^j’v.

Mulcter. : Larevoluiiqn.de JuttUll, hyll'se>nble . pas, hëe viable, .parce qu’èïle^esi muxctéeJj^uh- '.trçiie. (Chateaub.) ;, . ; >:, ’., ;, ’^ l’^j^mh

MULGTER v. a ou tr’, (inul-kté’^dé mideta

; ou mHUaj’amendeVprôpremerit^uri’é’jat{Srdo’

■ lait, selon Delâlreji’dé’, niu/fféo’, -traire ; grec amelgà, ancien irlandais mqlg ;.àngib-siixbn

« meolcan). Jurispr. Condamner’àqùélqnè-peïne,

. » punir : 0» mulcte d’une tarte amende ie^thiû, -.

tre ou le euj’é’qui néfermèpas^sèi^’p&rlê&ati

■ douzième coup’de minuit’ :' fM’éry’.')"lLl ha"Pu !

— ■ !- Par èxt. Maltraiter,1 ’dfferis’èr ; vexer’ ;11,

. MULD1S, .ri.v.ièjre d’Allemagne, formée idans

la. Saxe royale.par la réunion’ du :Freiberger et duSçhneidberger, quiduscendéntdeiiKrz ... gebirgejellecoiile.îiu Si.iO-, passéepZwrckau1

, et se jeiieldan3, i ;Elbej, pçés<(je"Dessau’, idans

. laiprincipauté d’Anhalti.’iaprès- unticoursiile

; 2601kilpm., n i :<. 1 r., i„. b. tt ’. ■ yi I ^r ;, ^h)i£-i,

<• ’MULDER (Gérà’rd-Jéâh), ’SavahtJ’ch’lmi4te

— hollandais, rié’à Utiecht’eh l’80ï. Ii*fut’réçu en 1825 docteur en médecine êt ;én ph’àrma■ cie, et, aprè’sâvoir pratiqué ’quelque ’temps à

— Amsterdam,1 il’devint’éri1 ;18ÎB..prbi’essetirL’de physique a !là Société batavé de ^R’dttèrdainj

■ L’année suivante, MiMdlder fut noinTi’i’è'.pro-i ’ fesseur dé bbtaniq’ue !ét, peu âprè’si’dechihiie

1 à l’école de médecine que l’on venait d’établir dans cette villè.^Eti’1835^’ii renonça comfilétemént’àkla"’praiiquédfe soii art pour se ivrer tout entier àTétisèignement ét’aux travaux seientinques. Depuis 1840, il est.professeur de1 chimie à ptrecht. Lès reçhéi-ch’èVde ’ M’.-Mulder bnrsùrldut porté stir’ia çh’jlih’ié’aniînalé et éri particulier siir, l’es. cbrp^aJbuhnrieux. Il leur assigne à tous ; commématière fondamentale, une substance qu’il "appelle protéine. La difficulté d’obtenir la protéine, telle qu’il l’a décrite, a conduit Lieblg^et.les chimistes de son école à mettre en doute l’existence de cette substance comme corps1 organique indépendant^ ce qui a donné lieu,

—5l7JI/i MULE.

  • ■■ •’ ; i’-îi-j 1

Û’HUM

brave chevalier attend tranquillementque la îportè ?(sej.présefité-d’ellè-méms^p’du’r’faire isauter la’iîiuiepâr-tdessus’lé fossé ; et léfa-j rouché ’châtelain ;.un’géant énorme ; émérl ’ veillér de son couragevlHi’JfaU tin’e1 proposition. honnêtei :-<C !oup’e-moilar-tête-aujoùr^ d’hui, diPil’aii’chevâltérj’àsxiondîtionque-je I, pourrai couper-da tienne.■demaini], |p.aiuvain , acc, ép’fâ-.Wn8Krnên&ooP. o.Ç’o’up.ei lftjitê.tOjidû Sfen^iiflH’ tnï ;PP^a ?W !i ?ftê»i ^-.IKécieuse-f j^mentjsèrrer Lspnf, chefuaans un5buffet e.t.pîen c(l8âG) ; Dissertations fit.exj>eriencesçde<ehimi’e ’- j râyjén115p"âs.fmpins..le : lendemain ;, exiger ; lftc

