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on aura donc pour déterminer l’équation

(4)

Il est aisé d’en conclure qu’il n’y a qu’un seul sphéroïde elliptique dont la surface passe par le point attiré, et a restant les mêmes, car, si l’on suppose, comme cela se peut toujours en choisissant convenablement l’axe que et soient positifs, il est clair que, en faisant croître dans l’équation (4) d’une quantité quelconque que nous pouvons considérer comme une partie aliquote de chacun des termes du premier membre de cette équation croîtra dans un rapport moindre que donc, si dans le premier état de il y avait égalité entre les deux membres de l’équation, cette égalité ne subsistera plus dans le second état ; d’où il suit que n’est susceptible que d’une seule valeur réelle et positive.

Maintenant, soient la masse du nouveau sphéroïde ; ses attractions parallèlement aux axes des des et des Si l’on fait

l’intégrale étant prise depuis jusqu’à on aura, par l’article III,

En divisant ces valeurs de par et en les multipliant ensuite par on aura, par ce qui précède, les valeurs de relatives au premier sphéroïde ; or on a

étant les excentricités des sphéroïdes, d’où l’on tire