Page:Laprade - Œuvres poétiques, Les Symphonies, 1878.djvu/279

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et goûte à s’immoler sa plus chère douceur ;
Et, joyeux, s’élançant au delà du visible,
De la porte du ciel s’approche en ravisseur.

Gloire au cœur téméraire épris de l’impossible !