terrestres. Cette variation dépend des angles On a, en n’ayant égard qu’à ces angles,
la troisième des équations (L) devient ainsi
Cette équation intégrée donne à fort peu près
en substituant cette valeur dans l’équation différentielle en et désignant par la variation de dépendante de la différence des deux hémisphères, on aura
3. Je reprends maintenant l’analyse du Chapitre II du Livre VII de la Mécanique céleste. La partie
de la formule (T) du no 46 du second Livre exprime la variation différentielle de la longitude vraie de la Lune sur l’orbite, relative à l’inégalité que nous considérons, étant rapporté à l’orbite lunaire, et la caractéristique se rapportant ici aux variations dépendant de la différence des deux hémisphères terrestres.
La fonction est ce que nous avons désigné ci-dessus cette