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I

-•- HUGtJ’

d’un véritable-muguetiCe

-c, as contraire^’

pénètre i souvent dans l’œsophage, qu’il occupe en totalité ou en partie. On observe même des cas dans, lesquels il : siége exclusivement dans ce conduit. À l’ouverture cardiaque de l’œsophage s’arrête l’épithélium de : la portion supérieure du canal digestif ; ce^. pendant ce changement’.de1, structure-ne rend pas impossible la production du muguet. dans l’estomac et l’intestin ;’seulement, il est • plus rare..Quelques auteurs, M.’Vèron entre autres, ontnié sa présence danB le gros in-, . testin ; mais une observation^ rapportée pari Vaileix et une autre analogue de Billaidont., mis le.fait hors de doute.’-., . ■ i-, j

La production plastique débute ordinairement sous la forme do petits grains demi ; transparents, qui deviennent rapidement blancs pu opaques, du volume d’une tête d’ô—. jingle, produisant un relief peu prononcé a ’. asurfaeéde la muqueuse. Les grains s’étendent peu à peu, se réunissent à ceux du voisinage.et.finissent par former des, plaques.

plus ou : moins étendues. La, plaque, ., ainsi, constituée par la.réuniqn dés grains, offre. J une surface inégaléet comme chagrinée. Lorsque, une plaque de muguet s étant détachée, l’exsudation plastique se renouvelle^ non plus par points isolés, mais à la fois surj toute la surface muladCj-elle prend l’aspect, uni des fausses membranes ordinaires. Cet aspect est encore plus marqué si a une seconde éruption en’ succède une troisième, . puis une quatrième ;, et ainsi de suite. Quand, la plaque ne se détache pas de bonne heure^ elle devient de, plus en plus épaisse, à irïq^. sure que de nouvelles couches de iîïàtiera " plastique s’y ajoutent ;.cette.épaisseur ! yi1 quelquefois jusqu’à. 0" !,002 ou p™,003 ;., ’ '.’".’J,

La couleur du muguet est toujours blanche dans le commencement, et souvent elle resté, telle jusqu’à.la fin ; mais, quelque temps après le début, elle peut être jaune ou d’un brun plus bu moins foncé., ,, ’. ".,

La consistance du muguet est peu considérable ; c’est une ’substance moité, pultacêe, assez.analogue au. jcasêuîjn, friable comme lui, s’écrasàrit facilement soifs le ddigti L’adhérence du muguet est généralement" d’autaht] plus grande que son apparition est’p, lusuré- : cerite.. ’ "" ’ "’ ■*’"

MM. Lélut.et1’Vàllèix -admettent’ qué la fausse membrane du muguet pourrait bien n’être.qué la dégénérescence dé l’éplthëHùin’. Si cette ’dégénérèsçeilcè à’liéùtpriihitiveineiit ’ dans les çouviîes’ext^r’nes. Se la cuticule^ mu—’ queuse, pendant’qué, les couches profondes restent intactes, od’bieiY si ; pendant ’o.uéTépilh’cljuiii s’altère pour prendre- l’àspéct^du muguet, il s’en reproduit uri nouveau àû’-'dês’-" sous, le muguet parait alors sus-épitbéliàqué. C’est ce qui s’observe presque toujours à la face supérieure et à là basé de la langue, sur le voile du palais, les amygdales, en nautet en arrière du pharynx^ Si, au contraire, c’est’ la couche profonde dé l’épithélium qui s’altère. la première, là couché externe qui la recouvre ne se laisse point déchirer tout de sùite^ et’c’est alors que le milité* parult’sôus-épithéliaque ; cette disposition se rencontre surtout sur le bord libré des lèvres.- i’ i.•

