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de sorte qu’ayant une fois et on en conclura facilement et

Suivant les Tables de Halley, le mouvement séculaire de Jupiter est d secondes, et celui de Saturne est de secondes ; d’où l’on tire

partant,

ensuite on a (voir les Savants étrangers, année 1773, p. 212)[1]

de plus,

de là je conclus

ensuite

partant,

on a donc l’équation

dont les deux racines sont

maintenant, si l’on néglige, comme cela est ici permis, les quantités de l’ordre et que l’on prenne pour plan fixe celui de l’écliptique au commencement de 1750, et pour point fixe d’où l’on commence à compter les longitudes la position de l’équinoxe du printemps à cette époque, l’angle exprimera la longitude de la projection de l’aphélie

  1. Œuvres de Laplace, T. VIII, p. 253.