pendante de l’angle est égale à
les constantes et étant les mêmes pour tous les astres, quel que soit leur mouvement propre ; la somme de toutes les marées partielles dues aux actions de tous les astres sera donc
et par conséquent elle sera
la différentielle étant prise en supposant constant. Mais on a, par ce qui précède,
le temps étant diminué de dans les variables et du second membre de cette équation, et étant égal à la partie de la hauteur de la mer, due à l’action du Soleil et dépendante de l’angle est donc, avec les conditions précédentes,
Si l’on transporte à la Lune ce que nous venons de dire du Soleil, on trouvera que la partie de la hauteur de la mer, due à son action et dépendante du mouvement de rotation de la Terre, est
le temps devant être encore diminué de dans cette expression. La partie indépendante du mouvement de rotation de la Terre sera