longitude de son nœud ascendant à une époque donnée. Delambre a trouvé, par la discussion d’un très-grand nombre d’éclipses, principalement du troisième et du quatrième satellite, que l’inclinaison de l’équateur à l’orbite de Jupiter était de en 1750, et qu’à la même époque la longitude de son nœud ascendant était De plus, la précession moyenne annuelle des équinoxes étant et la précession annuelle de l’équinoxe de Jupiter étant, par le no 23, égale à le mouvement annuel de ce second équinoxe, relativement au premier, sera en sorte que la longitude du nœud ascendant de l’équateur de Jupiter sera
Le terme de l’expression de la latitude du quatrième satellite, trouvée dans le no 10, deviendra ainsi
en substituant pour sa valeur donnée dans le no 28, on aura
Le terme qui, par le no 10, entre dans l’expression de et qui est relatif à l’inclinaison propre de l’orbite du quatrième satellite sur son plan fixe, suppose la connaissance de et de Delambre a trouvé
et en 1750
La valeur de relative à ce terme est, par le Chapitre X, ; pour la rapporter à l’équinoxe mobile du printemps terrestre, il faut en retrancher ; le terme précédent devient ainsi
La comparaison des éclipses du troisième satellite a donné à Delambre la valeur de propre à l’orbite du troisième satellite, égale à et la valeur de , qui lui est relative, égale en 1750 à