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cent le premier rang parmi Jes portraits tracés de main de maître, quoique au courant de la plume, dont le volume est rempli. Louis Blanc sait avec grâce et finesse buriner la physionomie et l’attitude de ces Stute men, qu’il observe dans leur rôle public, soit à la Chambre, soit à la barre des meetings. Il n’est pus moins agréable à suivre quand, semant les idées justes, les aperçus ingénieux et profonds, les investigations curieuses, les anecdotes piquantes, tes saillies d’humour, il nous initie aux plaisirs et aux réjouissances d’un peuple fortement caractérisé, ou qu’il se moque avec Une bonté ironique de ses habitudes et de ses coutumes surannées. N’est-il pas curieux d’apprendre que, dans un procès, il en a coûté à iM. Wyndhain 1,500,000 francs (60,000 liv. sterl.) pour ne pas être déclaré fou, après deux ans d’enquêtes et d’instructions ? Sait-on pourquoi le lord maire, nouvellement élu et entouré, dans^ la cérémonie d’installation, d’un imposant cortège d’aldermen, shérifs, common-serjeants, sword-bearer, etc., va prêter devant la Cour de l’Echiquier, à Westminster-Hall, un serment solennel ? ... Il jure d’avoir un bon cuisinier ! Et les volontaires aux uniformes de fantaisie qui jouent au soldatI Et les commis de magasin, menacés par les journaux d’être enrôlés en masse dans l’armée des Indes, mais sauvés par les 4adies, qu’enchantent leurs égards prévenants ! Une page ravissante, c’est le récit des courses tt’lipsom, où la fureur succède à l’émotion des jeux, si un cheval français est vainqueur ; un charmant tableau est la fête de Noël, aux repas homériques, la fête bruyante des enfants riches et la souffrance amére du fils du pauvre. Les Lettres sur l’Angleterre sont marquées au coin d’une critique toujours bienveillante. Louis Blanc aimait ce grand peuple, cette terre libre qui lui avait donné l’hospitalité ; il l’aimait et l’admirait. Cela ne l’empêchait pas de voir les plaies qui le ronge, et ses chapitres sur le paupérisme, un, entre autres, sur les wark-kouses, sont de la plus grande énergie. Son but principal était d’initier ses lecteurs fiançais uux. bienfaits de la liberté anglaise et de les faire renoncer, dans l’intérêt même du progrès, à ces antipathies nationales qui ont longtemps divisé les deux nations.

Lettre d’un mobile breton, épître en vers, par François Coppéo (Paris, 1871). Cette petite pièce dut son principal succès aux circonstances qui la virent naine et au nom de son auteur, dont la réputation allait alors croissant. Elle a les qualités et les défauts habituels au poète. Parmi les qualités, il faut citer surtout celle de saisir l’actualité, d’entrer en plein dans la vie moderne. L’artiste, peintre, poète ou sculpteur, qui fait une œuvre se rattachant au passé pourra la faire bien plus parfaite en suivant les traditions reçues, mais il n’aura pour appréciateurs qu’un petit groupe de gens éclairés et érudits. Celui, au contruire, qui touche à l’actualité ébranle les masses, quelque imparfaite que soit sou œuvre. Cette Lettre d’un mobile breton est écrite par un soldat du fort de Bicètre pendant le siège de Paris ; elle se contente de présenter un tableau de là vie qu’on mène dans les casemates. Les défauts habituels de l’auteur sont un style mou et lâche, une poésie qui est plutôt de la prose et l’absence de naturel. Lorsqu’on lit les vers suivants ;

Je ne puis pas songer au pays sans revoir

La maison, le buffet et ses vuisselles peintes,

La table, le poire" qui mousse dans les pintes,

La soupière de choux qui fume et qui sent bon

Entre les vastes plats de noix et de jambon ;

La sœur et la maman, priant les deux mains jointes

Avec leurs bonnets blancs et leurs fichus a pointes,

on sent que c’est le poste qui parle et non le pauvre mobile, pour qui ces objets sont trop naturels pour qu’il s amuse à les détailler. Cette lettre compte 90 vers environ.