Quelques auteurs but prétendu qvië lèniùguet di’èbte les follicules mbqueûx ; c’ëstTbpinion de MiAuvity et de M.’VérPn. Ce qui prouve l’analogie du muguet avec les sécrétions muqueuses et surtout épithêliaques, ’ c’est qu’en traitant la fausse membrane par des réactifs, comme l’a fait M. L’élut, on peut arriver à des résultats à peu près identii quès k ceux qu’ont" obtenus, pour : le mucus Fo’urcroy, Yauqûelin, Berzélius, pour l’épiderme Bichat et’ Vauqûelin-. L’analyse Chimique montre aussi une très-grande ressemblance entre le muguet et la couenne du sangj les fausses membranes des séreuses, de la vessie, du croup, comme l’ont établi les re- ’ cherches de Schwilgué, Double et Brotonneau. De même aussi que les autres faussesmembranes des inuqueuseSj. celle du muguet n’est point susceptible de s’organiser. Lameinbrane muqueuse^ au-dessous du muguet, présente le plus souvent, .même après la mort, la rougeur ; lo ramollissement, l’épaississement qui caractérisent un état inflammatoire. Cette inflammation est encore rendue plus évidente

fieudant la vie dans les parties, accessibles à a vue, par la turgescence sanguine et, la’ douleur qui accompagnent le muguet. Nonseulement la muqueuse présenté au-dessous du muguet les caractères d’une inflammationplus ou moins marquée, nuis encore celle-ci se rencontre dans des portions de muqueuse où, pendant la vie ou après la mort, on ne trouve pas de muguet. Souvent celui-ci est disséminé, peu abondant, ’et Cependant la’ bouche, le pharynx, l’œsophage, 1 estomac et l’intestin sont le siège d’une inflammation manifeste. Les ulcérations sont fréquentes à’la’ voûte1 du palais et baùçoup plus rares dans les autres points de la cavité digeélivé. La véritable gangrène de la’muqueuse digéstive, dans le cas de muguet, est beaucoup moins, commune qu’on ne le croyait autrefois, parce qu’on se laissait induire en erreur par 1 aspect noirâtre et le ramollissement extrême qu’offre quelquefois la couche pseudo-inembraneuse. Quant aux autres maladies, telles que la pneumonie, l’œdème, etc. ; dont on rencontre sur beaucoup de cadavres les traces ànatoniiques ; elles constituent des altérations secdhdaires ; ou, pour mieux dire ; il n’y a ébtré elles et là muguet qu’une coïncidence sans intérêt :

MUGU/

; ’Le jeune âge. : est’ la cause ; prédisposante^

oui a le plus dlnfluence sur le développement ;

(au’mugueti Cettei maladie, estr.oxcessivement,

; rare chez l’adulte et le. vieillard ; -, elle., l’est

presque autant’dans tout le^cours.de.l’enT ;. fance, à.l’exception des deux ou trois premiers mois qui suivent la naissance. Dans" l’immense majorité des cas, c’est dès les premiers jours de la vie qu’elle se déclare. M.’Vé- ’ ron pense que le muguet prend souvent’nais-l sance dans le sein même de la mère. Sur 917-enfants malades-, observés par Billard-, 218-oritété affectés de muguet. En 18S4, sur. G57 enfants : admis.dans le service de M.-Ba-v ron ; Vaileix dit que 140 ont été atteints. PresK que tous les auteurs admettent qu’une eonstitution primitivement faible bu’ affaiblie par

I de.mauvaises.conditions-hygiéniques est unej circonstance très-favorable ’ au ■ développement du.muguet. Parmi les conditions hygiév

, niques, l’encombrement, le mauvais air, etc., paraissent être, des càiises réelles, mais accessoires, ’du. développement de la maladie. Celle qui semble avoir uhe influence ’pYédo-’ ■ minante est il’aliment’ationi>La mauvaise alimentation consiste en ce. que là mère ou la( nourrice.a un lait peu abondant où de mauvaise qualité ; ou bien en ce que l’allaitement, a été suspendu et remplacé, par, .li’allaiteivjqnt artificiel, ôii bien en çéque cet allaitement artificiel aura eu, lieu avec un laitdèmau’-. vaise qualité où d’autres liquides mal approfpriés à l’état du tube digestif, qui commence à pei’nè’à fonctionner.1 Orf Observélé niù^liet chez beaucoup d’enfants qui s6nt’allàités ; au’ moyen de biberons "trop’durs oirqui s’altèrent’

