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l’histoire littéraire et de la discipline de l’Eglise.

MARBO1S (François, marquis de Barbé-), homme d’État et magistrat franc ais. V. BarbeMakbois.

MAUDOT (Antoine), général français, né à Beaulieu (bas Limousin) en 1750, mort à Gênes en 1800. Garde du corps, il donna sa démission en 1789 et devintdéputéal’Assemblée législative. Il rentraensuitedans la carrière militaire, se signala à l’armée des Pyrénées-Occidentales et arriva au grade de général de division. Nommé membre du.conseil des Anciens, il combattit le parti clichien, approuva le IS fructidor et demanda en 1709 que la responsabilité des ministres’ne -fût pas’un vain mot. Il sortit de ce conseil après-le 30 prairial et prit le commandement de Paris ù. la place de Joubert. Républicain ardent et adversaire de Bonaparte-, il fut envoyé à l’armée d’Italie quelque temps avant le 18 brumaire et mourut d’une épidémie..

MARBOT (Jéan-Baptiste-Marcelin), gêné ; rai français, écrivain militaire, fils du précédent, né à La Kivière (Corrèze) en 1782, mort en 185-4. Il se distingua dans les.campagnes de l’Empire, particulièrement a Ëyïiiu, Leipzig et Waterloo. Proscrit à la deuxième Restauration, il écrivit, en Allemagne, ’ des liemarques critiques sur les considérations du général Rogniat sur l’art de la guerre (Paris, 1820). Napoléon fut si satisfait de cet ouvrage, qu’il légua à l’auteur une somme de 100,000 fr. Le colonel Marbot, rentré en France, devint précepteur du fils aîné du duc d’Orléans, puis général de brigade après 1830, prit part au siège d’Anvers en 1831, se distingua en Afrique en maintes circonstances, fut nommé aide de camp du comte de Paris àprè3 la mort du duc d’Orléans, lieutenant général en 1838, et reçut, en 18-15, un siège à la Chambre des pairs. Il fut mis a la retraite après la révolution de 1848. Oulre l’ouvrage précité et de nombreux, articles insérés dans le Spectateur militaire, on a de lui : De la nécessité d’augmenter les forces mititaires de la France et moyen dele faire au meilleur marché-possible (Paris, 1825). ■ •

MARBODRG, en latin Marburgum, Maltium, Amasia Caltorum, ville ’de Prusse, pro.yince de Hesse, ch.-l. d’un cercle de, son nom, sur les deux rives de la Lahn, à 80 kilom. S.-O. de Cassel ; 8,479, hab.. Cour d’appel, tribunal de première instance ; universite fondée en 1527 par le landgrave Philippe f gymnase, école d’arts et métiers, école vétérinaire, école de chirurgie, bibliothèque publique, jardin botanique, observatoire astronomique. La plus importante branche de l’industrie de cette ville est la fabrication des pipes et delà poterie estimée dite poterie deîiarbourg, dont la valeur s’élève annuellement à 500,000 fr. Tanneries nombreuses et estimées, fabrication de tabac, bonneterie, pianos, instruments de chirurgie..,

La ville est bâtie sur une colline que cour ronne le château féodal des landgraves de Hesse, transformé en prison et d’où l’on découvre une vue magnifique. C’est dans ce château que Luther et Zwingle discutèrent la question de la transsubstantiation en 1529, en présence du, landgrave Philippe le. Magnanime. La principale.curiosité de Marbourg est l’église Sainté^Èiisabeth, surnionr téé de deux tours carrées et appartenant’au style gothique le plus pur, Ce bel édifice, commencé en 1235 et terminé, en 1283, est parfaitement conservé, et passe à bon droit pour une des églises les plus intéressantes de, toute l’Allemagne. On admire à l’intérieur : les mausolées de plusieurs landgraves de Hesse, tous en pierre et ornés de cieaux bas-reliefs en bronze ; les vitraux des fenêtres du cheeur ; les sculptures du portail occidental et surtout la magnifique chapelle de sainte Elisabeth, fille du roi de Hongrié André II, épouse de Louis, landgrave de Thuringe, et patronne de 1 église. Les marches qui l’entourent sont usées par les. genoux des fidèles. La châsse qui renfermait Te corps de cette sainte se trouve maintenant placée dans la sacristie. Jadis elle était richement incrustée de perles, de camées antiques et d’autres pierres précieuses, dont la plus glande partie.ont été volées. Signalons aussi : le palais de l’ordre Teutonique, dont Marbourg a été le chef-lieu jusqu’en 1809 ; l’université, fondée en 1557 par le landgrave Philippe le Magnanime, et qui a compté parmi ses élèves Luther, Zwingle, Mélanchthon, Œcolampade, etc. La moitié de ses étudiants se consacre aux études théologiquês ; la bibliothèque qui’ en fait partie est riche de 100,000 volumes. Mentionnons enfin le laboratoire de chimie, qui possède la première marmite à vapeur, fabriquée par Papin ; les jardins du Dammelsberg, de Wildungen, etc.

