on doit observer que les deux facteurs qui rendent intégrale celle-ci
sont et et que son intégrale complète est
il faut donc, pour que la seconde valeur approchée de renferme l’arc que ou renferme un terme constant, après y avoir substitué, pour or il est visible que cela ne peut être, à moins que ne renferme, après cette substitution, un terme multiplié par ou par ce qui est conforme à ce que l’on sait d’ailleurs.
X.
On peut encore employer avec avantage la méthode de faire varier les arbitraires dans le cas où les équations différentielles renferment des quantités qui changent d’une manière presque insensible, ce qui se rencontre fréquemment dans l’Astronomie physique. Soit, par exemple, l’équation différentielle
étant fonction de et des quantités qui varient très lentement, en sorte que les différences soient très petites ; supposons qu’en l’intégrant et en supposant constants on ait
étant les constantes arbitraires que donne l’intégration : on pourra représenter encore par cette forme l’expression complète de dans le cas où l’on considère comme variables ; mais il faut alors faire varier les arbitraires de manière que