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1543. Oudard, Beigneur de Biez.

15*3. Antoine de Lettes, sire de Montpezat.

1544. Jean Caraccioli, prince de Melfi. 1547. Robert de LaMurck, duc de Bouillon. 1547. Jacques d’Albon, marquis de Fronsac. 1550. Charles de Cossé, comte de Brissac. 1554. Pierre Strozzi, seigneur d’Epernay.

1558. Paul de La Barthe, seigneur de Termes.

1559. François, duc de Montmorency. 1562. François de Scepeaux, sieur de La

Vieilleville.

1564. Imbert de La Plairière, sire de Bourdillon.

1566. Henri de Montmorency VIII, duc de Damville.

1567. Artus de Cossé.

1570. Gaspard de Sauhc, seigneur de Tavannes.

1572. Honorât de Savoie, marquis de Villars.

1573. Albert de Gondi, duc de Retz.

1574. Roger de Saint-Laër, duc de Bellegarde.

1574. Biaise de Montluc. 1577. Armand de Gontant de Biron. 1579. Jacques Goyon de Matignon, 1579. Jean d’Auraont. 1583. Guillaume, vicomte de Joyeuse. 1592. Henri de La Tour, vicomte d’Auvergne et de Turenne.

1594. Charles de Gontaut, duc de Biron.

1594. Claude de La Châtre.

1594. Charles de Cossé, duc de Brissac.

1594. Jean de Montluc.

1595. Jean de Lavardin, seigneur de Beaumanoir.

1596. Henri de Joyeuse.

1596. Alphonse Corso, dit d’Ornano.

1596. Laval de Bois-Dauphin, marquis de Sablé.

1596. Guillaume de Hautemer.

160S. François de Bonne, duc de Lesdiguières.

1614. Concini Concino, marquis d’Ancre.

1615. Gilles de Souvré, marquis de Courtenvaux.

1615, Antoine de Roquelaure. 1C16. Louis de La Chustre,

1616. Pons de Cardillac, seigneur de Thémines.

1616. François de La Grange-Montigny.

1617. Nicole de L’Hôpital, duc de Vitry. 1619. Charles de Choiseul, marquis de Praslin.

1619. Jean-François de La Guiche.

1620. Honoré d’Albert, duc de Chaulnes.

1620. F. de Lussan, vicomte d’Aubeterre.

1621. Charles de Créqui.

1022. Gaspard de Coligny, sire de Châtillon.

1622. Jacques-Nompar de Caumont, duc de La Force.

1622. François de Bassompierre.

1625. Henri de Sehomberg.

1626. F. Annibal, duc d’Estrées. 1626. D’Ornano, comte de Montlaur.

1628. Timoléon d’Espinay, sieur de Saint-Luc.

1629. Louis de Marillae, comte de Beaumont.

1630. Henri II, duc de Montmorency. 1030. De Saint-Bonnet de Toiras. »

1631. Antoine Coëfner, marquis d’Effiat.

1632. Urbain de Maillé, marquis de Brézé. 1634. Maximilien de Béthune, duc de Sully. 1037. Charles de Sehomberg, duc d’Halluin. 1639. Duc de La Meilleraye.

1041. Antoine, duc de Grammont.

1642. Bude, comte de Guébriant.

1042. De La Mothe-Houdancourt.

1643. F. de l’Hôpital, comte do Rosnay. 1643. Henri de La Tour d’Auvergne, vicomte de Turenne.

1643. Jean de Gassion.

1645. Du Plessis-Praslin, duc de Choiseul. 1045. Comte de Rantzau.

1646. Nicolas de Neufvil|e, duc de Villeroi. 1651. Antoine de Rochebaron, duc d’Aumont.

1651. Jacques d’Estampes, seigneur de La * Férié-Imbert.

1051. Charles de Monchy, marquis d’Hocquincourt.

1051. Henri de La Ferté, duc de Senneterre.

1651. Rouxel, comte de Grancey.

1652. Armand-Nompar de Caumont, duc de La Force.

1653. Louis de Foucault, comte Daugnon.

1654. Albert, comte de Moissans.

1654. Philippe de Clérambaulr, comte de Palluau.

1058. Marquis de Castelnau.

1658. Jean de Schlemberg, comte de Montdejeu.

1058. De Fabert.

1668. François de Créquy.

1668. Marquis de Bellefonds.

1668. De Crevant, duc d’Humières.

1675. Comte d’Estrades.

1675. Montault de Benao, duc de Navailles.

1675. Frédéric-Armand de Sehomberg.

1675. Jacques-Henri de Durfort, duc de Duras.

1675. Rochechouart, duc de Mortemart et de Vivonae.

1C75. D’Aubusson, duc de La Feuillade.

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1675. François-Henri de Montmorency, duc de Luxembourg.

