Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 1, part. 2, An-Ar.djvu/223

Cette page n’a pas encore été corrigée

528

APP.

fiant colline, lieu élevé, hauteur, sommet ; du primitif pui, la vieille langue tira puiot, soutien, et puier, gravir, monter. Appui signifia donc primitivement, soutien au moyen d’un pui, c’est-à-dire de quelque chose d’élevé. Les formes successives de ce mot ont

Vieillard, malade gui ne peut marcher s Un appui de roseau soulageait leurs vieux ans

À mon âge, le corps a besoin d’un appui.

Voltaire.

J’ai besoin qu’un appui me guide

C. DELA’


Mur d’appui, pilier d’appui, Mur, pilier qui sert de soutien : Il veut faire un mur d’appui dans son parterre. (Mme de Sév.) Les bras ne sont pas donnés à l’homme pour servir de pilier d appui à la masse de son corps. (Buff.) Ces murs d’appui soutiennent des terrasses où les vignes et les arbres s’entrelacent. (Lamart.) n L’appui d’un balcon, d’une fenêtre, La partie transversale sur laquelle on peut s’accouder, s’appuyer : L’appui de la fenêtre me servait de table à écrire. (Lamart.) Il mit des pois de réséda sur /’appui de la fenêtre. (Balz.) Là se présentent des appuis de fenêtre usés, noircis, dont les délicates sculptures se voient à peine. (Balz.) La mousse veloutait les toits et les appuis. (Balz.) h A hauteur d’appui, À la hauteur ordinaire du coude d’une personne qui se penche : Balustrade À hauteur d’appui. Les palissades sont À hauteur d’appui. (M’ie de Scv.) Ou passe dans plusieurs grandes pièces décorées jusqu’k hauteur d’appui. (Lamart.)

— Par anal. Assistance, secours, protection, faveur : Avoir de /’appui dans le monde. C’est un jeune homme resté sans appui. Il ne faut jamais compter sur /’appui des étrangers. Donnez-lui votre appui. (Acad.) Elle le laisse seul, sans force, sans appui. (Mass.) Il n’y a rien sur la terre où nous mettions notre appui, gui, non-seulement ne puisse manquer, mais encore nous être tourné en amertume infinie. (Boss.) L’enfance demande des secours pour s’avancer à la perfection ; la vieillesse cherche des appuis pour soutenir sa défaillance. (Boss.) C’est un malheureux qui ne doit plus compter sur mon appui. (Le Sage.) Les femmes ont

* besoin c/’appui, et rien ne les refroidit comme la nécessité d’en donner. (M"»o de Staël.) La vertu trouve appui contre la tyrannie.

Corneille.

Le talent a besoin d’un généreux appui.

ses plans financiers on prête un ferme ojnnri.

îi cherché vainement un appui chez les homme

Renonçons au stérile appui

Des grands qu’on implore aujourd’hui. J.-B. Rousseau.

va ûe son bras puissant faire éclater Vappui ; Et le cri de son peuple est monté jusqu’à lui.

Racine.

Mais qu’un arbuste, un branchage, une plante

Moins triste alors, la (leur convalescente

Et se soulève, et s’étend jusqu’à lui.

Caupenon.

— Se dit dans le même sens en parlant des personnes : Vous êtes mon seul appui. Mon fils sera «’appui de ma vieillesse. Ce grand homme était regardé comme le plus ferme appui de l’État. (Acad.) Le prince dont le pouvoir n’a pour appuis que des troupes mercenaires ne sera jamais ni assuré, ni tranquille. (Machiavel.) Tandis que Dieu daignera être mon appui, je ne craindrai pas les pièges de mes eimemis. (Arnaud.) Que de têtes augustes frappées ! que ^’appuis du trône renversés ! (Mass.) Louis XIV vit tomber autour de lui tous les princes, les appuis de son trône. (Mass.) // enveloppa le jeune roi, âgé de treize ans, de tous les appuis qui pouvaient affermir sa minorité. (Lamart.) Il fait plus ; il épouse sa protégée pour qu’elle ait désormais un porterespect, un appui légitime. (Th. Gaut.)