Lettre» à la princesse, par Sainte-Beuve (Paris, 1873, gr. in-lS). Ce volume appartient à l’histoire du second Empire ; il contient quelques détails curieux sur cette époque. L’histoire de ces lettres est par elle-même assez piquante. Dans l’organisation inaugurée par le crime du 2 décembre 1851, la princesse Mathilde, cousine de Napoléon, s’était attribué le rôle de Mécène. Elle avait ouvert un salon dans lequel elle conviait les -artistes, les savants et les gens de lettres. Ce salon était la route pour arriver, sinon à la réputation, du moins aux places et aux honneurs ; les Lettres à la princesse et les Papiers des Tuileries en font foi. Il faut le dire à la gloire du caractère français, aucun des hommes éminents dans les arts, les sciences et les lettres, sauf deux ou trois exceptions, ne se rallièrent au régime impérial. Les dissentiments politiques peuvent cesser, mais il n’est pas de compromis possible avec le vol et l’assassinat. Sainte-Beuve fut une de ces regrettables exceptions. Chez lui, le caractère n’était pas à la hauteur du talent, et cette évolution ne doit pas étonner de la port de celui dont Mmc de Girardin écrivait en 1847 : « Comment se fait-il que M. Sainte-Beuve, dont nous apprécions le talent incontestable, mais que tout le inonde a connu jadis républicain et monarchiste forcené, soit aujourd’hui le favori de tous les salons ultra-monarchiques et classiquissimes et de toutes les

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spirituelles femmes qui régnent dans ces salons ? » Si la princesse avait recherché le critique autorisé, l’académicien influent, elle ne tarda pas à se prendre d’un goût très-vif pour le causeur spirituel dont la conversation fine et piquante tenait sous le charme tous ceux qui 1 entendaient. Elle l’attira chez elle, vint le voir et entretint avec lui une correspondance en règle. Après la mort deSainte-Beuve, elle réclama et se fit rendre pour ainsi dire par force les lettres qu’elle lui avait écrites ; mais en revanche elle rendit celles de Sainte-Beuve, et ce sont colles-là que son exécuteur testamentaire, qui avait été longtemps son secrétaire, M. Troubat, a fait imprimer et a portées à la connaissance du public. Ces lettres nous mettent à même de juger du peu de cas qu’on faisait des ministres dans l’entourage impérial ; il est à chaque instant question de Duruy, homme suffisant et ministre insuffisant, de Rouher le bouffi. On sent combien cette politique était incertaine, combien elle dépendait tout entière de la volonté hésitante de l’empereur, entre les mains duquel les ministres n’étaient que des pantins complaisants. On a des traces de tous les scandales qui ont marqué le second Empire : les journaux officieux avec leurs tripotages, vraies cavernes de brigands où est venu s’engloutir l’argent de la France ; les déportements de certaines dames de la cour, qui se montraient dans les bals publics avec leur amant. On voit passer les solliciteurs de places et de décorations, qui, une fois le 4 septembre venu, ont crié plus fort que les autres : Vive la république ! Mais la page la plus originale de ce volume est le portrait de Sainte-Beuve, tracé par une princesse. Cette princesse, Julie Bonaparte, fille de Lucien, et mariée au prince Rocca - Giovanne, avait remis au critique un gros mai nuscrit d’impressions et souvenirs, lui demandant ce qu’il en pensait, c’est-à-dire le priant de lui brûler sous le nez un peu de cette ambroisie qu’on sert sur la table des dieux. La première chose qu’il fait en ouvrant le manuscrit, c’est de tomber sur le.portrait suivant, qui renferme malheureusement plus de médisance que de calomnie : s Sainte-Beuve mène, malgré son âge, une vie crapuleuse ; il vit avec trois femmes à la fois, qui sont a demeure chez lui. Il est admiré comme écrivain, estimé comme critique ; quand il a parlé d’un livre, son jugement est accepté ; mais, comme considération personnelle, il n’en a pas. Il a fait des pieds et des mains pour entrer au Sénat, duquel pourtant il Se moquait ; il a écrit du mal de personnes qui lui avaient fait- beaucoup de bien. Il passe pour très-gourmand et sa vie privée est très-immorale. » Ceux qui voudront des éclaircissements sur certaines parties de ce portrait les trouveront dans un livre intitulé : les liévotes du second Empire (Bentu, 1873), et dans lequel Mme Louise Colet a rendu avec usure à son prochain les médisances trop justifiées qu’on a faites sur son compte. À l’article Sainte-Beuve, on trouvera rapporté au long l’incident qui termina les relations du critique avec celle qu’il appelait sa chère princesse, et à laquelle il avait eu un jour la faiblesse d’écrire : « On se prend à aimer cette charmante famille, où ce sang des Bouarparte se reconnaît et coule, sinon dans toute sa force, du moins avec un éclat charmant et doux. »

Lettres à Philippe, par Isocrate. Y. Philippe.

Lettres à Lucillus, par Sénèque. V. Luci LIUS.

Lettres d’hommes obscurs (Epislolx ob-

scurorwn virorum), lettres célèbres attribuées k Reuchlin, Ulrich de Hutten, etc. V. Eins TOI.AS...

Lettres de Pline le Jeune. V. PLINE. Lettres do sainte Thérèse. Y. THÉRÈSE.

Lettres do Murgucrite de Navarre. A7. MARGUERITE.

