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sur cet objet. Par l’analyse précédente, le coefficient de l’inégalité lunaire on longitude est à très peu près égal au coefficient de l’inégalité lunaire en latitude, multiplié par du moins, si l’on néglige les carrés de l’excentricité et de l’inclinaison de l’orbe lunaire ; ces coefficients sont donc dans le rapport de l’unité à en sorte qu’au coefficient de l’inégalité en latitude répond le coefficient pour l’inégalité en longitude, ce qui diffère très peu de la moyenne des résultats de MM. Bürg et Burckhardt. Cela montre avec quelle précision ces inégalités donnent l’aplatissement de la Terre.


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