1 rapidement ; chez ceux qui prennent difficilement le sein et qui s’épuisent en>*succidns inutiles, soit parce que le mamelon n’est.paS) assez volumineux) soit parce qu’il est^gonflé et crevassé, soit enfin parce qu’on lè’couvre

, de bouts de sein de liège, dejpeau pu dé caoutchouc, Vaileix mentionne1 encore l’usagé prématuré dés bouillies, qui sont si peu aptes à remplacer l’allaitement maternel. À ce propos, ’il cite quelques expériences.tentées.par M. Natalis Guillot sur les matières fécales d’enfants nouveau-’rïês- que l’on riiJùrrlssaU avec de la’Bouillie.1 Ces recherches lui ont’ montré que l ; alimentn ; est qu’incomplètement digéré, et cette. Mauvaise-digestion’serait’, ’ suivant Vaileix, la™ cause dé’l’entérite "qui, ’ pour liii, constitue le pointue départ &•">

La maladie.iie pârnlt point contagieuse :, Dugès prétend que le. mal se propage aisé 1 ment d un enfant malade, k un enfant bien portant, s’ils tettent.la même nourrice. Quelques auteurs récents ont avancé, dépuis que

’ les recherches miorographiques ont conduit à constater dans la maladie.du muguet le déve , loppement de l’oïdium albicans, que ce végétal parasite, joué uti rôle datis la production

’ dû mal ; mais il est suffisamment établi, contrairement à.cette hypothèse, que l’oïdium du muguet n’entré dans l’affection que comme un

’ accessoire, nullement comme une cause ^seulement, il peut concourir à la rendre transmissible.’ •.., i ■

La marche déla-maladie comprend trois périodes. La première, qui est.celle d’invasion, présente tous les symptômes qui pré-.. cèdent..l’upparition du muguet dans les, parties accessibles à la vue, c’est-à-dire ’lérythème des fesses et des membres inférieurs, là diarrhée, la rougeur de la bouche, la gondément des.papilles de la langue et le cpmmencement du mouvement fébrile. Bientôt le pouls s’âeCêlfire, pt-endde l’ampleur et m^iite, à 120, iio.ët mêiné160 pulsationsVAla nîènîe, époque, la face pâlit ou prend une couleur terne jaunâtre, qu’elle gardé jusqu’au dernier’ instant Après ces premiers accidents, une, coloration érythématéuse se manifeste dans| la’bpùche ; les papilles de la langue, BÙrj.ojxîiJ de là pointe, se tuméfient ;’ toute la langue devient d’un roiigévif comme dans la scàrlâ-’ Une, et la rougeur1 s’étend delà".à toutes les parties dé la bouche. Cette cavitp est’ sèchôj chaude. ; la succion devient dédloureùsè,1a ’ déglutition }’est aussi quelquefois, et l’arriërebouche présente une vive rougeur^ Dans 1o’t secôriîle période apparaît la fausse.membrane. Les premiers grains du muguet, se manifestent le plus ordinairement sur la langue. Ces grains, d’un petit volume, et d’abord transparents, deviennent rapidement d’un blanc tirât’ pu luisant ; ils se multiplient et, par leur réunion, forment des plaqués irréguliérés d’un blanc laiteux, qui ressemblent a Une couche casêèuse ou crémeuse. Ces pla« ques s’étendent de proche en proche sur tou-.

itea les parties ; deila.-bouçhe, fexistenjt ëouvent j en grande quantité au.devant des piliers an-,îtérieurs du voileàL. palais et dans l ;’angle, des t commissures dçs imâcbpires^, Reliés se propa-it gent fsur, .les, amygdales, ., et, dans |.le pha-n ; rynx., ... — ’, ,., ’, „ " , ’ ;. ’. ', ’, V-U^.. ^ . ;îLorsque le mîz.çaedest.confluent.et.foriné, .