Marbourg était autrefois une place forte ; elle fut prise et ruinée plusieurs fois pendant la guerre de Trente ans, occupée par les Français pendant la guerre de Sept ans, et plusieurs fois assiégée par les alliés. Les . Français démantelèrent le château déMarbourg en 1807. Depuis.1866, ’cette ville a été annexée à la Prusse.

MARBOZ, bourg et commune de France

ÎAin), canton de Coligny, arrond. et à 19 kioin. N. de Bourg, près du Leuvron ; pop. aggl., 540 hab. — pop. tôt., 2,556 hab..

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MARBRE s. m. (mar-bre — lat. marmot ; gr. marmaros, qui, dans Homère, n’a que le sens général de pierre, celui de marbre étant plus moderne. L analogie du grec marmaros avec le sanscrit marnmaru, qui, d’après Wilson, est un composé de mard, terre, argile, et de maru, désert, montagne, est trop évidente pour qu’on le fasse venir de "màrmairâ, je brille. La forme ancienne a dû être marmnaros ou marnmarus, car Vu final semble s’être conserve dans marmarugë, éclat, scintillation, d’où marmarussô, je scintille. Nos langues européennes ont reçu le nom du marbre du grec et du latin, mais il n’en est peut- ; être pas dé même du persan marmar, à-côté de la forme diminuée marwah, qui semble, par son to, ’se rattacher directement au sanscrit ninru). Nom donné vulgairement à toutes les pierres dures t susceptibles d’un grand poli, mais réservé par les minéralogistes à des calcaires qui.offrent ce caractère : fit bloc de marbre. Du marbre blanc : Duhxr- bre hoiV. Une cheminée en marbre. Une statue de marbre. Une cour, dallée ’en marbre. Du marbre de Paras, Du marbre de Carrare, La fortune sans l’amour, c’est le marbre sans le statuaire. (De Cus’tine.)

— Objet de marbre : Le marbre d’une ’commode, d’une cheminée. Placez’un marbre sur ces papiers, il Monument en marbre ; édifice en marbre : Un mort qui repose sok*, te, marbre. ’., I. K.iilil,

............ Je veux un jour ’

Qu’un marbre solennel atteste notre amour. ’ ' ’ ■ ’ ' ’ ' Dei-illb : ’ '

Quel, spectaclu pompeux de ; vivantes merveilles !. M Quel art fait respirer ces marbres, ces métaux ?

■. ■ i. ■ -, Lebrun. ’, J’ai vu l’invasion a l’ombre de nos marbres. — • Entasser ses lourds chariots. !,

— i. ■ | il. A. BaIUHER.

Un bravéhomme est pour moi chose belle et toù-" ’ ’ •’ "" : ’ ' : ’[chàritel

Qu’il vive sous le marbre où sous un’toit de bois, " Qu’il sorte’du bas peuple ou descendeJdos rois."

"’ ’ •■’•' ’ J ’ATIÎÀRBIER." I-’

Marbre africain, Marbre rouge brun, veiné de blanc et rayé de-vert., . t i, — Marbre balzàto, Marbre brun clair, avec des filets gris. ’ ' ■

Marbre cameloté} Celui qui paraît tabisé, quand il est poh, bien qu’il soit d’une seule couleur.,

Marbre fier, Celui qui éclate sous l’instrument. ■■’■■ !..