( ?73

publié-un* grand ■ges, remarquables surtout pàr’leiir science et — par leur clarté.Néus’citëronslessuivants : Essai ’d’une ’chimiéphysiologique généralèr’(l&H- 11846, 2 vol.) ;"l Alimentation dans^’les Pays ? ^Basiçonsidérée^dans sesrapports’WoecTèsprit ^publie {is’4l)^]ANour’ritufédes nègrçs’a’Su^rinàml(lS’47)-, iltéckerchéà élHrmques’(ik41)j a Chimie du vin^n&56)’-S&’CAimïe*’HéUâ'Jo’iÇr’e(18âG) ; Dissertations.et.ejçperiencesçdetehimiè ", (1,857, ’ j£iyj»j-t-MjUhpdè ? d’éprouver Jaugent . ^(ÏSSpj.i’IaiÇiiimî^dé/^a^/erJje Trfg’éiàl£l(v&} ' j7i :8,6Ï, ’, i3jyoL}^^eTcùjIiia^én outjre^’fp’urnl^une jfjfèuj.g^e^mempiriê’sijdiïf^e^^^ ’ j tinflpeâ er’^i^â.iK^/avec. HÛIljetîVcgU^idé ’ , 182Sj’ijû 83€, îles’. P£a£ménUypouff, Jis^sciéncest^iat’uyfillfS^sênïàùjis^S àâ’836, et, àvéç4Wéncr j/ këbaçH^d’e, ’1836 à, Î83’J*, les Archives’"des. sçien[

;VeV]i«aiu^e//M1"èil, çÂimy’[ië^ ;/, ayec. Miçk^lTet
;NVei}ckèbaçh’, le Sulïeti}ides.sciences physigùes’et'%naiyfellès en NéerVânde !, KnJtyi !j’d§ puis

/^■lî^jfi.l jfjiitjpaiâître, jésJJixp’ép^nçes^d^.çHij '^mtàfajtesfiatis^léâlabo^^ t4’.ftr. ?P^-îo~ V’Cs jnJ-i’vijia th.iu.v iuoI.v/ ! —, i"MOLDIlAC-.(François-Antoine), ’iihistorienjfrançaisji né.’àscomp !ègriecen, .’16Ô5, rmort a iJ.ongpontènjiaG7/ ll’.prononçay èh lSît/ses L’vtauxidans’l’abbàye deiL’ongpont, dé l’ordre de Clteaux, près deSoissons-, y enseignala’.phij., losophie, et la.théoloeiejet y.fut élu.prieurien 16g|. On^a de lui : Compendiosum aobatise Lon ? gipôniïs^chronicqji (paris, ,1Q52) ; Je Valoif royal amfîCifiï’ei, enncHi u£èlflWiéurs pièces curieuses ?-ë’xïr’aifés dèslçdrïulàïrès’et archives,6(^, (1062), réédition’dé4l’ouvrage da Ber

■ gérôn, refondu, et augmenté, .etc....., U, ,MUijE slf., (mujrleJ^Jat, wu ?a, motique. Dej

■ Iwj’eTcroiï’efre^pour mugilàj^die. mugirê’, ’mu-Lgif.jLa’JBîUÏêJ serait a)nsjsdésigîiée a-jpaujg’de

—son ^brajmént, [Çelù^trè^^àussille^masculiii

mùluï" niujét, . est’ppur "muiilûs^mxiXxi’éf’ëïfiè nom, .appli’q’uè aïï, mùlé’t^ùi.n’ieng’éndré point J ^àurait^éu.vilan’s’llà^suityi, lè Tféinînin" mula, |

înàïs’ ce hJestlà qu’unéIh’ypo’tK^s’è).’ :Fêni :éllè

muL’klHmbràgéuïélu£llèf', iàb' tiishËiw |

^produit’ quelquefois’ ; ^urtoiit^dàns^lfs rpàyi "’ch’aùdsL(BàkywLaiMbLi£' :èstlëni^

monturébbnneuit^sârë^et’dont ié^gran’oVîeit • moir.^.ombragéide. Ibngstcils, a.beauçouplde-dou aiceuri(Renan ;) a ?, xtj iaub ’■iw.uuii tt) aiL K’tàl-muIéëst ;’de8tiriéë !’ftux, ’tràvàux ?d«’léî’ter™ ?T