Mais quelle erreur ! Non, Dieu n’est point colère ; S’il créa tout, a tout il sertd’opjrtii.

BÉRANOBR.

Sois mon appui, mon guide, et souffre qu’en tous lieux De tes pas adorés je baise la poussière. 3 Lamartine.

— Se dit aussi en parlant des choses : Ce mariage a été /’appui de toute la famille. (Acad.) Un citoyen obscur qui fait de la vertu tout son appui est au-dessus du conquérant du, monde. (Pasc.) Les vaisseaux sont aujourd’hui les appuis des trônes. (Thomas.) Les institutions qui servait de base au pouvoir lui servent en même temps d’APPUi. (B. Const.) La science I est le seul appui de la religion scientifique. |

. APP

(Colins.) La prière est le dernier refuge des malheureux ; c’est un dernier appui quand tous les appuis sont brisés. (A. Karr.) La religion 'est le plus ferme appui de la morale. (Massias.) La raison est de l’homme et le guide et l’appui. ^

Il a bris

t l’épée


L’impiété marche à front découvert :

Mettre son appui sur un roseau, Mettre sa confiance en une personne qui n’a pas la force, l’autorité, le crédit nécessaires pour soutenir.

Sur quel roseau fragile a-t-il mis son appui f

— À l’appui de loc. préposit. Pour appuyer, prouver, soutenir : Voici les pièces k iJappui de ma demande. Un fait vient À l’appui du mon assertion. (Acad.) De nouvelles lois vinrent A l’appui de ces dispositions. (Barthél.) Les exemples viennent k l’appui des principes. (Chateaub.) La force vient toujours À l’appui de la nécessité. {B. Const.)

— Au jeu de boules, Aller à l’appui de la boule, Jeter* sa boule de manière qu’elle pousse et rapproche du but celle du joueur

la proposition, jrirai k l’appui de la boule. (Acad.) Sous les ailes de madame de Maintenon se réunissait la première coterie ; Hardouin en était le pilote ; Pont-Chartrain, de loin, était k l’appui de la boule. (St-Sim.)

— Gramm. Appui de la voix sur une syllabe, Élévation plus ou moins sensible et soutenue de la vois sur une syllabe : L’accent tonique marque un appui dk la voix sur la voyelle qui le porte. (Acad.)

— Mécan. et statiq. L’appui, ou le point d’appui d’un levier, Le point fixe, ou considéré comme fixe, autour duquel la puissance et la résistance tendent à se mettre en équilibre : Dans une balance ordinaire à bras égaux, la charge du point d’appui est égale à la somme des poids qui sont dans les plateaux.

— Fig. Dans le mémo sens : Nous autres femmes, nous n’avons dans l’âme aucun point d’appui contre nos douleurs. (Balz.) La propriété est le point d’appui de la stabilité sociale. (Le P. Félix.) L’imprimerie est, pour les peuples modernes, un levier moral qui a trouvé un point d’appui. (L.-J. Larcher.)

L’amour de mes sujets sera mon point d’appui. Voltaire.

— Manég. Temps pendant lequel, dans sa marche, le pied du cheval pèse sur le sol ; dans ce sens, on dit aussi foulée, il Sensation produite sur la main du cavalier par l’action de la bride ; pression du mors sur les barres : Les chevaux oui ont la bouche fine ont /’appui léger ; ceux dont la bouche est dure ont trop d’Appui. (Lecoq.) Il Donner un point d’appui à un cheval, Le laisser s’appesantir sur la main, pousser dessus en quelque sorte, tout en le portant énergiquement en avant, afin de favoriser les allures dans la course au trot, il Appui du collier, Point d’union de l’encolure avec les épaules, ou cette espèce de talus quo ces parties présentent en avant.

— Archit. Appui allégé, Celui qui a une moindre épaisseur que les pieds-droits entre lesquels il est placé, il Appui rampant, Appui’

’ en pente d’un escalier. Il Appui continu, Appui qui règne sur toute la largeur d’une façade, et tient lieu tout à la fois de soubassement, dans un ordre d’architecture, et de soutien d&ns les entre-colonnements, ou entre les ari.ades de cet ordre. Il Appui évidé, Celui qui se compose de balustres façonnés à jour, il Appui en piédestal, Celui, quel qu’il soit, qui a une base et une corniche.