1675. Louis d’Aloigny, marquis de Rochefort.

16SI. Jean, comte d’Estrées et de Tourbes.

1693. Comte de Choiseul, marquis de Francières.

1693. François de Neufville, duc de Villeroi.

1693. Duc de Joyeuse.

1693. Duc de Boufflers.

1693. Comte de Tourville.

1693. Anne-Jules, duc de Noailles.

1693. De Catinat, seigneur de Saint-Gratien.

1702. Duc de Villars. ■

1703. Noël Bouton, marquis de Chamilly. 1703. Duc d’Estrées.

1703. Marquis de Château-Regnaud.

1703. De Vauban.

1703. Comte de Bolwéiler.

1703. Marquis d’Uxefies.

1703. René de Froullay, comte de Tessé.

1703. De La Baume, marquis de Montrevel.

1703. Duc de Tallard.

1703. Henri, duç.d’Harcourt.

1703. Comte de Marsin.

1706. De Fitz-James, duc de Berwick.

1708. De Matignon, comte de Gacé.

1709. Comtede Bazin, seigneur de Bezons. 1709. Pierre de Montesquiou d’A’rtagnan, 1724. Maurice, comte do Broglie.

1724". Duc de Roquelaure.

1724. Grancey, comte de Medavy,

1724. Marie du Maine, comte du Bourg.

1724. Marquis d’Aligre.

1724. D’Aubusson, duc de La Feuillade.

1724. Antoine, duc de Gramont.

1730. Marquis de Coetlogon.

1730. Duc de Biron.

1734. Marquis de Puységur.

1731. Bidal, marquis d’Asfeld.

1734. Adrien Maurice, duc de Noailles. 1734. Montmorency-Luxembourg, prince de Tingry. 1734. Duc de Coigny. 1734. Comte de Broglie et Revel. 1741. Brancas, marquis de Cereste. 1741. D’Ailly, duc de Chaulnes. 1741. De Brichanteau de Nangis. 1741. Prince d’Issinghen de Montmorency. 1741. Durfort, duc de Duras. 1741. Marquis de Maillebois. 1741. Fouquet, duc de Belle-Isle.

1744. Maurice, comte de Saxe.

— 1744. Marquis de Maulevrier-Langeron.

1745. Louis de Gramont.

1746. Marquis de Balincourt. 1746. Marquis de La Fare.

1746. Duc d’Harcourt.

1747. Laval-Montmorency.

1747. Marquis de Clennont-Tonnerre. 1747. De La Mothe-Houdancourt.

1747. Woldemar, comte de Lovendall.

1748. Armand Duplessis, duc de Richelieu. 1757. Jean-Ch. de Saint-Nectaire, dit Senneterre.

1757. J.-Hector de Fay, marquis de La Tour-Maubourg.

1757. François de Gelas de Voisins d’Ambres, vicomte de Lautrec.

1757. Antoine de Gontaut, duc de Biron.

1757. François de Montmorency, duc de Piney et de Luxembourg.

1757. Charles-César Le Tellier, marquis de Louvois, comte d’Estrées.

1757. Charles O’Brien, comte de Clare.

1757. Pierre de Lêvis, duc de Mirepoix.

1758. Ladislas, comte de Bercheny. 1758. Érasme, marquis de Contades. 1758. Hubert de Brienne, comte de Conflans.

1758. Charles de Rohan, prince de Soubise.

1759. Victor, duc de Broglie.

1768. Michel de Durfort, duc de Lorges.

1768. Louis de Brienne de Conflans.

1768. Timoléon de Cossé, duc de Brissac.

1775. Pierre, duc d’Harcourt.

1775. Louis, duc de Noailles.

1775. Chevalier Antoine de Nicolaï.

1775. Charles, duc de Fitz-James.

1775. Philippe, comte de Noailles.

1775. Emmanuel de Durfort, duc de Duras.

1775. Félix d’Olières, comte de Muy.

1783. Marquis Henri de Ségur.

1783. Comte Joseph de Mailly,

1783. Bouchard de Lussan, marquis d’Aubèterre.

1783. Prince Charles de Beauvau-Craon.

1783. Gabriel de La Croix, marquis de Castries.

1783. Duc Pierre de Montmorency-Laval.

1783. Duc Emmanuel de Croy.

1783. Noël de Jourda, comte de Vaux.

1783. Due Jacques de Choiseul-Stainville.

1783. Marquis Gaston de Lévis.

1791. Baron de Luckner.

1791. Donatien de Vitneux, comte de Rochambeau.

1804. Berthier.

1804. Moncey.

1804. Masséna.

1804. Murât.

1804. Jourdan.

1804. Augereau.

1804. Bernadotto.

1804. Brune.

1804. Mortier.

1804. Lannes.

1804. Soult.

1804. Ney.

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1804. Davout. 1804. Kellermann. 1804. Bessières. 1804. Pérignon. 1804. Lefebvre. 1804. Sérurier. 1807. Victor Perrin. 1809. Macdonald. 1809. Marmont. 1809. Oudinot.