de, couches pultaeées jtrès-ép aissés, .renfanti

témoigne la, douleur, et’laigène qù’ii.éprotive en tirant ; fréqiiemment7ïâ, .langue hors, -de-labouche, en mâchonnant, sans, cesse., ilirefuçe^ de..prendre lejbein, ou, l’abandonne âussi(ôt., qu’il i’a saisi, et même rejetté..làs1bpisson’Si qu’on lui verse dans la’ bou^h^’par.çè qu’il^e peut les avaler sans souffrirJ^L’a^cli’alWur’é’t’ia, sécheresse de la bouché sont très-proribn’céfes|, ( lorsqu’on’ y introduit1 le doigt, ’ l’enfant s’im-j^ patiente et pousse des cris. Pendant’ que1 les ’ phénomènes locaux r se ; idé’yeloppent1^’l ;ÔKythème, ..là : diarrhée, ’quiiexistaient déjà, iper-i sistent ou même, augmententid’intensité’.iLftidiarrhée est très^liquide et souvent.deicou-i , leur verte, quelquefois jaunâtre ; parfoislellê) I présente des flocons qui paraiSse^gtre des | débris de fausse, membrane ’entraînesT, d^s votés digestives supérïeures’ou’ill’i’èitonîàc et de l’intestin. Le ventre se tèhd et se mé- ■ téorisc, devient douloureux-à là préssidn.’sdr-l’1 tout vers, la fosse iliaque droite etl’épigastre. L’enfant a, par intervalles/-une agitation quit révèle, l’existence, des coliques, ou résulje-de l’inflammation ’ douloureuse, , de., ji-bouche., Quelques enfants ont des.vomissements bïT, lieux oit muqueux. Le pouls conserve la : fréT : quence de la première ; période, ! et la, peauprésente une chaleur’fébrifè., Quand les faiis.ses, membranes gagnent, l’arri, ère-gorge, le cri dé-, vient. ràutjue et -, voilé., Des, .ulcérations, jqui ; quelquefois, se montrént, dès la, première, pér^ ri.pdé, s’établissent, en différents, points de la> 1 bouche, surtout., à-, la voûte du pàluis..Enfin, i réryïhème dés fpsses, sé propageant^ aux ré^. gions voisines’, .peut y.dètermhier dés ulcéra-si tions (on, l’observe, aussi très-souyent aux^ ’ talons et, aux malléoles..., ,, ., .’, '., ’.',1’., .La trpisiènie période ’diffère suivant que, la ; maladie.te.n’dàse.termin.eppairlàmortpu’pàr.la, guérisoni Dans le.premier càs, la violence dé tousJes-’synip’tômes, tombé, pour.faire placé k[ un état de collapsus. L’érythème.pâlit, .J^s ulcérations Se dessèchent, là ? ’dià’rrriéé’-’diSiinuedu se suspend1.’ L’ëxs’udàtiôn’disparaît par lambeaux et ne se reproduit qû’ihfcomplé-1 tement ; i-lejpouls) descend jusqmâi’80(l70iVet mémo 60 : puisatioha ; laipeauise.rol’roidit, les1 cris s’aftaiblisïentyjll’ag-itation -faitiplaceJà1 l’insensibilité, ramaigrissementiest ; extrême) et le faciès, de vient, sénite, .et, décrépUiiQu^lquefois^surviennent ! dés gonflements1 oadémâ*, .