— Constr. Corbeau en saillie d’un mur, psur soutenir une poutre.

— Métall. Appuis de fourchettes, Traverses. (lui supportent les fourchettes des équipages île fonderie.

— Techn. Pièce du banc des tourneurs.

— Syn. Appui, soutien, ■apport. L’appui se place auprès d’une chose qui penche, pour l’empêcher de tomber : Si on ne donne un appui à cet arbre, le vent l’abattra. (Acad.) Le soutien se met sous un objet pour l’empêcher de s’écrouler : Les Lapons, pour dresser leurs tentes, élèvent quatre perches qui font le soutien de leur bâtiment. (Regnard.) Le support aide à porter une forte charge, sous laquelle il est placé : Si vous ôtez cette colonne, la voûte tombera, car elle n’aura plus de support. (Acad.) Au fig., l’appui a plus de rapport à la force et à l’autorité : Étant seul, comme je suis, sans force et sans appui humain contre un si grand corps... (Pasc.) Le soutien, en empêchant de faiblir ou de défaillir, assure la persévérance et le succès : Un ouvrage, dont le titre souvent est l’unique soutien. (Boil.) Le support empêche de succomber : Heureux si je puis ètayer de mon faible support son édifice merveilleux, ébranlé aujourd’hui de toutes parts. (B. de St-P.)

« ’ APP /

— Epithètes. Ferme, inébranlable, solide, fragile, faible, frêle, passager, éphémère, précieux, seul, unique, illustre, tutéhiire, protecteur, salutaire, secourable, favorable, formidable, redouté, redoutable, timide, vain, inutile, superflu, stérile, mercenaire, dangereux, douteux, mensonger, trompeur, faux.

APPUI-MAIN s. m. (a-pui-main). Baguette dont les peintres se servent pour soutenir la main qui tient le pinceau : Pourquoi peignez* vous sa/ts appui-main ? // faut avoir ce qu’il faut. Allez chercher votre appui-main. (A. Karr.) il PI. des appuis-main.

APPUI-TÊTE s. m. (a-pui-tê-te). Petit appareil destiné à soutenir immobile la têto

APPULEIA GENS. V. Apuleia.

appulse s. f. (a-pul-se — du lat. appulsus, voisinage). Astron. Rapprochement do deux astres qui, sans aller jusqu’à l’éclipsé, est assez grand pour permettre un moment de les voir dans le même champ d’une lunette, il Ce terme, autrefois employé, mais abandonné aujourd’hui, manquait de précision, parce que le champ d’une lunette étant variable, la définition donnée laissait dans l’incertitude sur le degré de rapprochement

nécessaire pour constituer une appulse.

— Adj. Eclipse appulse, Eclipse dans laquelle une planète ou un satellite ne fait qu’effleurer le disque du soleil.

APPUYANT (a-pui-ian) part. prés, du v. Appuyer : II avait des amis appuyant son opinion. Coulons légèrement sur ces objets, de peur d’enfoncer en appuyant. (Pasc.)

APPUYÉ, ÉE (a-pui-ié) part. pass. du v. Appuyer. Qui pèse, qui repose sur : Être appuyé contre la muraille, contre un poteau, contre un parapet. Bayard mourut le dos appuyé contre un arbre. Je m’assis sur le tronc d’une colonne, et, le coude appuyé sur le genou, je m’abandonnai à une rêverie profonde. (Volney.) Appuyé sur un coude, il semblait fermer les yeux. (Guirault.) Tu vois Achille appuyé sur sa lance. (Fén.) Onm’assit au soleil, le dos appuyé contre un mur. (Chateaub.) Un pauvre arbre difforme, appuyé sur une fourche, servait

 ; ons du villaç

a fenêtre de n

BOILEAU.