Marbré filandreux, Celui qui est couvert de filets. i * •

Marbre dans sa passe, Marbre débité en tranches parallèles au lit du banc’..., ,, ,.

Marbre en contre-passe, Marbre débité suivant des plans perpendiculaires aux lits du banc. ’ ■ ’ , •■.-, -. i-, ,

Marbre piqué, Marbre taillé seulement à la pointe.

—, t- Marbre pouf, Celui dont les arêtes s’ércornent facilement. :■>’..

■—’ Marbre statuaire, Marbre blanc non veiné, — qu’on emploie généralement pour faire des statues.-  ;■•■•■■’■■ - - r ".-• ■. <

—’ Marbre térrasseux, Celui qui a dés par ;ties molles.

Froid comme un marbre, Très ; froid, à cause de la sensation de froid qu’on.éprouve en touchant du "marbre poli. ■■’■■’

De marbre, froid comme un marbre, Insensible ; impassible  : Il y a des cœurs de marbre sur. lesquels tout glisse, qui sont nés sans fiel comme sans’tendresse et sans reconnaissance. (Mt"< ! du’Puisieux.)

Graver un fait sur le marbre et l’airain, En perpétuer le souvenir.

— Ane. Jurispr’. T’àble de marbré, Juridiction. de là connétablie, de l’amirauté et dés eaux et forêts, sous l’ancienne monarchie.

— Mar. Cylindre du treuil sur lequel s’enroule la drosse qui sert à manoeuvrer le gouvernail.

— Typogr. Grande table de pierre polie ou do fonte, sur laquelle on corrige les- formes, et où le metteur en pages exécute son travail. Il Marbre de la presse, Plaque de pierre ou de fonte qui est enchâssée dans le creux du coffre, et sur laquelle on place la formo qu’on doit tirer*

— Techn. En termes de fondeur de caractères, Petite plaque de verre dépoli, sur laquelle on place les lettres pour en vérifier les dimensions.

— Techn. Bloc sur lequel on place les tables d’étain pour les réduire en fouilles. Il Pierre sur laquelle on broie des couleurs ou des drogues. Il Plaque de fonte sur’ làquelle l’ouvrier verrier roule la matière. Il Teintes ondulées qui, sur la tranche des livres, imitent les veines du marbre.

—)-’ ■

Marbre artificiel, Sorte de stuc imitant le marbre. Il Marbre, feint, Peinture imitant le marbre. Il Marbre jeté, Peintura.imitant des porphyres. Il Marbre chiqueté, Peinture imitant des granits.

— Encycl. Miner. Le-marbre, qui fait partie des roches de chaux carbonatée, se trouve en !»ancs de dépôt d’une épaisseur

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quelquefois considérable^ Les marbres sont généralement opaques ;*mais on en- rencontre de cristallins et même de translucides. Ils sont de couleurs très-variées. Aussi les emploie-t-on pour fabriquer des objets d’art et d’ornementation, et aussi pour les décorations architecturales.

Après l’Italie, qui possédera plusigrande, quantité de marbre blanc, la France est l’un des pays les plus’.riches en tco genre de îtiatériaux. Elle possède do nombreuses carrières, -.qui fournissent des marbres très-variés, dont plusieurs’, lui sont tout à fait propres* Nous allons extraire de l’ouvrage de M. Dêlesse, ingénieur des niines, sur les Matériaux de construction, de l’.Exppsitian, universelle de 1855, l’historique de l’exploitation.’des carrières de marbre en France., ,.’, ".

