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numéro, ces heures étant comptées du minuit vrai précédent. J’ai trouvé les résultats suivants :

TABLE VII.
Quadratures des équinoxes.
Quadratures des solstices.

Considérons d’abord l’ensemble de ces observations. En prenant une moyenne entre les heures des marées totales de cette Table, correspondantes au même numéro dans les quadratures des équinoxes et dans celles des solstices, on aura pour les heures vraies des marées totales correspondantes aux nos En appliquant ici la méthode du no  35, on trouvera, pour l’expression de ces heures,

étant le nombre des intervalles pris pour unité, comptés de l’instant de la marée totale du jour de la quadrature. Pour en conclure la constante {\rm T} des formules du numéro précédent, nous observerons que, quand la marée s’éloigne de de la quadrature, son heure augmente de  ; or, dans les quadratures de la Table VII, l’heure de la quadrature à Brest a été, par un milieu, à  ; en