MÉMOIRE SUR L’USAGE
du
CALCUL AUX DIFFÉRENCES PARTIELLES
dans
LA THÉORIE DES SUITES.[1]
Mémoires de l’Académie royale des Sciences de Paris, année 1777 ; 1780.
I.
Soit une fonction quelconque de que l’on propose de développer dans une suite ordonnée par rapport aux puissances de En représentant ainsi cette suite
étant des quantités indépendantes de il est clair que est ce que devient lorsqu’on y suppose et que l’on a, quel que soit
la différence étant prise en faisant varier tout ce qui, dans doit varier avec partant, si l’on suppose après les différentiations dans l’expression de on aura
- ↑ Remis le 16 juin 1779.