terrestre, résultante de l’action des planètes, et qui, par le no 25, est égale à
à moins qu’on ne suppose à une valeur entièrement invraisemblable. De là nous pouvons conclure que l’action des étoiles n’a aucune influence sensible sur les variations séculaires des excentricités et des périhélies des orbes planétaires, et il est facile de voir, par le développement de la formule (Z)), que leur action n’a pareillement aucune influence sur la position de ces orbes.
Examinons présentement leur influence sur le moyen mouvement des planètes. Pour cela, nous observerons que la formule (Y) donne, dans le terme et par conséquent le terme
Supposons égal à et égal à et étant les valeurs de et de en 1750, ou lorsque ; on aura dans la variation
Les observations ne donnent point la valeur de mais elles peuvent faire connaître celle de En supposant, pour la Terre, et la quantité devient, à très-peu près,
quantité insensible depuis les observations les plus anciennes.
L’expression de contient encore, par ce qui précède, les termes
or on a