Lettres sur l’Italie, par le président Debrosses. V. Debrosses.

Lettres sur l’Italie, par le président Dupaty. V. Italie.

Lettres et instructions do Richelieu. "Y.

Mémoires de Richelieu.

Lettres de Louis de Montalte a un provincial de ses ami», par Biaise Pascal. V.

PROVINCIAL.

Lettres et discours d Olivier Croinwell,

avec commentaire de Thomas Carlyle. V. CttOMWELL (Lettres et discours de).

Lettres de Voiture. V. Voiture.

Lettres de Mite de Sévigné. V. Sévigné.

Lettre* de Fléchier. V. Fléchier.

Lettres pastorale» du ministre Jurieu. Y.

JURIEU.

Lettres de lady Montasuc. V. MONTAGUE.

Lettres de M^u de Lespinusse. V. LESPINASSE.

Lettres de Juuius. V. JUNIUS.

Lettres à lùnilie sur In mythologie, par

Demoustier. Y. mythologie.

Lettres sur les spectacles, par 3.-3. RûUSseau. V. SPECTACLE.

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Lettres du comte de Mirabeau a ses commettants. V. Courrier de Provence.

Lettres ù Sophie, par Mirabeau. V. Sophie.

Lettres sur les progrès de I humanité, par

Herder. V. humanité.. Lettres sur Persépoli», par Herder. V. Per-

SÉPOLIS.

Lettres de Silvio Pellico. V. Pellico.

Lettres et pamphlets de P.-L. CûUl’ier.

V. Courier.

Lettres sur l’histoire tic Fronce, pour servir d’introduction a l’étude de cette histoire,

par Aug. Thierry. V. France.

Lettres sur i’ESvpic, par Barthélemy-Sahit-Hilaire. V. Égypte (Lettres sur i).

Lettres do Paris, par Louis Bocrno. V. Paris.

Lettres sur la littérature, par Alfred de

Musset. V. LITTÉRATURE.

Lettres île M>ne Swctchinc. V. SWETCHINK.

Lettres et journal d Eugénie de Guérit]. V. GUÉRIN.

Lettres d’un libre penseur à un curé de

village, par M. Léon Richer. V. curé.

Lettres ù mon curé, par Edmond Scherer. V. CURÉ.

— V., pour beaucoup d’autres Lettres, le nom du personnage, du lieu, etc., qu’elles concernent.

Lettre (la), tableau de Frans van Mieris ; au musée d’Amsterdam. Une charmante jeune femme, vêtue d’une robe de satin jaune, écrit une lettre sur une table couverte d’un tapis de velours cramoisi, et ouest posé un instrument de musique. Un page attend les ordres de la dame. En avant, sur une chaise garnie de velours vert, un chien dort. Cette peinture, d’un fini précieux et d’un coloris des plus délicats, aappartenu successivement aux collections Cauwerven (1765), Braamcamp (1771), Randon de Boisset (1777), Beaujon (17S7), Destouches (1794) et Van der Pol (180S).

Beaucoup de tableaux ont été peints sur le même sujet, principalement par des artistes hollandais. Une scène, qui a été retracée non moins fréquemment, est la Jléception d’une lettre. Les deux sujets ont été traités par Terburg, dans deux tableaux qui ont fait partie des collections Blondel de Gagny (i 77G), et Poullain (1780) ; l’une de ces peintures représente une dame écrivant uaeLettre qu’une servante attend ; l’autre, une jolie femme, en manteau de velours jaune bordé d’hermine, lisant une Lettre qui la comble de joie. Des compositions de Terburg, offrant beaucoup d’analogie avec celle-ci, figurent l’une au musée de Vienne, l’autre au musée de l’Ermitage ; cette dernière est une des meilleures productions du maître.

Deux excellents tableaux de G. Metsu, un jeune homme écrivant une Lettre, et une jolie femme quittant son ouvrage pour lire une Lettre que vient de lui remettre sa servante, ont été payés 5,205 florins à la vente Braamcamp (1771) et figurent depuis cette époque dans la galerie Hope, en Angleterre. Un autre chef-d’œuvre de Metsu, qui a paru récemment (1867) à la vente de la célèbre galerie de Pommersfelden, représente une jeune fille, en caraco rouge bordé d’hermine, ’ écrivant une Lettre sous la dictée de son père qui est accoudé sur le fauteuil où elle est assise. Cette dernière composition est intitulée par Smith : la Lettre imposée.