i’1*Bllè ; aimàtlà’Cliarruë ; ytls’y falt^ùisëm’ëht. — ^^cl > Un. ii. jKHl’UI’. Mlt, r M- AMtfj.’jji Rds’sÉT’.10 I

i iij w’ËfitLfdjitiufqiïè, fyrejêïû’commè une tAxilelÂ’vdi’rr beau’bbifp ’dé caprices t’d’obstination ;

idiénté ?temèiit :’J-, uV’ :, "" i’ r, " ; t, J’ah ’

nu i^7iferre''t !a. nu'^> ’Pial.fert-Uli [Pcont, sarjjia

Ui’A.montrprime«jtalents.lToccasion, e«t $elle : : u^a ib S&yo’t’ferr.er., la mule est, uo art.oag’flxcelle.^v », Secrétaire banal, je.m’eniTais essayer, nu iulio

!. ;■ !Puisque, me met enj.œuvre, a m’.qn.faire : paver.

, [ 1 va rumW’A -" U■ : Jtlii.3.Bo.DRSiULT.’j

Qcpm.plissemen^dujtrai^.iGapvain lpo.se &js.on

ïoîi’r’lâ’tétë’sur lébifiot ; niais iejfgéant, :, qui

, n’avait jamais vu personne, faire, .si, bonne

rcontenlntië’fei q’m.’ayaitMrAt’mâ(fes^e ^conténânii’é’îët qmt’avàitgarni’ aè -.T ir|.

^en’évaliyrsuFqusy^ës".’pi^ù’xl’j<^eipff|(fc^

°ép’h’rçné, cetté^isis6H :’hôïéietinême°p/ô^

de lui rendre le frein de la mule s’il ’soft vain ! îfqiiefedé-qiiêlquéâ.luttêy^a’naiûiifrb^tTse. Il liS’agit de !tiïer. Jquelqu’eS :ïli6nsiliie3, sérp’eïrtsj,

des tigres et’de désarçonner un chevalier r jusqu^àkirs-.injyai nçu^ Tout cela (est) çjipse fal cïïfjpffijf§ $ùii , qui.emporte, Jenfin, île.préj-^cïoujtj freinjetyientilë ixendre ^à ; lau.beilfijien ^p’réseiicà^dj’Arrjtùs, ,Qt^e1ltqut, e.ijla, .Iç>pur4uÇe^

âgréable.récit offre coinmo, uno réductipn Jes 1 l.qng’ù'esj’invenû 14

T^S’AxW^^uj jf. I j lUl.j’lt.a !’, !, x ;JV ’, -lVim Util

xi Slnio de Eodro’^Ajyopéraqenideuxuftétes,

; ; iparoles)’de M.’Ditmanyir, musique dè’M. Victor

(Massé ;"rèpréienté-àll’Operaj’Ie^e m’ars’TSoal.

oLènfèrmiert Pedro, -v, eut’épôusèrGilda’, ’qull’est

itoiinéài.'par^levjeune >sold’at’a’èbalUoil’Il ?cèoit

ise jdéb’arrasseru’de iiôh-’rivâl^érii’luiîfaièànt

t quitter, leipayi’dans sa) propre !’carriole ; ; nïais

isàimulé.àila faculté dé-revêntriaaMogis sitôt

., qu’on, ià^laisss libre. Tebâldb, s’étànt èndbrtn i,

estsràmené près’dè Qilda.5 Cécan’evas3con / .jKp i.ai t roigu x, aupthéâtre dej IjQ p.éraiC.o m i q uçf

q^uja/^éïuij’delb’p^ra. Les, cp.tiBleis : que„chauté

)P1e^Oj"ënçi’hpnpeur de "saiinuiei, appt dîunè

^acture.-.habilë.etjp.lu^i.eurstfpis^répôt^Sâdiinà

içlÇ^uNî4^irpuTT%PnQni^iemS, ’(luôr>»ssi

Jijé^chœurides^rerps êtLla„rpmance.iQe ;Gilda | u'Çh’q^ye-jqu^je, A^eJje-, irappel^