1811. Suchet.

1812. Gouvion Saint-Cyr.

1813. Poniatowski. 1816. Duc de Coigny.

1816. Marquis de Beurnonvilla. 1816. Clarté, duc de Feltre. 1816. Marquis de Vioménil. 1823. Marquis de Lauriston. 1823. Molitor. 1827. Prince, de Hohenloho,

1829. Maison.

1830. De Bourmont.

1830. Gérard.

1831. Clauzel. 1831. Lobau. 1831. De Grouchy. 1837. Valée. 1840. Sébastiani.

1811. Drouet, comte d’Erlon.

1S43. Bugeaud.

1847. Reille.

1847. Dode de La Biunerio.

1850. Jérôme Bonaparte. ■ 1851. Harispe.

1851. Exelmans.

1851. Vaillant.

1852. Leroy do Saint-Arnaud. 1852. Magnan.

1852. De Castellane.

1854. Baraguay d’Hilliors.

1855. Pélissier. 1850. Randon.

1856. Canrobert. 1856. Bosquet. 1859. Mac-Mahon. 1859. Niel.

1859. Regnault de Saint-Jean-d’Angély. 1861. D’Ornano.

1863. Forey.

1864. Bazaine. 1S70. Lebœuf.

Comme on le voit, le nombre des maréchaux créés en France est de 324.

Le mot maréchal ne désigne pas toujours, même aujourd’hui, une fonction militaire : il est parfois conféré à certains grands officiers des cours. Dans ce cas, ce titre est tantôt actif, tantôt purement honorifique : l’électeur de Saxe était jadis grand maréchal de l’Empire. En Russie et en Pologne, les maréchaux de la noblesse président les assemblées provinciales. Chez quelques princes de l’Allemagne actuelle, le titre de maréchal désigne un officier chargé de la surintendance générale du palais ; il n’est aucunement besoin pour cela que cet officier appartienne aux cadres de l’armée, différant en cela des grands maréchaux du palais, charge créée par Napoléon 1er et restaurée par Napoléon III. Sous le premier Empire, la maréchal Duroc en était titulaire, et le maréchal Vaillant l’occupa sous le second.

Maréchal de camp. Le grade de maréchal de camp a servi à désigner des fonctions différentes, suivant les époques, fonctions que nous allons passer successivement en revue, en faisant l’historique du grade.

L’histoire fait mention des maréchaux de camp dès le xve siècle. Dans l’origine, leurs attributions consistaient à répartir le logement des troupes, et à leur assigner la place qu’elles devaient occuper dans 1 ordre de bataille. Sous François lor, il y avait dans les armées des officiers qui portaient le titre de maréchal de camp ; mais, jusqu’à Henri IV, c’était, non une charge et un titre permanent, mais une simple commission que le roi ou le général donnait pendant une campagne. Sous le règne de Henri IV, il n’y avait dans une armée qu’un maréchal de camp. Cet officier avait des lieutenants ou des aides qui, dans la suite, prirent aussi le titre de maréchaux de camp ; mais ils ne commandaient qu’en vertu des ordres dont ils étaient porteurs de la part du maréchal de camp général. C’est le grand nombre des maréchaux de camp dans une armée et leurs discussions perpétuelles sur la prééminence et l’autorité qui forcèrent à créer un maréchal de camp général. Cet officier fut d’abord le chef des maréchaux de camp, mais peu à peu ses attributions ne furent plus aussi précises et le titre de maréchal de camp général se confondit avec celui de maréchal- de France.

Les maréchaux-de camp furent pendant longtemps des officiers d’état-major, dans les attributions desquels entraient tous les détails de campement, fourrages, commandement de places, et même quelquefois de provinces.

Sous le règne de Louis XIV, leur nombre était considérable, mais déjà leur destination avait changé ; ils commençaient à avoir des commandements, abandonnant une partie de leurs anciennes attributions aux maréchaux des logis. Il en fut ainsi jusqu’à la Révolution, et le titre de maréchal de camp fut à cette époque remplacé par celui de général de brigade (21 février 1793). L’ordonnance du 16 mai 1814 rétablit le titre de maréchal de camp que Napoléon, de retour de l’île

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d’Elbe, laissa subsister. Il fut également maintenu par Louis-Philippe, sous le régna duquel il répondait à peu près au grade de général de brigade actuel. Il est définitivement supprimé depuis 1848.

fribunal des maréchaux.de France, dit aussi tribunal du point d’honneur ou connétablie. V. connétablik.