teùx avec rdûgeu’r obsçu^édun’ézj.dé la lèyr.e, inférieure, du couj enfin la mo’rturriyé.prdinairemént.sans àgpnieLiiprsq’ue la maliidjé]

doit sétermjner par la gueri’sonj.la lrpisièflJO| période est.marquée par ledécroisselnentra-f, pida des symptômes, sans abattement^^des. forces^ sans refroidissement des extrémités ; ; La durée de là maladio est, .excessivement variable. Se prolongeant pendant peii de jours, chez quelques enfants faiblement atteints où, soustraits de bonne heure aux causes de l’affecli’ori*i ellépetit, daiis ; des circonstances contraires, revêtir l’état’aigu pendant deux 1 ou trois semaines : Lorsque, aprè^ cette (luréë,1la mort n’a pas mis fin à la maladie, ’ celle-ci peut passen à l’état chronique. C est alors qu’on voit quelquefoiSj’-pendantdeux ou trois .’mois, quelques grains1 de muguet sa reproduire, dans la bouéhe. ’ - J " ' "" I Le diagnostic du muguet n’offre-aucune I difficulté quand il siège dans les parties ac, c’essibleSïà lai.vue ;1 mais ;’ioomme-îl’éruption j ne Be fait pas, dès le commencement, . c’est > j par l’existence de la diarrhée* de il’érythème^ Ides fesses, et fsurtout par lu - rougeur de.la bouche, qu’on pourra prévoir l’apparition pro», chaîne de la fausse, meinbràne. On ! conçoit, ’ qu’il est tout à fait impossijjle de-reconnaître., si les symptômes gastro-intestinaux se liant, à un muguet de l’estomac et de l’intestin, pUv, | à une innamination de ces ; organes sans.fausse^

membrane. Il est.ençore.plus^difflcile^de dia-1

giibstiqùèr l’ëxlfetencé dU’muDi/ei-rfaris*l œsophage. Dànâla’pràtiquè partiedliëré’, ’ lordqbê. surtout les conditions hygiéniques sont s’atisfaisantes/le miiguel est très-s’ouvént uno’^ maladie sans gravité ; il n’en est pas dé iiiôma dans des conditions opposées : iDans>bhôpital des Enfants trouvés-de- Parisji.par.rexémpla, la mortalité est très-considérablej

« Lorsque le muguet est -une nffection>ipu»i rement locale, dit Trousseau, on le faitidis-i laraltre facilement- :.-il suffit de porter.sun es parties malades un collutoire borate. Voici la formule que j’emploie habituellement : borate de soude et miel, fde chacun-10 grammes,-On barbouillé septou litiit fois’i6ùt|l’iritèrieur. de la bouché dél’ehfa’nt avec dette miktitrê, ’, et, g’énéi-alembnt, ëli virigt’-qùà’tré où.bùà-, riiiite-huit heures le mal est enlevé, lï sa" peut faire qu’une partie du médicament’ soit, avalée- par le malade ; niais’ à cela- il ; il’V V pas grand inconvénléht, -càr’lé1 btrax h est pas pliis nuisible que le bicarbonaté dé soudé j il y aura même cet avantagéque^-si le-mtiguet a envahi lesparties inférieures’duvpharynx et l’œsophage, le collutoire pourra-agit* efficacement sur les tissus profondément] atteints. Cette tnédication topique est tellement, ëii usage dans mes salles, que les Infirmières, n’attendent souvent pas la venue du uiédèçltfr pour traiter les enfants qui ont Xè’muguet, ëi, qu’il nous arrive fréquemment qu’on nous prév

umm

670 ?

F

le

Isentejdes ’petits, — maladesv qui, , larveilleji, eûi jetaient atteints^et’ ; qui ; en quelques, heures,)

