stantané de rotation ne s’écarte jamais du troisième axe principal que d’une quantité insensible. Soit donc la vitesse angulaire du troisième Soleil, que nous concevons mû dans le plan de l’équateur, et sa distance à l’équinoxe du printemps rapporté à l’écliptique fixe ; sera la vitesse angulaire du premier axe principal de la Terre relativement à ce Soleil, et l’on aura
Mais on a, par le no 4,
on aura donc
Soit a distance angulaire du troisième Soleil à l’équinoxe réel, c’est à-dire à l’intersection de l’équateur avec l’écliptique vraie. Il est aisé de voir, par le no 7, que s est égal à et par conséquent égal à ce qui donne
Soit le mouvement sidéral du second Soleil sur l’écliptique vraie ; sera sa vitesse angulaire relativement à l’équinoxe réel ; mais ona, par le no 7,
cette vitesse est donc égale à
elle doit être égale à on pourra donc, au moyen de cette égalité,