Ensuite,
mercure et jupiter.
d’où l’on a conclu
En déterminant, au moyen de ces équations et des formules du no 49 du Livre II, les valeurs de on a reconnu qu’elles deviennent de plus en plus inexactes, ce qui a lieu dans tous les cas où est peu considérable, parce que alors ces valeurs sont les différences de nombres qui diffèrent très-peu entre eux ; en sorte qu’il faudrait avoir ces nombres avec une très-grande précision, pour déterminer exactement ces différences, ce qui exigerait l’usage des Tables de logarithmes à dix ou douze décimales. Pour obvier à cet inconvénient,