— Fig. : L’autorité est belle et le voilà bien appuyé 1 (Mol.) Le trône d’un roi est bien appuyé sur la clémence et la justice. (Fr. Bacon.) Le trône ne peut être appuyé de nos jours que sur le pouvoir de la loi. (M«>e de Staël.) Les institutions doivent être appuyées sur l’esprit général. (Bignon.) Marchant appuyé sur fsaïe et sur Jérémie, il élève ses lamentations prophétiques à travers la poudre et les débris du genre humain. (Chateaub.) Par la religion, l’esprit est appuyé fortement sur son principe de foi, et ne va pas se heurter à toutes les incertitudes humaines. (Dupanl.) Les braves durent être appuyés d’autres &raues.(Michelet.)

APPUYER v. a. ou tr. (a-pui-ié — rad. appui ; change l’y en i simple devant un e muet ; j’appuie, qu’ils appuient ; prend un y et un i do suite aux deux premières personnes du pi. de l’imp. de l’ind. et du prés, du subj, : Nous appuyions, que vous appuyiez). Soutenir par le moyen d’un appui : Appuyer une église par des arcs-boutants. Appuyer une muraille par des piliers, par des contre-fiches de charpente. (Acad.)

— Avec la prép. contre, Appliquer : Appuyer une échelle contre un mur. (Acad.) i ! Adosser : Appuyer un mur contre un autre. La maison était garantie des vents du nord par la colline contre laquelle on /’avait appuyée. (Volt.) n Appliquer contre une chose qui sert de point d’appui : Pour s’élancer, le serpent «’appuie contre terre que sa queue, qu’il recourbe en replis. (Lacép.)

— Avec la prép. sur, Poser sur ce qui peut soutenir : Appuyer ses bras, ses coudes sur la table. Elle appuie les deux mains sur les épaules du jeune homme. (V. Hugo.) Quand

une de ses mains sur mes épaules, et, comme deux cygnes voyageurs, nous traversions ses ondes solitaires. (Chateaub.) n Faire peser une chose sur une autre, appliquer avec plus ou moins de force : Appuyer trop la plume sur le papier. Il lui appuya le genou sur la poitrine. Pour avoir une bonne empreinte, il faut appuyer le cachet sur la cire. Il lui appuya le bout d’un pistolet, la pointe d’un poignard sur la gorge. (Acad.) Dans ce dernier exemple, le v. appuyer s’empl. également bien quand même l’arme ne fait qu’effleurer le corps ou s’en approche à une très-courte distance.

— Fig. Soutenir, fortifier une chose par une autre : Appuyer ce qu’on dit, ce qu’on avance, sur des exemples, sur des preuves. Il appuie son sentiment du témoignage des anciens. (Acad.) Peut-on appuyer quelque grand dessein sur ce débris inévitable des choses humaines ? (Boss.) Bien n’est moins selon Dieu et selon te monde que (/’appuyer tout ce qu’on dit par de longs et fastidieux serments. (La

APP

Bruy.) 77 lui donnait des leçons qu’il appuyait 'de divers exemples. (Fén.)’ C’est bâtir sur la boue que ^’appuyer les fondements de sa fortune sur l’affection passagère d’une vile populace. (Vertot.) Plus une vérité est importante, plus on doit avoir soin de ne /’appuyer que sur de solides raisons. (Condill.)

Sur ce propos, d’un conte il me souvient.... Je ne dis rien que je n’appuie

De quelque exemple

La Fontaine.

Il Fonder : Vous «’appuyez votre bonheur que sur le mensonge. (Pasc.)

Un père est toujours père, et sur cette assurance J’ose appuyer encore un reste d’espérance.

Il Tenir tendu, fixé, appliqué, en parlant de l’esprit : Je n’ose appuyer ma pensée sur ce malheur. (Mme de Sév.)