^aàj’a’niy^aroiy^^JiïQtipymM^’, .il /. xu’jï |

, Ij -iMULÉ s.ïfvj(mu-le"— ; dudàt|in’lm«iiewI, çaijïiceusi ouîsimplement’ 'mu/îetM ; l, sorEé(dè’iBfôde)’quin ; iiainsi ?désighéit-àt)caûsé-idei’ sa’ cbuleur[ >toé ; ; mu/fiù, ’iwuget, J’phisson -roûgè. ’—D’après <î’Festu8, dïautres>pensaieht’quë, fnu7/e« S.venait £de «i«i/arejrcou’dre j) ’màis’la^fôrmb’ àdjébtivé >îdeln.uitétMxîindiqù’e, ’piutôt’|mû’.7u/. ’Quant- a «TOuie^éngélure, un’l’à'.tire <ïëmiilè ûhaiissûrej ■>à’ causéiletfassiirfilatiOTï avec ; uiië chaussure . Hqûi-iblessâ^ou^blen’-’pà’rbe ?q’uéules :1ën]géïùres iirendent ei’eétalon aussi’rrb’ugé"^ue1 lànïûle

;pantoufleil Schëlerfccfoit’qûe^ce -motj sigiViliejproprement-"crèvàss8l :étl-viéntl ’du’vîeiix flaî

nmand^’J» uyl’, 'J bouché, ^ôàvértù, rë).yP&rîtb’ùTfié jtdihoinme ;’Uîh*uSsUfé Ba’ns-qufifti’érrkIli ;ûSa’géi

idesbfeinmes- : i Uriéipaû’e ■’de'i :'<avLÉa’. ’Mm’e^dà

aii-j.’.l ’jL- tiû32i.ixi

chines. Mrit fois plus merveilleuses. que, jâiMUT.E^kwY^l&méttyr àbasl ïà’prês&à'cyli>ù}fa ;, an jièl'fe, rqiï.j’qui’qis que ’multiplierais ’travail.

ii^raîlliX ?- MULB-JENNV3. , ... r’ ", ;.

avxMIILÉT Sipm.i(mu-lè ; , tt Ce^mot a-.probatibleii>en.t : une[prîpine sémitique ;TÏlieura., étô emprunté ;à l’arabé par. Vo.apaffn.ol «ît trans- ! mis a"X : antreSilangues néo-latines etia quel^qjies) idiomes’.biutoxiéens appartenant, h -.•’uns iisouchë différente : C !est du moins, l ; orjinion"3lu tifélèbre orientaliste allemandiiVon Humcherî-’iPurgstiilh ; Selon’.luii ileimot -muje/inp^sorait1 autre chose iqhe^e participearabe. mouwelîad ri ou ! wwi. ?flrf.i.Celipai !ticipei.vientldé’ lavtrac’ine a’t^ilîtéréowflïado.’iilia’ènfantéuet^désignèspéocmlementliai lar) second^iforme, mh produit isdbntil’oEigin’enîest pas pure.’étlqui èstnéidu hmélahge : de : deiixxace3, ]par exemple ; uné !exupressioniqui in’est pas rigoureusement : arabe.’ n O’estidptmpûtaeWno.queil’espagnol a fait, par contraction, "wttîaj’.ritalienifMiifOjiiei français mulet, mtt(’e^rnmMïr8, ^l’allemandJsj3S ;.iTiots ^jçgmp.osé^m’auî^s^ï ;’ mautttùer-l.fLnsWismiile, '^e J)<pl6nals’, e.i’ !lj ; vrusse mut, étç^.L^iinûtj’hé-l breu*quiJ’désig’nè le mulet e^Ljjhefed.^Jlprésente une analogie singulière, Jqupjqùe^vrair’ seinbràblëmënt fortuite, aveb’ l’allemand pjferd} cheval." Le -mot-tifre ’ employé" pour ’ dé’si^ner léJmulé£-est qatir ou qatkir). Mamin. Animal xëngendréi’dfup âiî’dfel/d-’uneKjumân’tTdà’d’un