!ont, êté.-çpmplétement débarrassés., IIesi.’n^ ;

cessaire.cependant- der continuer, ] le, tr.aite- l ment, alprst, niême quç.lei muguet, a. disparu, - :) parce qu’il : res.te, à combattre.l’inflarnmatipade.laimpmhràne muquçuse buccalC) spHs’i ;|fif|ftue^nce de laquelle il s’est-dé^yeloppé, inflarnmationj qu’il faut.néQbssairement ;1mpdiflàr.|j sou3.p.eineiidQJ, vpir, ] ; rjsparaitr.e les.accidentsi qui : ayaient si, rapidement cédé. Le ; boraterdfij soudépeut-être romplap.é, par Ipi-chlpratè daj potasse emplpyô/de.la, même façon et^aux imêmes.doses ;.je {dois dire Çependant.’q’uçijaj |chlorate de.potasséjiié m’a jamais.’uaijù^gjrj aii’çsi.rapidement.que-.lé b’of.ax.-’^1, ~îè muguet^ ^ rési&téà, l^àptipriâd^’.çes/m^di’gc^tèiiro^’il’.eniest utfauquél’il né ré’sisiéjamais, ", lp’ ! !ést-lé ni-, Itrateid’argent.jUnp, splutipntfàiblé, ’ç'iast-odiVie^âansJès prpportio.ns dé X gramme.de. s’ëjj Ipournio, gràmm^s/d’, ’éàii ; distillé, Sj -.m, e R^Vo’tj

; préféràbip.’r.au, (’pray9n. de., pïçr|o, >in.ter1'nale>)

parce qu’il est plus.facile d’allérltouch’eravéo Uiijpir —

boucîf

jsgjni’te, ,, . iip..., ., .

, fanï’è"ntà, yà], é, >'.il !péui provoquer !dds nauséps, des’^ôihjss^ments rhéineV ;, mâisônes^à, m^ma, de, pW’ër.^.c’es, inconvénients, ’, sans èràrjSaj gravité d’ailleurs, pVayant spi’n.d’injécCerjde, 1 ëiiù "dans !, ’ la bouche aussitôt après l’opéra’^j tion.’Chez’^'àdùltei’çês.ihconYénie^^^^ plus.sérieux, ,êii ce, sens Lqué ^b.’ni’tra’te. d’ar !-. gent"’noircirait’ les dents. On, y suppléerait, ’ dans le [cas, bù, l^mugùët ne ’céderait pas aux, collutoires déborax.ou l’da, ’chlorate 'jôfi^pp^, tassé, par les, ’càutérisatjonsf avec, tdês.spjù^ tiens’de.sulfàte^de, zins’.ou^’de sulfaté^ de çù’^-j,

! vre au dixièmé^ en ’récommâhdàrit, ’l’d^x, malades

de. se, rincer, la, -bouche, et de^craçhèr’ immpdiàtemên’t après.’ Qu^ndj’çhèz^unjenfanli, lé’, 'mù’gù’èt ; se" lié à|’un’, niàu’vait Itàt’tj’êiié^t dépendant’ d’une.mauvaise, alimentation 4 lie, faut àii plus vite lui.donner une’bonnénQuér} rice., ’ Une ajiinentatipn, réparatrice, (ét- lé^ lait déjâféinmé’est’ltt meilleure nourriture^.oui, co’n’VieriV|e aiix. nbuvëiul-tiés)’ çoàrr’a’î^ulà^ eri’rein’et’tant l’èrifant’dâns.’da, bonnes, c’émli^ ’ tfp’ns, tJs’dppôsèr !’à là reprodùctiori ùù muguet,

quéles âpplicatitins topiques ne feraient dis*, parjiltt ; e, yucï, rapment^

l’ér^’theme.dé^’fessesî’dè l’ulc’ôralion’âe^’iitciV^ 11 ’les, fet tdès-falpn’s, on peut leâ combattra.ntàgfeusemënt Pdur ’c^la ; pn^s’àupp.^drerd ;

lêôï

aya :

! fera 6eâ fdtions. avec de.réau", iiK.ag’édéiiqu$ ?
ou bh’, tpuj4hera’.lesnpoints’1
u16érë$ ;’|ayço'>un.’4|

solution1 faible désulfatédécuivre.’

