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Le matin du huitième jour, elle était seule dans son appartement pensant à sa chère Violette, qu’elle commençait à se rappeler comme un rêve. La nouvelle femme de chambre à qui mademoiselle de Cournon ne demandait jamais rien entra, lui annonçant qu’une jeune personne désirait lui parler.

— C’est elle ! qu’elle entre, s’écria Lydie en courant à la rencontre de son amie.