•chevul ;ët.d’unerânesse ; iséidit’w, particalioreri

niant jdu. ?prëmier ;-deices, Tdeux prpduits’,1 le bseçoridjp’ortantJ.lenomJdeiBARDOTi : Ï4 mddet luesttêtuxt difficile à condx»re :’t ;îioht.)iLemvii.wc3tient’ibeaùeoup’iplM.de^son pèré l’âne, v..quant*à l’intellinencèf que ; de^sa’-mèreilài’ju- ’.•msiîi.EpToussenel.’Jl/ié’ uulht^'emblème : de* la ilféodaLité^merctintileJiembtèm’d "dw^bourgeois •VS’tuiuaniteuxeVpôltr.wsh’aspas’iitéidestiné sparWietià’fairésovchei (Toussenel :)Ji ^n} , Xo, m«Ie (reconnaît.une jument pour mÇ/e. i.,

i-.ilni’.i.i !.J l’Hrif in) .. !, ’Jm :. CM1U.IS’-"i’ uJ [, .Peux çruto ohçniiniiientj l’un, ^avpjnu charge,

i.h-J, ^L’autre portanYl’argentjdeiîa^jiVclla. na. I

U1IU.•’oJJ.l/lf.", : ’.■•./, -.... b ljLA. !ÎO.flTAINE, q

iiL-Le !muiedd’un prélat ta pinuaitide.nobltsse.ilij

iu’i uL nui Et nei parlait inoéssamment )t.j., jp 3 ulliin’il Quaideisaimère la jument, -.. ! x : biuiilni ni ■.uni. *]-jDont’il comptait mainte proucsEO.’ n. n un r".’.i, 3< ;1 lui jiiu. Julil’-H’) : xlli-ii’qNTAiNB’.'Jt^

  • ’■ Il Grana1m !li’etI,0 !Mûlèt’ J’prbprèmoht’ Uit, »fnô

^d’ùri’in’è é^a’ùrië^unVènÈi II Feii’r Vàilet’fàkr- ’ dot1.’m’étis’ducheval ë’t dë’l-’ânësàë. ’ilt’i !/t ?/e*

■ requèté.IVéspâsienV’Soupçbnnaiit1

  • ’veiïcè -.’Combien aijtu gagnera ferrer*lamûle^

i«dit-il au muretiér ; et’il Kefltidohnêr l’a "moitié, 3, dè’iâ"sommè, qu’avait1 donnée l’o* plai’dëur.^l i-.it..Mji-ujj iftd nicheval^ni’i

^Guitdutt’étaii’nù-jàmbes^etâiJâît’pêrdu^un’f.dà

>7«ëj’M(ji !BS ?r(-Mmct]ë’ Sôv !’)iî GhhussurëJd’é’dés-j

sus, queUlorïmettaitipoùr’-sè’ garàhtirlja’é’-Ila

3f.bpue, jeit, querpnrnommewaujqurp ; iiu^ft*.wicHE ! j-J-^lPantôuflerdu^pape, 'sur>laquelle*jilx.yi a

jijinecrpix^rjSawr, -./» MtiLE dwpape.’S. ’i<

•iiiy.-5-.Àiltiq. ; iiSorte : iae)cbrodeq’uinjdeiicouléur

}■ pourpré ; queuportaientulés senipérèurs-’roimains. SoïinS jl ! i eoliv» Ju’t »)iiM .f.-nu l : ib j

Jir^apathblî’So’rterd’èrigMurè^qùl’vi’ënt aux

■talons.*’ ! i- eyiiiiuilT il au rui>-.y, i ;-i ’td i :Scl l

-Ç^-o, ; : :.. ! -vv- * "t un r..-.s, "ili«, .. t . , —, Elle, est, çpiffeerçqmmeda, mute, à Itobes-,

pierre, -, Se ’.dit, ’ en^iorraine, dTuiié’Jfemirié

; coifféé de ; travers^ Vaiîiuilv’ r-.’b ^aiiihvU |

— Prôv.^ viei. Il&mule, frein doré^Qn pare

; une, .viei. Ue(, bét, e, pourJnla iniep^v.pntjr^, une

’.vieille j’ernme pour la.mariei’ plUé’iacilementJ

■ : ’I luLtylili.1 li..flilliJll", !V.."il. ’i " t. ! Fj ! i ■1.LI., I

oU|pour déguiser son âge^B La mule du^pape

'fie-, mange q’u’.à’&s.tfèufgsl'/Qioque> i’on^vive

i. flâris^[l’a’plusgrandéabotrdanèe, pnfné ^euc manger’avec’plaisir que’ibïsqu.'oh>(fàim."f’ !