, « L’exploitation de3 carrières de marbre de l’ancienne Gaule date de -l’époque de la.dominatiqn romaine. Dans les ruines des villes gallo-romaines, on trouvé, en effet, des débris de marbres- qui ont été»éxpIoités a une petite distancé. Les Romains seisontrnêine servis de plusieurs’ marbres de la Gaule pour décorer les monuments dé Rome. Abandonnée à l’époque de-l’invasion’des, !barbareS ; l’exploitation des marbres de la Franoéest restée, interrompue ipendan.t presque, tpu, t le moyen âge. Quelques carrières, cependant, étaient exploitées, à de rares intervalles, pour orner Jes églises gothiques qui, datent de cette époque, À la Renaissance, . François Ier donna une première impulsion à cette exploitation, en’ prescrivànt’d’émpioy’ér’èxclusi veinent, les marbres ’de ^1ràncè !a11ar’déc’oration1 de ses châteaux. Henri IV ’continua a1 développer cette industrie, et Louis XIV là porta k son apogée. ’C’est, ’ en effet ; sous/soii règne que furent découverts ces beaux mdrj brés des Pyrénées et dés Alpes, qui ’sont si propres à la décoration monumentale ; ils’ ont servi a oriiçr le palais de Versailles, le Louvre, les Tuileries, les résidences rtjyàles, l’é^ glise des Invalides et tous les monuments qui datent durèg’ne du grand.roi. L’exploLtation’de ces marbres ne fut pas abandonnée à L’indusr trie privée ; elle., eut lie.u, au, çontraire, sous la direction de l’État. Elle atteignit, d|ail7 leurs, des proportions si.colossales, queues immenses dépôts’ de marbres accumulés ttans le Garde-Meuble par Louis XI Vont, Suffira la décoration des, .monumeuts élev, és SOU.S, jpus les règnes suivants, jusqu’à, celui, de Napç, — ? léon l«r. Ainsi les colonnes de mar6rc, rpuge incarnat de l’arc de triomphe.du Carrousel provenaient encore de Louis XIV. Quoique

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l’exploitation des, plus ;.beaux marbres^ de France ait été interrompue après le règne ûo ce roi, cette industrie n’a pas. été cependant complètement détruite à partir de èette époque. Le goût des .marbres s’étant répandu dans toutes les classes de la populationyret leur emploi étant devenu nécessaire, leur.ex^ ploitation a suivi’ les progrès de toutes les autres industries, sous-l’Empire et sousija Restauration, De nos1 jours, .lesAtxavauxigigantesques qui s’exécutent, dans<yPnris • et dans toutesles grandes*villes de. lïr.ançe.ont donné.une nouvelle impulsion à la, .coiiËlommation.de cette roche, et.ont’ permis de reT prendre-, d’une manièrerqgulièré, l’exploita^ tion.de nos marbres les plus beaux et les plus rares, et de la laisser, entreprendre parades particuliers, contrairement h. çe, qui avait eu lieu jusqué vers le, commencement de ce siècle., » -, , t .> s, ,, ,., -, .,).., . i, >, i.

  • On donné le nom> de marbres, antiques h

ceux, qui sont le. plus anciennement connus, et.qui étaient fournis.autrefois en Égypte, en Grèce, en Italie, par des carrièresJnaintçnaht’épuisées’ ou inconnues. Toutefois’, ’certains’ marbres èrièorééxp’loit’és/ma’is ’connus des ’anciens, b’nt pris ’dans le ’c’ommèrfc’é le nom d’antiques. Le marbre statùàir’c’est celuidont la-couleur est unifôrmensaiiscnuanijçsTni veines et surtout sans filandres, .et qui, .e^t mjins susceptible de ^’égrener. On distingue daiis’ cette classé1 le ’«fS-ors"1dé, ’Cafràré, !et celuï’dé’Par’os. Lçt’lùm’achèllèèst ; aucontfaire, ùrimarbré formé d’ùii’grand nombre dé coquillages qué-lfondistingué facilement et qui sont agglutinés ensemble1 par uniciment calcairo, Les brèches sont de3 marbres composés-de-débris dernarbres plus anciens, agglutinés’.par un ciment de même espèce ; les brocatelleSj.leSjPCHidingues et les inarbres cervelas ne sonVqué des brèches diverses.

Dans le langago des ouvriers, .les, marbres sont dits fiers quantfleur’jdurefe r(ésfcïiéaTouT tii avec lequel,1 où’veilt les ■’travailler, ’ et quan4 ils’éûlàtént, ’facilerhent ibrsqn’dn yciit y" former dès* arêt’és ;’ filandreux, qïiàhd fils ont des fils ou fissures qili nuisent’ a ’leur poli j-terrassédx, si’ces fissures’ sûnt’grandes et reiiferinéht ’ des substances ’.terreuses1, poufs, quand ils s’égrènent facilement, et, par suité, ne peuventrecevoir : des arêtes vives ou d’autres parties fines de sculpture.