P. de Hooghe a peint une jeune fille, debout près de sa fenêtre ouverte, devant un rideau vert, et lisant une Lettre (musée de Dresde) ; G. Schalcken, une jeune fille lisant une Lettre à la clarté d’une chandelle (musée de Dresde) et une jeune fille tenant une Lettre qu un vieillard montre d’un air mécontent Galerie Pommersfelden) ; Toorenvliet, une paysanne lisant une Lettre à un paysan qui fume (même galerie) ; Van der Meer, de Delft, une" jeune dame blonde, en caraco jaune bordé d’hermine, écrivant une Lettre qu’une servante attend, excellente peinture, qui figurait, il y a quelques années, dans le cabinet Dufour, à Marseille. Ces scènes, fort simples par elles-mêmes, ont été pour les artistes qui les ont traitées des prétextes à faire valoir leur habileté à saisir les expressions les plus délicates de la physionomie féminine. Plusieurs de ces tableaux et beaucoup d’autres du même genre que nous pourrions citer sont de véritables chefs-d’œuvre d’observation.

Les artistes modernes ont souvent traité des sujets analogues. Nous nous bornerons à mentionner : la Lettre d’introduction, de Wilkie ; la Lettre de recommandation (musée de Besançon), et la Lettre de réception (Salon de 18CS), de F. Bonvin ; la Lettre de recommandation, de Brillouin (Salon de 1868) ; le même sujet par V. de Bornschlegel (Salon de 1852), et par J. Caraud (Salon de 1859) ; la Lettre d’amour, de Toulmouche (Salon de 18(59) ; la Lettre, de M. Emile Lévy (Salon de 1872) ; etc.

Lettre ou bon Dieu (la), opéra-comique en deux actes, paroles de Scribe et de Courcy, musique de G. Duprez ; représenté a l’Opéra Comique le 28 avril 1853. Il faudrait ajouter en sous-titre : Ou la bêtise récompensée. On

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suppose qu’une villageoise, désirant trouver un mari, a la naïveté d’écrire au bon Dieu pour lui en demander un, et de déposer sa lettre dans le tronc de l’église. Arrive un jeune seigneur, l’étudiant Léopold. Il vient pour recevoir l’argent de ses fermages. On ouvre en sa présence le tronc des pauvres, dans lequei il ne voit que trois kreutzers et la lettre d’Henriette. Charmé de cette naïveté et frappé aussi de la grâce avec laquelle la jeune fille lui a fait les honneurs d’un déjeuner frugal, Léopold charge le bourgmestre de donner à la jeune fille 6,000 florins. La pauvre Henriette, devenue riche, voit accourir tous les garçons du village et le bourgmestre lui-même ; en définitive, c’est le prince Léopold qui l’épouse. La musique composée par le célèbre chanteur contient plusieurs mélodies agréables, notamment les couplets d’Henriette : le Vrai bonheur est là ; une jolie romance et le chœur des prétendants, qui est assez comique. Le motif de la vieille chanson : Il pleut, il pleut bergère, revient plusieurs fois et donne un caractère pastoral à ce petit ouvrage. Jourdan a chanté le rôle do Léopold, et M"" Duprez a bien fait valoir l’œuvre paternelle.

Lettre d’un étudiant à une étudiante, paroles et musique de Gustave Nadaud. La liéponse de l’étudiante à l’étudiant complète cette spirituelle fantaisie, que nous analyserons en quelques mots. L’étudiant en vacances commence ainsi son épître : Moderato.

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Puis il fait la description du pays où il se trouve, s’embarque dans le sentiment et finit par l’éternel refrain d’une chaumière et un cœur. L’étudiante est plus positive. Après lui avoir chanté :

lion bon ami, je prends la plume

Qui restait il mon vieux chapeau,

Et, pour écrire ce volume.

Je la taille avec mon couteau.

Tu me demandes des nouvelles

De nos amis... Ne sais-tu pas

Que les oiseaux ont pris leurs ailes,

Ut que je suis seule ici-bas ?

Après lui avoir dépeint la tristesse de Paris désert, elle aborde le côté sérieux : On a beau rester sage et sobre, On a 6a table et son, loyer ; Tu sais que le terme d’octobre Est toujours le diable il payer.

Puis elle termine par ce couplet non moins naturel :

Ma main a besoin de la tienne.

Je fais des rêves absorbants...

Si tu passes par Saint-Étienne,

Apporte-moi quelques rubans.

La comédie est complète : on voit bien là ce singulier accouplement de la richesse oisive avec la misère paresseuse et avide de jouissance. C’est cet amour que les poètes ont chanté, qu’ils ont présenté comme un idéal à la jeunesse, tandis que ce n’est le plus souvent que l’assemblage discordant du libertinage et de la vanité.

Lettres (SOCIÉTÉ DES GENS DB). Elle fut

fondée en 1838, par Louis Desnoyers, sur le plan de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques. Elle a surtout pour butds protéger la propriété littéraire et de substituer, dans ce but de protection, l’action plus