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à cause de la petitesse de relativement à n ; on aura pareillement

et alors on aura

en exprimant par la quantité

L’expression de la hauteur de la mer devient ainsi

Considérons le terme

de l’expression des forces perturbatrices. Soit une des inégalités de qui devienne nulle constamment au moment des syzygies. En n’ayant égard qu’à cette inégalité et négligeant le carré de le terme précédent devient

ce qui produit, dans l’expression de la hauteur de la mer, trois termes de la forme

Il en résulte, par ce qui précède, dans l’expression du maximum de la marée, les trois termes et seraient égaux à si