au moins dans l’état actuel de l’Analyse, nous nous bornerons ici à examiner quelques cas particuliers fort étendus.
En faisant dans les équations (6), (7) et (9), elles deviendront
pour les simplifier, nous supposerons l’ébranlement primitif tel que le fluide conserve toujours la figure d’un solide de révolution, ce qui donne
et
Nous supposerons ensuite que le solide recouvert par la mer est un ellipsoïde de révolution ; la profondeur du fluide est alors égale à pouvant être positif ou négatif, mais devant être dans ce dernier cas moindre que autrement le fluide ne recouvrirait pas le sphéroïde à l’équateur. Les trois équations précédentes se changeront ainsi dans les suivantes :
Il est aisé de s’assurer par l’article III que ces équations subsisteraient encore dans le cas où renfermerait un terme proportionnel au temps et, par conséquent, où renfermerait un terme indépendant