la considération des passages du réel à l’imaginaire, passages que l’analyse précédente confirme.
III.
La formule du no 42 du Livre Ier est fort remarquable : elle peut se démontrer de la manière suivante, qui montre distinctement la raison pour laquelle la série des différences doit être arrêtée, lorsque la quantité sous l’exposant de la puissance devient négative.
Considérons l’intégrale
et donnons-lui cette forme
les intégrales étant prises depuis nul jusqu’à infini. Supposons d’abord pair et égal à on aura, par les formules connues,
le signe ayant lieu, si est pair, et le signe si est impair. En multipliant cette équation par on aura
où l’on doit observer que, par je comprends la somme des cosinus et étant ici au plus égal à ou Multiplions le second membre de cette