—J, s ’ """ ""’ ■"—’--’^ •**"" Tna’nuè

place

cet sur laquèllèilélèveUKioâ/SDxi ap^rënli dé ^poséUcsj feutres ! ou nôtres que : le.coucheur, y

prend à mesure qu’il en a besoin. j.’H’jh ■ • ;.> ! t-.’ IbhthypL. Un)desrnpm ?T, v.ulgaires du

mugeijl : Lspè.ce deraipidejlâjmeriKouge. -.-*

Mule «an» frein (la), roman de cKévâlerie, tpar, Pftïens de ;JVlaiziêres.(xma siècla) : fânvpeutrattaçheriCe : rpinan au : cy.cle.de ; ltt :Tablç rontlo, dont.il met en scène deux personnages>çélé-br.e, Si Qgeux :, le.séuéchal. poUrpn-, ; et : le ; preux Gauvain. Un jour, au palais^u-roi. A’rtus.’arrive au galop, sur.une. mule hqu}, n’a. p°as de freiiij’uiiejeune Ûllé’êploré’e.’.dû^l’iiltè’rroge.

rÊll’e répo’pd qu’elip^apnnerV.sà’Jmiîj^’ét^^n àmoùr’a qui’ lui rendra ’hé frèiii* qû’iin -riie > ^-kîrtivétér’liFente^ôu ’crevassé.ljui^se mbntrë^uFlë^aèrrrc’rédu’bdulétl^’dù^qbe^al et d’où suinte une sérosité fétldel’n On" dié

ulaUSS.iiUULîS THAjypESlÉRE SU TRiVEKSINEtr- I

■oloji uiiÉ’(BeVnarfl)|ib’oiifiièrpdliti’qù’é’français, ’ îlnéi’à’JTfiblôùïe én’Il8r0’3.J.Tbut’êh, sé liWa’nt’-au'

ePmmerce,8Ué’d’ccupâ’^Ètiyëm’enttûeipolTtiuquë ;

sentit a’fnHer’à’dès sôcïétés’s^drè’të’â'-’sous ■ Jla Restauration et continua à’être uri’dfes kke^ri.’ibrés du’parti-radical’ sbiië’Lbnis-Ph’ilipp’éJ- En

1818, il fut uiï^des brgàhisatëurs’flù ’baiVq’uet ji’éfprniis.tejde. Toulo.use.ietyiDrsqu’tmuapprit ! Liidâfls çet.t.e^villp qûô.la^évolutioni.vënait.d’é-1

cîâïerViii barang.ua île. peuple) sei por^a(au’ ;Ga ., •■-.... ^, . 1 i "i-.-1-l :— ’—s

î ?écbW’8éll ?âb’uriëJJNbnï <’dbnné’ ;à’un è’olipôde ’

dii ; genré■’cKéValVu "u *"i ; X’J b 11’M'", t ’ n ° ;"^iïzm^Èlrechàrg’étomme ««’milier,1]Être 33cKargé11’unJ*fa’r’d’ea^’très-io’ùrd, ..’li ('ÊtreVétu

comme un mulet, Être1 forttêlii’* fbrt"èpiniâ- !ltre. ;’(i-£’(f : a :Trin6ourr«Cortimé ; utnbtlV’demulet, "Être, extrêmement vêtu.1 u Garder : lé.hiulet,

Attendre longtempsrquelqu’umàvec.ennuret. impatiense, . :, /^ nqi..phs gufe deuxJijftres à

-, ’ i ■> La Bœur refiant- quelques moments ensalte ; f. i ciluoLasBoide.ffardehfe muietrqm..lin li.^ ’il ilii u jij’J {.viï’jI.’i'.". iiiiuuu iîc^QâÉcooiir.^ « c4«iilt/i’iut, arrïl)’èr«’-< ; oni&ie aux mulels ; il^périra par les jambes, Se dit d’un hoiMiéqui a ide^nauvaisëst jâinbesiill’Métisv animal-queln’a.pas encore de refait : Courir, prendremn

iLntïqi"~rom.u"Mulet^dêrMariûsftB&.ton.

dont lesMégiohn’aires-’romains- sé Bërvaient

pour porter pluB^facilement-leurs bagages et

qu’tfniappelait ainsi parce que Marius, pour

^diminuer le ; nombr<j.iaes chariots, déJ’armée,

—iprdonna à. Vsës/spldate : dépprter.eux-mêmes

>, tous deurs.effets., i ! Soldat gui portait ainsiiàes

?eÇels/j «•rtwn’ti , jih... v., ’ : i’ ; i<, -. -,  :~<-^’.

