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noxiales, de $1^{\mathrm {j} }{,}028076$ pour les syzygies solsticiales, de $1^{\mathrm {j} }{,}056223$ pour les quadratures équinoxiales et de $1^{\mathrm {j} }04796$ pour les quadratures solsticiales. Cela posé, on trouve dans les syzygies équinoxiales

$2i{\text{ϐ}}=9^{\mathrm {m} }{,}1065.$

Les observations nous ont donné $8^{\mathrm {m} }{,}9446.$ La différence $0^{\mathrm {m} }{,}01619$ est dans les limites des erreurs des approximations et des observations.

On trouve par la formule, dans les syzygies solsticiales.

$2i{\text{ϐ}}=6^{\mathrm {m} }{,}5817.$

Les observations nous ont donné $5^{\mathrm {m} }{,}9273.$ La différence $0^{\mathrm {m} }{,}5546$ est encore dans les limites des erreurs des approximations et des observations.

La formule donne, dans les quadratures équinoxiales,

$2i{\text{ϐ}}=19^{\mathrm {m} }{,}4392.$

Les observations nous ont donné $20^{\mathrm {m} }{,}005.$ La différence $0^{\mathrm {m} }{,}5658$ est encore dans les limites des erreurs des approximations et des observations.

Dans les quadratures solsticiales, la formule donne

$2i{\text{ϐ}}=9^{\mathrm {m} }{,}2722.$

Les observations nous ont donné $9^{\mathrm {m} }{,}203,$ ce qui s’accorde bien avec la théorie.

X. Je vais présentement considérer l’influence des distances de la Lune à la Terre sur les marées. J’ai choisi, pour cela, parmi les syzygies équinoxiales considérées ci-dessus, les d\mu-huit suivantes, dans lesquelles la Lune était vers son apogée ou vers son périgée :