Maréchal des logis. On désignait autrefois sous le titre de maréchal général des logis de cavalerie l’officier chargé spécialement du campement de cette arme. Louis XIV lui adjoignit plus tard deux aides sous le simple nom de maréchaux des logis. Il y avait encore le maréchal général des logis de l’armée, chargé d’une manière plus étendue de choisir le lieu du campement, de veiller aux marches et aux subsistances. Aujourd’hui, le titre de maréchal des logis ne désigne plus dans la cavalerie qu’un sous-officier dont le grade répond a celui de sergent dans l’infanterie ; le grade de maréchal Ses logis chef répond à celui de sergent-major.

Feld-maréchal. V. ce mot à son ordre alphabétique.

Maréchal do Biron (le), tragédie en cinq actes et en vers, du comte de Locmaria (théâtre de l’Odéon, 27 septembre 1824). Lo dénoûraent de la conspiration de Biron, son jugement, le pardon que voudrait lui faire implorer Henri IV, sa mort enfin, font seuls le sujet de la pièce, qui est trop resserrée et n’a 1 air que d un dernier acte délayé en cinq tableaux. Biron est enfermé à la Bastille ; il attend l’exécution de la sentence, tout en espérant encore que les factieux du dehors vont le délivrer. Il exhorte son fils à aller se mettre à leur tête. Le jeune Edmond, au contraire, plein d’horreur pour la trahison, les engage k se retirer, et, par ses discours, parvient k les dissiper. Henri IV s’est rendu à la Bastille accompagné de Sully. Il veut sauver Biron. Il a avec lui une entrevue touchante. Biron persiste dans ses sentiments d’orgueil et dans son silence, et cherche & justifier le refus d’aveux qui compromettraient ses complices par ce vers :

Le crime a ses devoirs et sa fidélité.

Le roi s’éloigne ; et l’on peut regretter ici que l’auteur n’ait pas fait usage du mot célèbre que Henri IV dit k Biron en le quittant, et que l’histoire a conservé : «Adieu, baron de Biron. ■ La femme du maréchal, qui avait été au Louvre implorer la grâce de son époux, n’a pas trouvé le roi et ne reparaît plus. Son fils revient et veut mourir à sa place. Biron lui recommande de bien servir Henri IV et marche au supplice. L’action principale de cette tragédie est simple, trop simple même, et aucun épisode, aucun incident ne vient combler la monotonie d’une situation toujours à peu près la même pendant cinq actes. La pièce eut’ pourtant quelque succès par la similitude que l’on trouvait entre Biron, que l’on n’appelle jamais que le maréchal, et le maréchal Ney. Une fois sur la trace des allusions, on en découvrit des quantité, set il est douteux pourtant que l’auteur y ait songé. Ainsi, c’est un serviteur de Biron qui, par une révélation importante, détermine la condamnation ; on se souvint que la déposition du colonel Clouet, aide de camp de Ney, avait été d’un grand poids dans sa condamnation. À ce vers que prononce Biron :

Les enfants des proscrits sont hommes avant l’âge, les bravos redoublèrent. Toutes armes sont bonnes pour combattre un gouvernement tel que celui de la Restauration.

Maréchal Bruno (le), drame de Fontan et Dupeuty. V. Brune (le maréchal).

Maréchal ferraui (us), opéra-comique en deux actes, en prose, paroles de Quêtant et Anseaume, musique de Philidor, représenté sur le théâtre de la foire Saint-Laurent le 22 uoût 1761, et à la coiir. La scène se passe dans la boutique de Marcel, maréchal ferrant ; le sujet n’a rien de remarquable, mais la musique est celle d’un maître. La facture en est excellente, l’harmonie conduite avec un art tout à fait hors ligne, la mélodie souvent intéressante. Il n’y a pas d’ouverture. Le premier air, celui de Marcel : Chantant à pleine gorge, est accompagné au bruit de l’enclume par une partie de violons et une de basse, avec quelques rentrées de llûtes, et produit un effet excellent ; puis vient un bon trio pour deux sopranos et basse. Les couplets de Claudine et de Marcel sont pleins de rondeur ; le duo entre Labride, cocher du château voisin, et Marcel : Premièrement buvons, est fort comique ; l’ariette chantée par Labride, ténor, est une imitation de cloches avec un accompagnement en pizzicato d’un effet charmant : Quand, pour le grand voyage, Margot plia bagage. Les morceaux suivants, chantés par Jeannette et Colin, offrent une instrumentation très - travaillée dont on ne trouve aucun exemple dans les partitions de cette époque écrites en France. Le premier acte se termine par un trio dans lequel le compositeur s’est surpassé dans le genre bouffon. L’âne de Bastien ne fait que braire, la cavale d’Eustache va clopin-clopant, et, grâce au contre-point déPhilidor, tout cela produit une harmonie fort originale. Au deuxième acte, l’air de Jeannette : J’ai perdu tout ce que j’aime, est écrit si haut qu’il semble inchantable. On ne saurait admettre que