és troublés. „, ., .-.., .....

masie gàstro-intbslinalè qu’il ’faut ’ç'îttire^fà^’

; Les rJreparà’tioné’ alcalines[sô’nfj.danB çës.çàsl !dune grari’dé’ùtilitél’Lécarbonate dé’chaut
; (la-craie préparée), rdélàyôi dans dileiiioarfet

donnôj.au.iràaJadeiqu»trëj cinq ; iBiXi foisipa»jjour, à la doseideioffrj25àiog.rj80.avaiit-tqu8i

l’enf ’ "

461’.

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1 davantàgé/^eri l’incorporant Jà. du s’u’ére" éj^poudre ’què’Tèrifant ’avale •fàcilè’mérit.’llès’t

| nécëssàireV àfàritrtdut, dé régler TàlïmentU-^ tio’n, ’ldéd6niier ’à, teTteràl’desheùr’py’ët’8i d’éç

’ intervalles’aussi régiiiiérs’que possible.’»"’.'"l :

; !(.., •• -v i-« p- ’■ ’ -■ ' '"> -’ ••*-J*)V

-b, i Art jvêtér.tiAfttyuâf des agneaux :* Cèttoî

affection, ’ 1 qui, porté, encore île nom vulgâlrî

de1 ! chancre^ est analogue à’celle ûw muguet'

jdësi.enfants..Elle se.fait remarquer su’l’ilea

; veaux’.et il’Oaiàgneaux, ’ mais ’surtout 6, ur, ce& !

j derniers y : notamment-lorsqu’ils sorît) élevésl

dans des, lieux bas ; etihumides, ’da.ii3ides’ber-^

geries. malpropres j’ichaudèa ;.peu aéréest’et’

renfôrtuant.unitrop grand nombre d’individus.’

; Mais, douri déterminer le dévB.lopp>mëhtVdé

l’aiTectipiii il.faut’encore : leconcour’s’de cau-t>

sesioccasionnelles qui-peiivehX irriter lëi’ttibei

digeçtif-jicomme.3e dêfuut’vd’all&itemênt’j<t-lé

sevrage pf-ëmatiréj- le. peu délait : fourni pà£.

1 ti.mère, la-mauvaise ■q’uàlitéi’déCe liquidep

i’usuge.d’e mauvaismliments, ëtc ; ' >• i’-’-^l

f’ialuis, >le’s ’livrés, ’ de. petites vé’sicùle3qiil1 àissent écouler un^liquidejàuââiréët unjpetf

blah’ohâtréiorsqu’ohïles’Pu’vrei’Ces vésicules’*

ne.tardent, pas : h’Sb et’everV’Qti’là-vrë.ur jilaéêj1 |rsémontrènt ’desiuleeràtions’quèlq’^iëfoiStr’è81■, ’ nombreuses fet1iqui1 se re.qpujTe^jdj’unejgojU’ cHè’.'grisâtrei, ’„p4is ^noirâtre., Siéntot^ennnufl, t se ’développel unçryptpgajiïe, (oïdium, aj^ CMsjl/in’dep’êndamrôent Ide^tou^, çes^araç, . . tères’j.jOn^pnstatéjqiie la..salivé’ est acip#,4èt ’ péu’abôijd^tè..’i’pé’3, desô’r’dr^Ba dè, i^Hjuqu^tiSft ] buccale» tour montent’.', b’eaucô’up^lqslinàljyjçg^léurôleni’lB.’-^oiHl’ôjldé.tû^er^et.pij.l.spJïytifl^ ’ uno têrmiMison f’pnes’tej, ,„.„  ;, .’., ,, ’, „ al’j Le, traitement doucette.maladieidolt éttra> I surtout pfêser.vàtif. II.faut, élever -les Jeunea anlraàUx-jdoiiS ûn’liedtsairi.ët aêrô, le^-toiailiA) tenir.dansiUne, température.-inbdérêe ; sèche ; i noUrrif les, irièred de mariière àr èri, fdir«i, do : Dohnèa.iioUrricBs ; ne pàd dpérertl.e ûëvragij ; brusquement^ t suppléer, à la diaiiuutioxiiiPU !