relative au second jour, et le quatrième est la somme relative au troisième jour. Chacune de ces sommes est le résultat de quarante jours d’observation, dans lesquels, la quadrature étant arrivée alternativement le matin et le soir, on peut supposer, par un milieu, que, dans toutes ces observations, la quadrature est arrivée à midi.
Prenons pour unité l’intervalle de deux marées consécutives du matin ou du soir, vers les quadratures, et nommons la distance de la basse marée intermédiaire entre deux marées d’un jour quelconque, fort voisin de la quadrature, à la quadrature supposée arriver à midi. On s’assurera, comme dans l’article XIII, que les sommes peuvent être représentées par la formule
On verra, ci-après, que la quadrature étant supposée arriver à midi, la marée du matin du jour même de la quadrature précède le midi de On verra d’ailleurs que l’intervalle de deux marées consécutives du matin ou du soir vers les quadratures est de on aura donc, relativement au jour de la quadrature,
En augmentant successivement d’une, deux et trois unités, on aura les valeurs de relatives au premier, au second et au troisième jour qui suivent la quadrature.
Maintenant, si l’on suit exactement le procédé de l’article XIII, on trouvera que la formule devient
expression que l’on peut mettre sous cette forme
En donnant successivement à les quatre valeurs précédentes, on aura quatre nombres qui doivent représenter les nombres et qui, comparés à ces nombres, donnent, pour les erreurs de la formule,