L’ouvragé, q^ûe nous’avons déjà cité nous fournît encore une intéressante ’nomenclature ’ des ’ principaux 'marbres exploités1 en France ;’ ' ’ "" ’.}"’., ’"

DEPARTEMENTS.

Alpes (Hautes-)... Ariége.. ’.

Aude.

SITUATION DES CARRIÈRES..-, ’ NOM, COMMERCIAL ’CES MARBRES.

. Saint-Crépin. ’. ’, ;

. Aubûrt, près déSaint-Girpns. (’ Félines -d’Haùtpoul. .’."...

tl >.-|jl«t ;

Bouches-du-Rhôno.

Côte-d’Or.

Garonne (Haute-).

Cannes’.,

Entre Villnrtel’et Caunés...

Montagne de Sainte-Victoire. . i ’. .. — "..■ ’

Alet....’...... ; -^.

Aix..........., ... • ’.'•• 11

. Tbolonet...’. :.... — ■’ ■ •" •

La Doix, près do Beaune...

Saint-Béat...’.... •■, •, • •. Mentious.

Brèche.portqr., ’, ,,

Grand antique.., ’, ., ;, ,, ;J

Griotte. -.’ n i - •, i

Griotte œil de perdrix, i

Griotte deurié., ,

Griotte panachée, . ’, ’ ', . ■ ;

Rouge incarnat.,

Incarnat turquin., ,

Cervelas rosé’vif.

Gris àgatisé". i, . • tl., ,,

Gris Californié., , i

Vert.rnoulin.

Rouge français, .

Indienne., ,, ,.i <

Isabelle., ,/, ., .

Brèche Sainte-Victoire grand, rné-I lange.’, . ■ ■ i

t Brèche Sainte-Victoire rouge., ,• Brèche, diterMémphis... , Brèçbe.dite d^Alep., . , Poudingue., ,., , t ’-..., .. i. , ’Brèche. Galifet. ■, ,., ., . , Rouge joyeux.

Blanc.statuaire.,

Blanc ordinaire ;.

Nankin coquillier.

Hers...., . -.-.■.’ Jaune uni des Pyrénées

Cierp.-.......■ :....’-•.. ■

. • i. — t j, i - u, 4. *i ’ ' i

Molinge. ’. ’.' ’. ’... • •• •’ • •"■

Jura.

Mayenne.

Meuse.

Nièvre.

•’ !

Nord. Rrata... Jl.’■...l. .*>Vaux. •• •, ..... ;.

Sàut- ;Giràrd (L’è).

• ’ i - - •"’ i ’

Saint-Amour, i ’.

Bauëre..’. ’...

, Forêt d’Ârgonne.

Corbigny..... Clamecy.., -..<. Cousolre ; •• ;’.'.,

Hergies...... Hurtebisft.v. ;’, . ;.

Glageon. ; •.’•'• Houdain.. i«(« Bellïgnies.

Boussois...—. Noir coquillier.

Rocq R°co.’

l Rouge.

1 Hestrud. [ Rouge dozoir.

. Brèche de Cierp.

1, Brocatelle.jaune foncé. ■., ■■ Brocatelle jaune clair., Brocatelle violette. Brocatelle rosée.. :

. Jaune fleuri., , -, ., , |., .. . Jaune Lamartine. •, ,

j Jaune rosé..., ., ,., , ’, I Ronceux. >. ■ ■ ■ Granit rouge.de Saint-Amour, j-Granit gris de Saint-Amour ;

ISarrancolin de l’Ouest., Roséenjugeraie..

Rosé.fleun. ■, ., ,.,

Gris panaché. J'Marbre d’Argonne, ou racine de }. buis, ou lumachelle.-Bourbonnais. • . Jaune de la Nièvre. ■.

iCousolre. ■.■■.’ Rouge foncé... ■ ’ ■•

Sainte-Anne-français. ■ i-i . Sainte-Anne Hergies. ■ . Sainte-Anne Hurtobise., -.

Glageon. i -. — • ;

(Saint-Gillon.

) Noir boules de neige. •<

j Noir a amandes. • ’, >

j’Noir à pois (poité). •■ i

Noir uni.