De ses amours chantés en vers, que la mémoire
De l’àme, va redire aux vierges endormies.
Et voilà qu’elle abat ses paupières blèmies
Et saute dans la mer où l’appelle la Moire,
Tandis qu’au ciel éclate, incendiant l’eau noire
La pâle Séléné qui venge les amies.
AMOUR et Galanterie (par Bins de Saint-Victor), Paris, 1801. 2 vol., in-12, fig. (2). Voir à Bins de Saint-Victor.
Ce roman, comme presque tous ceux de cette époque, est un pastiche des Amours de Faublas : on copie toujours ce qui a du succès.
AMOUR et Gloire, ou Aventures galantes et militaires du chevalier de C*** par l’auteur de Julie, ou J’ai sauvé ma rose, d’Amélie de Saint-Far, etc., etc., (par Mme la comtesse de Choiseul-Meuse), Paris, Pigoreau, 1817, 4 vol. in-12, fig. (1).
La Revue bibliographique de Quérard, Paris, 1839, 1re année, n° 4 l’attribue à Mme de Choiseul. Ces galanteries valent bien, en effet, celles d’Amélie de Saint-Far. La Bibliographie Gay, tome 1er, p. 143 dit : par l’auteur de Julie est une indication fausse puisque Mme Guyot en est l’auteur. Pourtant Pigoreau l’éditeur de ces différents ouvrages devait bien savoir à quoi s’en tenir ; et, si dans sa notice sur Mme de Choiseul il soutient qu’on a tort de lui attribuer Amélie de Saint-Far, il ne craint pas sur le titre d’Amour et Gloire d’inscrire par l’auteur d’Amélie de Saint-Far… qu’en croire ? sinon que l’auteur et l’éditeur avouaient ou niaient selon les besoins d’un succès, une maternité avantageuse ou compromettante.
AMOUR et Opinion, histoire contemporaine (par Ulrich Guttinguer). Paris, Udron et Ambr. Dupont, 1827, 3 vol. in-18.
Revue bibliographique. Quérard, 1839 1re année, n° 4.
L’AMOUR et ses Caprices, suivi de la Jalousie, ses Fureurs et ses Crimes. Recueil d’aventures et d’anecdotes historiques, propres à faire connaître la force de l’amour, ses singularités, ses bizarreries, et les déplorables effets de la jalousie, entremêlé d’aventures extraordinaires dont elle a été quelquefois le sujet, par C. D. (Cousin d’Avallon). Paris, Locard et Davy, 1828, in-12, fig. (1). Voir à Cousin d’Avallon).
Ouvrage peu commun et fort curieux. Le parquet en interdit la vente sur le catalogue Bergeret.
L’AMOUR MARAUDEUR, ou Recueil de couplets méchans, galans, caustiques, érotiques… Paris, Mme Masson, 1801, in-18, 96 pp. et calendrier de l’année, flig. (1).
Peu commun.
L’AMOUREUX DES ONZE MILLE VIERGES, roman sérieux,