^-’ArXiïï.ï’Mitlet-d./et*^Ancienne bouche à

t, feù— î-1-sj-àdn-iitu^. :.r- siaaTT3tj3ur.i TjMar..Bàtimont.portugajs.qui’-porte ; trois "" ■-■— à Sobriquet.des

; ; s’tàifiînè’nt’^aveb"11

c’ù6tâfhïn^htf’la ;, iriiseJ en

èxtt’ê’lbe, J4âW :/hé, !P.t. ?S’ ?iia’ seJ en’a’ccusa’ti’dn’^â’Ù mlriîs-’

"■tërèetMù’^résidb’MlLouif-Nàpple^n’àù^

de l’expédition de Rome. Non rëelu’èf la Lé- !

Lgislative.’îM’.'i’Mulô retourïiâ»"dari5isâivill6 na-’

•talépôù Uicontinua’.hêtre : un : descjiefs’dwparti

républicain. À la suite du coup d’État du.ïrdë-] cerabre, il -fut, interné enj/J.Jgjrie : JJe-jîfttour. Jên.’Fi, âncé)lM..MÛlersé’iVit arrêta, et détenu’

ùê temps’(Jen|yerJ.u de, la loijdei

serpents/ les ’tigres qui, ehbdnibrènt’ta’fo’rét. Giuvain^’âlprsiyeut tenter Jrittvyn’tuïe"(et)’rhej 1s’épouvantaiitdë’ rièri. ; arrivéjus^ù’au’, c4Ht’eaùi C’est ùnupaldis^màgiqùè, ’* tbûftâht’siir ! lui-même comme une roue de moulin. Le

Ûqué ;’^


., ..MULÈ^JENNy.ïi^^.^fmuTle-jènn , ’ muté/él3éVe/i)rç/", .’sojJ ;|^ machine [était une jèijSyj abâtaidig’, " isoit^-parçe

, qu’èlle £tait ; inûe par un litujetj.jrèdhu. jMô

—tiJ Tj%»tom. Noniidonne.ài des indiyiduSi isans

sexe’qdi, "chèz-’lé9 insébtés viÂrant^ni société,

sont destinés ail travail1 : Des trente bù oua-

.lirânle-fniUè^môuéHèS’qué’ là WèVVhbfilUfyro-

duitïWtiy’e^iwqu’ùn’frès-p’etiMàmbWdefe-

f.vtelles} quiiae^genfs ou^dfiux, [mi}lft^âlss, et

ioy :.{ jér, èstëji/3 sontque desjfivifis.su plutôt

, .’d4&jnbù4hfijc.éu (>les, sa>}ssea-e ett iiisapaqfesjie

'■j’l*tâ$ri-j$"ft.iiy "i iiw.h.lii’l xi vsi’l’ ij, ’, ^-jBotivPlante quitest.lé.produit. d’une, se—îmen.cdi’fécondéenpar.-le.ipolien d’une plante d’ ; utie autre espèce.p.u. j il • :%[ i -mi .^a-., .

’ dé>lnp8Jiridu8trièsi lâssière sê’fait’dans q’uàïre c^entreSprincip’aiix

!èhv’ Ffahcë : lié’ plusMmpôrtant^détous’ ës^t|le

—’Poiloui’florîflëswuféMsodt exportés dans tout

lëmiai’de1 là^FWtfcèi’déTÈiirobé i

ropé ét’mêthe

péce. (Proudh.) Quand on inoenferait des mode cette indûstr’ié-’èst/dti- faste-, démontrée . par le nqmbrg- même de mulets que la ;France ’[eipprtéi.tpuSjiesVahs, qui s’élèye b. environ Tl’g, p6o, têtW, dont je-PoitouLfournlt ft loi seul l^âù moins lîiPOO.JMais, le plus grand nombre^de^cés, animaux, ’ayant de passer à l’étranger, „ vbnt^’d.e ^lêux :P^ ;.de.njod.vc, t.ipn. ; flu, .ilsiS9nt

  • nché(es’a"’râge a an an environ, achever leur

développement dans les départements du

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