— Soutenir, aider, encourager : Appuyer une proposition. On suppose du mérite à tout ce que vous appuyez de votre crédit. (FJéch.) Vous daignerez appuyer sa demande. (Mol.) Un homme savant appuya ce que disait la marquise. (Volt.) Chacun dit son avis, et /’appuie en peu de mots. (J.-J. Rouss.) Où le siècle tombe, il faut /’appuyer. (Joubert.) Alors l’autel appuya le trône, et le sacerdoce fortifia l’empire. (Virey.) Si peu que la femme /’appuie, te travailleur vaut comme deux. (Proudh.)

Honorez son grand zèle, appuyez ses projets.

Par des cris douloureux eut soin de Vappuycr.

Il Absol. : Personne à la courue veut entamer ; on s’offre <f appuyer, parce que, jugeant des autres par soi-même, on espère que nul n’entamera, et qu’on sera ainsi dispensé d’appuyer. (La Bruy.)

— Art milit. Placer, disposer près de quelque chose qui serve de protection, de défense : Appuyer un corps d’armée à un fleuve, à une forêt, à une montagne. Appuyer la gauche d’une armée à un bois, à un marais. (Acad.) il Flanquer, soutenir : Si on néglige «/’appuyer les ailes, on compromet ses flancs. Plus l’infanterie est bonne, plus il faut la ménager et /’appuyer par de bonnes batteries. (Napol. I«.)

— Mar. Assujettir, caler, il Appuyer les vergues, Les soutenir contre un vent qui souffle grand frais, il Appuyer une chasse à un bâtiment, Le poursuivre obstinément, sans relâche.

— Chass. Appuyer les chiens, Les animer du cor et de la.voix, tl Absol. : Suivre et encourager le travail des chiens, c’est appuyer. (E. Chapus.)

— Escr. Appuyer la botte, Appuyer lo fleuret sur le corps de son adversaire après l’avoir’toucho, et fig. Presser, embarrasser quelqu’un, en.insistant sur une question, sur un argument. •

Manég. Appuyer l’éperon à un cheval, Lui iquer fortement de l’éperon, n Appuyer deux, Piquer des deux éperons à la fois.

— v. n. ou intr. Reposer, être porté sur : Voûte qui appuie sur des pilastres. Cette mu~ raille appuie sur un arc-boutant. (Trév.) Un moyen d’édifier avec sécurité sur des terrains mouvants, c’est que la base appuie sur des arceaux renversés. (Encycl.) il Peser sur, avec plus ou moins de force : Appuyer sur un cachet. Appuyer trop eu dessinant. Pour bien écrire, il faut appuyer faiblement sur la plume.

— Par ext. Appuyer sur un mot, sur une syllabe, etc., Les prononcer avec une élévation de voix qui les fasse distinguer ou ressortir : T’appuyai sur les derniers mots pour qu’il tes comprit mieux. (Acad.) Vous «’avez jamais assez appuyé sur le dernier vers. (Volt.) Les Matais appuient sur l’antépénultième des mots. (Dulaurier.)

— Fig. Insister fortement : Appuyer sur un argument, sur mie raison. Il ne fallait donc pas tant appuyer sur les défauts personnels. (Boss.) Je trouve que vous appuyez un peu trop sur l’argent. (Mol.) Je sens tous les jours ce que vous me dites une fois, qu’il ne faltatt point appuyer sur les pensées. (M"" de Sév.) // avait un peu trop appuyé sur ce dernier article. (Hamilt.)

appliquer fi

des deux, F

Il Absol. : Crainte de nous tromper en approfondissant, «’appuyons pas trop. (A. Karr.)

— Prendre une direction : Appuyer sur la droite, sur la gauche, etc., Se porter vers la droite, la gauche, etc.

— Mus. Appuyer sur une note, Y demeurer un certain temps, pour lui donner plus de

— Manég. Ce cheval appuie sur le mors, II porte la tête basse et fatigue la ir- :~ ■ —nlier. u Appuyer à droite, à ’■"■"’

lo cheval vers la droite ou i

e faisant marcher de côté.

S’appuyer, v. pr. S’aider comme d’un appui,

puyer sur le bras, sur l’épaule de quelqu’un. S’appuyer contre la muraille. S’appuyer sur un balcon. Elle s’était appuyée gracieusement sur le coude. S’étant appuyé contre un arbre,